Au programme de ce « Slow Diabète Estival », on retrouve plusieurs approches qui tournent toutes autour de la santé mentale ; elles ont été élaborées avec Coline Hehn, psychologue de la santé à la FFD et seront abordées selon les thématiques suivantes : Cultiver un rapport au corps apaisé pendant l’été ; Sentiment de culpabilité : comment l’éviter ? ; et Troubles des conduites alimentaires : mieux les comprendre et les identifier.
Comme le souligne Coline Hehn, « la santé mentale est une thématique importante à évoquer dans le cadre d’une maladie chronique*, qui plus est le diabète, où la pathologie touche divers aspects de la vie quotidienne ».
Et cette spécialiste de poursuivre : « apprendre à vivre avec le diabète, le découvrir, se l’approprier… tout cela demande des efforts aux patients et il est nécessaire de les accompagner afin de briser le tabou autour de la santé mentale afin de proposer une meilleure prise en charge. »
On le sait, durant la période estivale, les corps se dénudent et, pour des maladies chroniques nécessitant des dispositifs médicaux comme le diabète avec les capteurs de glucose en continu, l’image du corps peut s’en trouver affectée.
« Chaque personne à son propre récit de vie et investira émotionnellement son dispositif médical à sa façon. Plusieurs facteurs peuvent jouer comme les discussions avec les professionnels de santé pour un aspect médical mais aussi des partages avec des pairs qui font face aux mêmes parcours et aux mêmes questionnements » remarque encore Coline Hehn.
À travers le programme Slow Diabète, deux types de soutiens sont mobilisés :
En s’inscrivant au programme, pendant cinq semaines les participants recevront gratuitement, dans leur boîte mail, de nombreuses ressources pratiques sur diverses thématiques : chaleur et diabète, alimentation estivale, santé mentale, départ en vacances, activité physique adaptée ou encore la rubrique « la saviez-vous ».
* En 2021, pas moins de 12 millions de Français vivaient avec une maladie chronique reconnue dans le cadre du dispositif d’affection de longue durée (ALD).
Comme le souligne Coline Hehn, « la santé mentale est une thématique importante à évoquer dans le cadre d’une maladie chronique*, qui plus est le diabète, où la pathologie touche divers aspects de la vie quotidienne ».
Et cette spécialiste de poursuivre : « apprendre à vivre avec le diabète, le découvrir, se l’approprier… tout cela demande des efforts aux patients et il est nécessaire de les accompagner afin de briser le tabou autour de la santé mentale afin de proposer une meilleure prise en charge. »
On le sait, durant la période estivale, les corps se dénudent et, pour des maladies chroniques nécessitant des dispositifs médicaux comme le diabète avec les capteurs de glucose en continu, l’image du corps peut s’en trouver affectée.
« Chaque personne à son propre récit de vie et investira émotionnellement son dispositif médical à sa façon. Plusieurs facteurs peuvent jouer comme les discussions avec les professionnels de santé pour un aspect médical mais aussi des partages avec des pairs qui font face aux mêmes parcours et aux mêmes questionnements » remarque encore Coline Hehn.
À travers le programme Slow Diabète, deux types de soutiens sont mobilisés :
- Le soutien par les pairs qui peut se révéler être une ressource forte car « c’est en discutant avec des personnes qui vivent le même quotidien qu’on se sent compris et qu’on peut se permettre de poser certaines questions ».
- Le soutien de professionnels, notamment de la santé mentale. En effet, « avoir un espace d’écoute bienveillante, recevoir des conseils pour la gestion de son anxiété ou juste verbaliser avec une personne neutre peut alléger le poids que les personnes diabétiques ont sur les épaules ».
En s’inscrivant au programme, pendant cinq semaines les participants recevront gratuitement, dans leur boîte mail, de nombreuses ressources pratiques sur diverses thématiques : chaleur et diabète, alimentation estivale, santé mentale, départ en vacances, activité physique adaptée ou encore la rubrique « la saviez-vous ».
* En 2021, pas moins de 12 millions de Français vivaient avec une maladie chronique reconnue dans le cadre du dispositif d’affection de longue durée (ALD).