Selon cette étude, « s’ils devaient choisir un hébergement adapté à leur vieillissement, près de sept seniors sur dix s’orienteraient idéalement vers les résidences services et l’habitat intergénérationnel, très loin devant les maisons de retraites médicalisées de type Ehpad ».
Ce mode d’hébergement (sans trop de surprise d’ailleurs) n’est privilégié que par 15% de la population des 50 ans en plus. A noter aussi que la solidarité familiale ne semble pas être une solution séduisante. Seuls 13% l’envisagent alors même qu’ils sont près des deux-tiers (64%) à considérer que c'est d’abord à la famille de faire face à la perte d'autonomie d'un proche…
Autre point saillant de cette étude : il semblerait que « vieillir dans un environnement favorisant la mixité entre les générations » soit plébiscité par la quasi-unanimité des 50 ans et plus (95%), de même que les structures favorisant l’accueil de personnes aussi bien autonomes que dépendantes (93%).
Une opinion très prononcée puisque les sondés sont 85% (une très large majorité donc) à se positionner contre l’idée de vivre exclusivement entre personnes dépendantes. Vieillir oui, mais pas entre soi…
Finalement, et là encore sans trop de surprise (toutes les études sur le sujet depuis plus de quinze montrent la même chose), les seniors espèrent pouvoir continuer à vivre normalement chez eux sans avoir le sentiment d’être exclus de la société, sachant qu’ils sont plus de 9 sur 10 à considérer le sentiment d’isolement et de solitude comme étant un accélérateur de vieillissement.
Ainsi, le maintien d’une vie sociale apparaîtrait comme essentiel à leur bien-être : attachés à la possibilité de continuer à recevoir leurs proches quand ils le souhaitent pour plus de la moitié (55%), ils sont aussi attentifs à la proximité de leur entourage familial avec leur domicile pour faciliter les visites (39%).
Plus marginal mais loin d’être anecdotique, le souhait de pouvoir continuer à vivre avec leur animal de compagnie est décisif pour un quart des seniors (là encore, toutes les études montrent la même chose depuis des années, et cela semble être d’ailleurs une évidence), considérant cela comme un facteur permettant de conserver son autonomie physique et/ou psychologique en vieillissant (22%).
Concernant les critères objectifs les plus importants dans le choix de leur lieu de résidence, la qualité du cadre de vie avec une localisation en centre-ville ainsi que la surface et les caractéristiques du logement (avec l'existence de pièces de service pour être autonome au quotidien) arrivent en tête pour plus d’un senior sur deux (respectivement 57% et 54%).
Vient ensuite, pour un tiers des sondés, la possibilité de bénéficier de services de santé au sein de leur résidence, tels que la téléconsultation.
*Méthodologie : Étude réalisée par OpinionWay pour Les Maisons de Marianne auprès d’un panel de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans ou plus. Étude et analyse des résultats réalisés entre novembre 2021 et juin 2022.
Ce mode d’hébergement (sans trop de surprise d’ailleurs) n’est privilégié que par 15% de la population des 50 ans en plus. A noter aussi que la solidarité familiale ne semble pas être une solution séduisante. Seuls 13% l’envisagent alors même qu’ils sont près des deux-tiers (64%) à considérer que c'est d’abord à la famille de faire face à la perte d'autonomie d'un proche…
Autre point saillant de cette étude : il semblerait que « vieillir dans un environnement favorisant la mixité entre les générations » soit plébiscité par la quasi-unanimité des 50 ans et plus (95%), de même que les structures favorisant l’accueil de personnes aussi bien autonomes que dépendantes (93%).
Une opinion très prononcée puisque les sondés sont 85% (une très large majorité donc) à se positionner contre l’idée de vivre exclusivement entre personnes dépendantes. Vieillir oui, mais pas entre soi…
Finalement, et là encore sans trop de surprise (toutes les études sur le sujet depuis plus de quinze montrent la même chose), les seniors espèrent pouvoir continuer à vivre normalement chez eux sans avoir le sentiment d’être exclus de la société, sachant qu’ils sont plus de 9 sur 10 à considérer le sentiment d’isolement et de solitude comme étant un accélérateur de vieillissement.
Ainsi, le maintien d’une vie sociale apparaîtrait comme essentiel à leur bien-être : attachés à la possibilité de continuer à recevoir leurs proches quand ils le souhaitent pour plus de la moitié (55%), ils sont aussi attentifs à la proximité de leur entourage familial avec leur domicile pour faciliter les visites (39%).
Plus marginal mais loin d’être anecdotique, le souhait de pouvoir continuer à vivre avec leur animal de compagnie est décisif pour un quart des seniors (là encore, toutes les études montrent la même chose depuis des années, et cela semble être d’ailleurs une évidence), considérant cela comme un facteur permettant de conserver son autonomie physique et/ou psychologique en vieillissant (22%).
Concernant les critères objectifs les plus importants dans le choix de leur lieu de résidence, la qualité du cadre de vie avec une localisation en centre-ville ainsi que la surface et les caractéristiques du logement (avec l'existence de pièces de service pour être autonome au quotidien) arrivent en tête pour plus d’un senior sur deux (respectivement 57% et 54%).
Vient ensuite, pour un tiers des sondés, la possibilité de bénéficier de services de santé au sein de leur résidence, tels que la téléconsultation.
*Méthodologie : Étude réalisée par OpinionWay pour Les Maisons de Marianne auprès d’un panel de 1002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans ou plus. Étude et analyse des résultats réalisés entre novembre 2021 et juin 2022.