En décidant d’adopter le blé noir (Eddu en breton) comme matière première, il se distingue des autres producteurs français.
C’est ainsi qu’est véritablement née en 2002, la gamme des whiskys Eddu de la distillerie de Plomelin. Une gamme élaborée qui, jusqu’ici, comprenait le Eddu Silver, le Eddu Gold et le Eddu Brocéliande.
A la fin de l’année 2024, le catalogue Eddu s’est enrichi d’une nouvelle référence de whisky avec le Dorn ha Dorn ainsi que d’une collaboration avec le chocolatier breton Le Roux.
La main dans la main, voilà comment on peut traduire en français l’expression dorn ha dorn. Il s’agit d’un hommage à Robert Léauté un charentais grand spécialiste mondial de la distillation.
C’est donc la célébration de l’entraide et de l’alliance des savoir-faire que l’on retrouve dans cette nouvelle création.
Vieilli traditionnellement dans des fûts ayant contenu du cognac pendant deux années puis affiné un an dans des anciens fûts de Pineau des Charentes rouge, le Dorn ha Dorn réunit le breton Le Lay et le charentais Léauté.
Développant de nombreuses sensations, le Dorn ha Dorn se découvre par un nez fruité où la rondeur de la poire le dispute à l’acidité de la pomme. En bouche c’est toute la richesse des épices qui vient se superposer à la gourmandise des fruits confits et des agrumes avant de finir avec une belle longueur de miel de blé noir.
En parallèle à cette nouveauté, la Distillerie du Menhirs vient de développer un Eddu de 12 ans d’âge vieilli en fûts de Cognac de 49° dont on apprécie la rondeur et la bouche très pâtissière, sans oublier le 15 ans d’âge qui déboule de toute sa puissance dans une bouche pleine de pomme.
Joël Chassaing-Cuvillier
C’est ainsi qu’est véritablement née en 2002, la gamme des whiskys Eddu de la distillerie de Plomelin. Une gamme élaborée qui, jusqu’ici, comprenait le Eddu Silver, le Eddu Gold et le Eddu Brocéliande.
A la fin de l’année 2024, le catalogue Eddu s’est enrichi d’une nouvelle référence de whisky avec le Dorn ha Dorn ainsi que d’une collaboration avec le chocolatier breton Le Roux.
La main dans la main, voilà comment on peut traduire en français l’expression dorn ha dorn. Il s’agit d’un hommage à Robert Léauté un charentais grand spécialiste mondial de la distillation.
C’est donc la célébration de l’entraide et de l’alliance des savoir-faire que l’on retrouve dans cette nouvelle création.
Vieilli traditionnellement dans des fûts ayant contenu du cognac pendant deux années puis affiné un an dans des anciens fûts de Pineau des Charentes rouge, le Dorn ha Dorn réunit le breton Le Lay et le charentais Léauté.
Développant de nombreuses sensations, le Dorn ha Dorn se découvre par un nez fruité où la rondeur de la poire le dispute à l’acidité de la pomme. En bouche c’est toute la richesse des épices qui vient se superposer à la gourmandise des fruits confits et des agrumes avant de finir avec une belle longueur de miel de blé noir.
En parallèle à cette nouveauté, la Distillerie du Menhirs vient de développer un Eddu de 12 ans d’âge vieilli en fûts de Cognac de 49° dont on apprécie la rondeur et la bouche très pâtissière, sans oublier le 15 ans d’âge qui déboule de toute sa puissance dans une bouche pleine de pomme.
Joël Chassaing-Cuvillier