Plus concrètement, l’équipe de chirurgiens plasticiens du Dr Nitin Chauhan de l’Université de Toronto au Canada a suivi 60 patients dont 54 femmes âgées de 45 à 72 ans.
Ce groupe de personnes a ensuite été divisé en trois sous-groupes : l’un avait suivi un lifting du visage et du cou, l’autre un lifting du visage, du cou et des paupières et le dernier un lifting du visage, du cou, des paupières et du front.
Ensuite, pour mesurer objectivement les effets de cette chirurgie plastique, les scientifiques ont demandé à une quarantaine d’étudiants en médecine d’examiner les photos de ces personnes avant les opérations et six mois après et d’estimer un âge aussi précis que possible.
Résultat : les jeunes médecins ont rajeuni –en moyenne- les participants à l’étude de près de deux ans (1.7) avant la chirurgie et de près de neuf ans après l'opération… Plus précisément, l'âge des personnes du premier groupe a été estimé à 5,7 ans plus jeune que leur âge réel ; celui du deuxième groupe a été estimé à 7,5 ans plus jeune que la réalité, et enfin, celui du troisième groupe a été estimé à 8,4 ans plus jeune.
Comme on peut le constater, et assez logiquement, c’est le groupe qui a subi le plus d’interventions (le troisième) qui parait le plus jeune.
Ce groupe de personnes a ensuite été divisé en trois sous-groupes : l’un avait suivi un lifting du visage et du cou, l’autre un lifting du visage, du cou et des paupières et le dernier un lifting du visage, du cou, des paupières et du front.
Ensuite, pour mesurer objectivement les effets de cette chirurgie plastique, les scientifiques ont demandé à une quarantaine d’étudiants en médecine d’examiner les photos de ces personnes avant les opérations et six mois après et d’estimer un âge aussi précis que possible.
Résultat : les jeunes médecins ont rajeuni –en moyenne- les participants à l’étude de près de deux ans (1.7) avant la chirurgie et de près de neuf ans après l'opération… Plus précisément, l'âge des personnes du premier groupe a été estimé à 5,7 ans plus jeune que leur âge réel ; celui du deuxième groupe a été estimé à 7,5 ans plus jeune que la réalité, et enfin, celui du troisième groupe a été estimé à 8,4 ans plus jeune.
Comme on peut le constater, et assez logiquement, c’est le groupe qui a subi le plus d’interventions (le troisième) qui parait le plus jeune.