Une répartition fragilisée par les défis actuels
La note rédigée par l'économiste Sébastien Laye met en lumière les limites du système actuel, basé exclusivement sur la répartition.
Avec un vieillissement de la population et une démographie moins dynamique, le ratio actifs/retraités diminue, menaçant la viabilité du financement des pensions.
La France affiche aujourd'hui des dépenses de retraite représentant 14,4% du PIB, l'un des taux les plus élevés d'Europe, alors que le modèle repose sur un endettement croissant.
L'expérience de nos voisins européens
L’association analyse les modèles de plusieurs pays européens (Allemagne, Suède, Danemark, Royaume-Uni, Autriche) et constate qu'un système mixte, associant répartition et capitalisation, est une solution plus robuste.
Ces modèles hybrides permettent d'atténuer les effets des crises démographiques et économiques tout en soutenant l'économie nationale par des investissements productifs.
Déconstruire les idées reçues sur la capitalisation
La note réfute plusieurs idées préconçues sur la capitalisation, notamment le risque de pertes dues aux crises financières.
Elle démontre que, grâce à la diversification des placements et à une gestion rigoureuse, les rendements de la capitalisation sont historiquement supérieurs à la simple répartition.
De plus, l'association souligne que des acteurs publics et privés bénéficient déjà de dispositifs de capitalisation, sans pour autant compromettre la solidarité nationale.
Vers un modèle durable et équilibré
L’association préconise in fine, une évolution du modèle français vers un système mixte où la répartition resterait un socle tout en intégrant progressivement une part de capitalisation obligatoire, gérée par des fonds transparents et supervisés.
Ce modèle devrait permettre d'assurer une plus grande sécurité aux retraités tout en allégeant la pression fiscale et sociale sur les actifs.
*Créée en 1990, Contribuables Associés est la première association de contribuables de France
La note rédigée par l'économiste Sébastien Laye met en lumière les limites du système actuel, basé exclusivement sur la répartition.
Avec un vieillissement de la population et une démographie moins dynamique, le ratio actifs/retraités diminue, menaçant la viabilité du financement des pensions.
La France affiche aujourd'hui des dépenses de retraite représentant 14,4% du PIB, l'un des taux les plus élevés d'Europe, alors que le modèle repose sur un endettement croissant.
L'expérience de nos voisins européens
L’association analyse les modèles de plusieurs pays européens (Allemagne, Suède, Danemark, Royaume-Uni, Autriche) et constate qu'un système mixte, associant répartition et capitalisation, est une solution plus robuste.
Ces modèles hybrides permettent d'atténuer les effets des crises démographiques et économiques tout en soutenant l'économie nationale par des investissements productifs.
Déconstruire les idées reçues sur la capitalisation
La note réfute plusieurs idées préconçues sur la capitalisation, notamment le risque de pertes dues aux crises financières.
Elle démontre que, grâce à la diversification des placements et à une gestion rigoureuse, les rendements de la capitalisation sont historiquement supérieurs à la simple répartition.
De plus, l'association souligne que des acteurs publics et privés bénéficient déjà de dispositifs de capitalisation, sans pour autant compromettre la solidarité nationale.
Vers un modèle durable et équilibré
L’association préconise in fine, une évolution du modèle français vers un système mixte où la répartition resterait un socle tout en intégrant progressivement une part de capitalisation obligatoire, gérée par des fonds transparents et supervisés.
Ce modèle devrait permettre d'assurer une plus grande sécurité aux retraités tout en allégeant la pression fiscale et sociale sur les actifs.
*Créée en 1990, Contribuables Associés est la première association de contribuables de France