Avant de présenter cette nouvelle possibilité de traitement, rappelons que la prostate est une petite glande située dans la cavité pelvienne chez l’homme.
Assez peu développée pendant l’enfance, la prostate double de taille pendant la puberté pour atteindre ses dimensions définitives tout au long de la vie d’adulte.
Pour autant, la prostate finit par s’hypertrophier de façon progressive, en général après l’âge de 50 ans. C’est précisément à ce moment de la vie que peuvent survenir les premiers problèmes liés à la prostate…
Deuxième cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les hommes après le cancer du poumon, le cancer de la prostate représentait 59.885 nouveaux cas diagnostiqués en France en 2018, soit près du quart (24%) des cancers masculins.
À l’IGBMC, Kateryna Len s’intéresse au rôle de la vitamine D et de son récepteur dans le développement et la dissémination des cancers de la prostate.
Ses résultats montrent que l’administration d’un analogue de la vitamine D –en association avec la chimiothérapie– pourrait être une solution face aux cancers de la prostate chimiorésistants.
De plus, les travaux de Kateryna Len ont mis en évidence l’implication d’un type de cellules immunitaires, les neutrophiles, dans la dissémination des cellules cancéreuses prostatiques, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour la prévention du cancer de la prostate métastatique.
Rappelons que la Fondation ARC soutient les travaux de Kateryna Len dans le cadre de sa 4e année de thèse.
Assez peu développée pendant l’enfance, la prostate double de taille pendant la puberté pour atteindre ses dimensions définitives tout au long de la vie d’adulte.
Pour autant, la prostate finit par s’hypertrophier de façon progressive, en général après l’âge de 50 ans. C’est précisément à ce moment de la vie que peuvent survenir les premiers problèmes liés à la prostate…
Deuxième cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les hommes après le cancer du poumon, le cancer de la prostate représentait 59.885 nouveaux cas diagnostiqués en France en 2018, soit près du quart (24%) des cancers masculins.
À l’IGBMC, Kateryna Len s’intéresse au rôle de la vitamine D et de son récepteur dans le développement et la dissémination des cancers de la prostate.
Ses résultats montrent que l’administration d’un analogue de la vitamine D –en association avec la chimiothérapie– pourrait être une solution face aux cancers de la prostate chimiorésistants.
De plus, les travaux de Kateryna Len ont mis en évidence l’implication d’un type de cellules immunitaires, les neutrophiles, dans la dissémination des cellules cancéreuses prostatiques, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour la prévention du cancer de la prostate métastatique.
Rappelons que la Fondation ARC soutient les travaux de Kateryna Len dans le cadre de sa 4e année de thèse.