Selon ce récent bulletin du ministère de la Santé : la proportion de personnes avec un test de dépistage positif avait augmenté fortement au moment du changement de test en 2015. Elle est depuis en baisse régulière (de 4,5% en 2016-2017 à 3,6% en 2020-2021).
Autre point saillant de cette enquête, la proportion de personnes ayant réalisé une coloscopie suite à un test positif semble diminuer par rapport aux périodes précédentes. Elle s’établit actuellement à 82,6% en 2020-2021, ce qui est inférieur au repère européen considéré comme « acceptable » de 85%. D’autre part, douze régions sur dix-sept ont une proportion inférieure à ce seuil en 2020-2021 !
A noter également que le délai moyen de réalisation de la coloscopie suite à un test positif continue d’augmenter : il passe ainsi de 62 jours en 2013-2014 à 84 jours en 2020-2021 ! Soit, un tiers de plus. C’est beaucoup…
Enfin et toujours selon ce bulletin, le taux de détection de cancers est de 1,8 pour 1.000 personnes dépistées (soit 2,3‰ chez les hommes et 1,3‰ chez les femmes). On remarque qu’il diminue régulièrement depuis le changement de test (3‰ en 2016-2017).
Le cancer colorectal est une maladie des cellules qui tapissent la paroi interne du côlon. Il se développe à partir d’une cellule initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne (ou cancer).
Généralement, le cancer colorectal ne donne pas de symptôme à un stade précoce. Lorsque les premiers signes se font ressentir, le cancer en est déjà à un stade plus développé.
Dans ce cas, les chances de guérison sont beaucoup plus faibles. En effet, détecté à un stade précoce, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10 ; lorsqu’il est détecté à un stade avancé, les chances de survie à 5 ans ne sont que de 14,3%.
Réalisé tous les 2 ans, le test permet de détecter la présence de sang dans les selles, invisible à l’œil nu. Cette présence de sang n’est pas obligatoirement signe d’un cancer. Une coloscopie permettra de poser un diagnostic.
S’il s’agit d’un cancer à un stade précoce, il pourra être guéri dans 90% des cas. S’il s’agit d’une lésion précancéreuse, elle pourra être directement retirée lors de l’examen.
Autre point saillant de cette enquête, la proportion de personnes ayant réalisé une coloscopie suite à un test positif semble diminuer par rapport aux périodes précédentes. Elle s’établit actuellement à 82,6% en 2020-2021, ce qui est inférieur au repère européen considéré comme « acceptable » de 85%. D’autre part, douze régions sur dix-sept ont une proportion inférieure à ce seuil en 2020-2021 !
A noter également que le délai moyen de réalisation de la coloscopie suite à un test positif continue d’augmenter : il passe ainsi de 62 jours en 2013-2014 à 84 jours en 2020-2021 ! Soit, un tiers de plus. C’est beaucoup…
Enfin et toujours selon ce bulletin, le taux de détection de cancers est de 1,8 pour 1.000 personnes dépistées (soit 2,3‰ chez les hommes et 1,3‰ chez les femmes). On remarque qu’il diminue régulièrement depuis le changement de test (3‰ en 2016-2017).
Le cancer colorectal est une maladie des cellules qui tapissent la paroi interne du côlon. Il se développe à partir d’une cellule initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne (ou cancer).
Généralement, le cancer colorectal ne donne pas de symptôme à un stade précoce. Lorsque les premiers signes se font ressentir, le cancer en est déjà à un stade plus développé.
Dans ce cas, les chances de guérison sont beaucoup plus faibles. En effet, détecté à un stade précoce, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10 ; lorsqu’il est détecté à un stade avancé, les chances de survie à 5 ans ne sont que de 14,3%.
Réalisé tous les 2 ans, le test permet de détecter la présence de sang dans les selles, invisible à l’œil nu. Cette présence de sang n’est pas obligatoirement signe d’un cancer. Une coloscopie permettra de poser un diagnostic.
S’il s’agit d’un cancer à un stade précoce, il pourra être guéri dans 90% des cas. S’il s’agit d’une lésion précancéreuse, elle pourra être directement retirée lors de l’examen.