Le diabète est devenu, au cours des dernières décennies, l’un des principaux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires. En conséquence, les cohortes récentes de patients ayant une pathologie avérée (infarctus du myocarde, angine de poitrine, insuffisance cardiaque, fibrillation atriale, atteinte périphérique) font état d’une prévalence très importante du diabète (de l’ordre de 20 à 50%).
Ce constat justifie, bien sûr, la recherche d’approches préventives pouvant être appliquées, en amont, à la population diabétique. Il pose également la question d’une prise en charge spécifique des patients diabétiques, lorsqu’ils présentent des pathologies cardiovasculaires.
L’une des questions clés est de savoir si l’existence d’un diabète module l’évolution des atteintes cardiovasculaires lorsque celles-ci s’expriment déjà cliniquement. Des analyses, pathologie par pathologie, sont nécessaires. En effet, l’impact pronostique du diabète n’est pas homogène et varie en fonction de l’atteinte cardiovasculaire concernée. De même, il semble possible d’identifier des patients diabétiques ayant un pronostic peu différent de celui des non diabétiques.
Enfin, certaines voies physiopathologiques rendent compte du risque élevé associé aux patients diabétiques, ce qui pourrait conduire au développement de stratégies thérapeutiques personnalisées.
Ce constat justifie, bien sûr, la recherche d’approches préventives pouvant être appliquées, en amont, à la population diabétique. Il pose également la question d’une prise en charge spécifique des patients diabétiques, lorsqu’ils présentent des pathologies cardiovasculaires.
L’une des questions clés est de savoir si l’existence d’un diabète module l’évolution des atteintes cardiovasculaires lorsque celles-ci s’expriment déjà cliniquement. Des analyses, pathologie par pathologie, sont nécessaires. En effet, l’impact pronostique du diabète n’est pas homogène et varie en fonction de l’atteinte cardiovasculaire concernée. De même, il semble possible d’identifier des patients diabétiques ayant un pronostic peu différent de celui des non diabétiques.
Enfin, certaines voies physiopathologiques rendent compte du risque élevé associé aux patients diabétiques, ce qui pourrait conduire au développement de stratégies thérapeutiques personnalisées.