Avec la trithérapie, des effets secondaires pénibles apparaissent comme une réorganisation des graisses ou la sur-inflammation de nerfs au niveau de la plante des pieds.
Dans ce contexte, la maison Daélia (un centre d’accueil à la journée, non médicalisé, pour personnes âgées et vulnérables dont l’objectif est, entre autres, leur maintien à domicile) et la société Lucky Link (qui sensibilise les entreprises sur leur responsabilité et leur impact sociétal en matière de santé) se sont associés pour lancer un programme proposant une série d’ateliers physiques et cognitifs adaptés aux conséquences engendrées par le VIH, notamment chez les seniors.
Il s’agit en fait de prendre en compte le parcours de soins dans lequel s’inscrit la personne et adapter des activités qui incluent l’histoire de celle-ci. C’est le travail que réalise par exemple, Célia Abita, fondatrice de maison Daélia : « nous savons qu’en mettant de l’humain et du sens dans les relations avec les personnes âgées, nous favorisons leur maintien à domicile dans de bonnes conditions.»
De son côté, Oriane Bismuth, présidente de Lucky Link, estime que cela « permet de développer une approche globale et humaniste de l’accueil de personnes âgées et vulnérables. Il nous semble primordial d’associer l’ensemble des acteurs pour aligner ces ateliers aux besoins réels et spécifiques des bénéficiaires et de leurs proches aidants ».
Rappelons à ce propos que SIS Association (Sida Info Service) propose un nouveau site internet destiné à répondre aux nombreuses questions que l’on se pose en matière de santé sexuelle. Infections sexuellement transmissibles, cancers dit sexuels, mais aussi pratiques sous psychotropes, ce site volontairement inclusif, souhaite sensibiliser le plus grand nombre à l’importance de la prévention.
Dans ce contexte, la maison Daélia (un centre d’accueil à la journée, non médicalisé, pour personnes âgées et vulnérables dont l’objectif est, entre autres, leur maintien à domicile) et la société Lucky Link (qui sensibilise les entreprises sur leur responsabilité et leur impact sociétal en matière de santé) se sont associés pour lancer un programme proposant une série d’ateliers physiques et cognitifs adaptés aux conséquences engendrées par le VIH, notamment chez les seniors.
Il s’agit en fait de prendre en compte le parcours de soins dans lequel s’inscrit la personne et adapter des activités qui incluent l’histoire de celle-ci. C’est le travail que réalise par exemple, Célia Abita, fondatrice de maison Daélia : « nous savons qu’en mettant de l’humain et du sens dans les relations avec les personnes âgées, nous favorisons leur maintien à domicile dans de bonnes conditions.»
De son côté, Oriane Bismuth, présidente de Lucky Link, estime que cela « permet de développer une approche globale et humaniste de l’accueil de personnes âgées et vulnérables. Il nous semble primordial d’associer l’ensemble des acteurs pour aligner ces ateliers aux besoins réels et spécifiques des bénéficiaires et de leurs proches aidants ».
Rappelons à ce propos que SIS Association (Sida Info Service) propose un nouveau site internet destiné à répondre aux nombreuses questions que l’on se pose en matière de santé sexuelle. Infections sexuellement transmissibles, cancers dit sexuels, mais aussi pratiques sous psychotropes, ce site volontairement inclusif, souhaite sensibiliser le plus grand nombre à l’importance de la prévention.