L’E-SD propose des programmes d’activités en santé durable (séances, ateliers, conférences, séminaires, journées découvertes) au cœur des organisations afin d’agir concrètement pour le bien-être et la qualité de vie, des salariés comme des usagers.
Si l’offre de l’E-SD s’attachait initialement à proposer deux formats spécifiques (avec ou sans accompagnement des entreprises), elle s’est élargie au regard de la diversité des demandes du terrain.
« Certaines entreprises nous ont par exemple demandé de pouvoir co-organiser une journée découverte avant de structurer un programme annuel, puis de poursuivre avec une démarche déployée en région, indique Véronique Suissa, directrice de l’A-MCA.
C’est une façon d’avancer par étape, d’être accompagné en partie ou non, pour permettre aux entreprises de s’inscrire dans une démarche pérenne en cohérence avec leurs enjeux et besoins spécifiques ».
L’E-SD maintient naturellement la double possibilité d’un accompagnement ou non, mais l’Espace s’adapte aussi à la diversité des attentes impliquant par exemple d’accompagner un projet initial avant de co-structurer un second projet.
« L’enjeu est d’identifier ensemble des formats pleinement adaptés aux spécificités de chaque organisation, à la fois en termes de publics mais aussi en termes d’enjeux et de fonctionnements », précise-t-elle.
Des formats variés
Au-delà des formats ponctuels (journées découvertes, journées de sensibilisations à thématiques), trois offres permettent aux entreprises de structurer un programme.
Tout d’abord, des forfaits semi-personnalisables, découverte (programme de six mois), approfondissement (programme de huit mois) et d’appropriation (programme de douze mois), dans le domaine de la prévention et santé durable.
Le choix « à la carte », permet quant à lui, de personnaliser totalement le programme avec 150 activités organisées autour de séances bien-être, ateliers pratiques, journées découvertes, conférences à thématiques, séminaires interactifs ou encore formations ciblées.
Enfin, l’accompagnement complet par l’E-SD permet de délimiter le besoin et le programme d’activités. Le dispositif s’organise autour d’une analyse du besoin, de la conception et de la mise en œuvre de la démarche personnalisée, puis d’une évaluation et d’un bilan complet de l’action.
Le panel de formations de l’E-SD, qui s’appuie sur celui de l’E-FPS, est donc désormais plus large, tout comme la diversité des formats proposés.
L’E-FPS, pour une montée en expertise
L’Espace de Formation pour la prévention santé (E-FPS), propose des formations au cœur des institutions (collectivités, entreprises, groupes de santé...) pour les salariés comme les usagers et aussi dans ses locaux pour les praticiens, afin de leur permettre une montée en expertise sur les sujets liés à la prévention et la santé.
L’objectif de l’E-FPS est de contribuer à la qualité de vie des salariés et des usagers, de renforcer les compétences relationnelles des salariés et d’améliorer la qualité de l’accompagnement des personnes dispensés par les soignants ou praticiens bien-être.
« S’initier aux fondamentaux, approfondir des savoirs, se perfectionner dans un domaine, constituent les objectifs d’une démarche de formation évolutive et solide permettant une véritable montée en expertise », souligne Véronique Suissa.
Jusqu’alors centré sur la Qualité de vie au travail (QVT), l’E-FPS propose, depuis quelques mois, un axe de formation plus large, organisé autour de trois volets. Outre la QVT, les équipes dispensent des formations sur la relation/communication, ainsi que sur l’accompagnement des personnes afin de répondre aux besoins du terrain.
« Par exemple, un groupe d’Ehpad pour lequel nous intervenons dans le cadre d’activités de santé durable et de formations pour la QVCT, nous a sollicité pour des formations centrées sur la relation aux résidents. Soutenir une approche relationnelle de qualité, c’est aussi par extension répondre à des enjeux de santé durable. Il y avait naturellement du sens à répondre à ce type de demandes. »
Des formations adaptées aux publics
Les formations s'adaptent aux différentes institutions et à leurs publics (salariés, usagers, soignants, praticiens), et chaque thème de formation est personnalisé selon la typologie et situations des stagiaires (ex. type de métiers exercé par les salariés, usagers en santé ou en situation de fragilité, etc.) et décliné à différents niveaux permettant de découvrir (1 à 2 jours), d'approfondir (3 à 5 jours) ou de s'approprier (6 jours et plus) un sujet.
Des formations s’adressent également aux praticiens bien-être pour renforcer leur expertise dans le champ des fragilités.
« Ces formations proposées dans les locaux de l’E-FPS constituent de notre point de vue, un enjeu de société car intervenir pour le bien-être n’est pas la même chose que d’accompagner des publics en situation de fragilité, précise Véronique Suissa.
Nous nous attachons également à déployer des formations au sein des écoles de praticiens (écoles de réflexologie, de sophrologie…) pour les sensibiliser dès leur formation initiale à des fondamentaux tels que l’éthique, la posture, la relation à l’autre.
C’est d’ailleurs dans ce contexte que nous avons noué un partenariat avec Elisabeth Breton, référente de notre collégiale au sein de l’A-MCA, pour déployer une formation centrée sur la qualité des intervenants pour des stagiaires en réflexologie issus de plusieurs écoles engagées ».
Pour parfaire cette offre de formation, l’E-FPS est désormais détenteur de la certification Qualiopi pour ses actions de formation, « une reconnaissance de la qualité des formations et des processus d’apprentissage, pointe Alice Warusfel, responsable de la formation et de la démarche santé durable au sein de l’A-MCA. Il s’agit d’un gage de qualité pour l’organisme de formation comme pour les clients ».
Si l’offre de l’E-SD s’attachait initialement à proposer deux formats spécifiques (avec ou sans accompagnement des entreprises), elle s’est élargie au regard de la diversité des demandes du terrain.
« Certaines entreprises nous ont par exemple demandé de pouvoir co-organiser une journée découverte avant de structurer un programme annuel, puis de poursuivre avec une démarche déployée en région, indique Véronique Suissa, directrice de l’A-MCA.
C’est une façon d’avancer par étape, d’être accompagné en partie ou non, pour permettre aux entreprises de s’inscrire dans une démarche pérenne en cohérence avec leurs enjeux et besoins spécifiques ».
L’E-SD maintient naturellement la double possibilité d’un accompagnement ou non, mais l’Espace s’adapte aussi à la diversité des attentes impliquant par exemple d’accompagner un projet initial avant de co-structurer un second projet.
« L’enjeu est d’identifier ensemble des formats pleinement adaptés aux spécificités de chaque organisation, à la fois en termes de publics mais aussi en termes d’enjeux et de fonctionnements », précise-t-elle.
Des formats variés
Au-delà des formats ponctuels (journées découvertes, journées de sensibilisations à thématiques), trois offres permettent aux entreprises de structurer un programme.
Tout d’abord, des forfaits semi-personnalisables, découverte (programme de six mois), approfondissement (programme de huit mois) et d’appropriation (programme de douze mois), dans le domaine de la prévention et santé durable.
Le choix « à la carte », permet quant à lui, de personnaliser totalement le programme avec 150 activités organisées autour de séances bien-être, ateliers pratiques, journées découvertes, conférences à thématiques, séminaires interactifs ou encore formations ciblées.
Enfin, l’accompagnement complet par l’E-SD permet de délimiter le besoin et le programme d’activités. Le dispositif s’organise autour d’une analyse du besoin, de la conception et de la mise en œuvre de la démarche personnalisée, puis d’une évaluation et d’un bilan complet de l’action.
Le panel de formations de l’E-SD, qui s’appuie sur celui de l’E-FPS, est donc désormais plus large, tout comme la diversité des formats proposés.
L’E-FPS, pour une montée en expertise
L’Espace de Formation pour la prévention santé (E-FPS), propose des formations au cœur des institutions (collectivités, entreprises, groupes de santé...) pour les salariés comme les usagers et aussi dans ses locaux pour les praticiens, afin de leur permettre une montée en expertise sur les sujets liés à la prévention et la santé.
L’objectif de l’E-FPS est de contribuer à la qualité de vie des salariés et des usagers, de renforcer les compétences relationnelles des salariés et d’améliorer la qualité de l’accompagnement des personnes dispensés par les soignants ou praticiens bien-être.
« S’initier aux fondamentaux, approfondir des savoirs, se perfectionner dans un domaine, constituent les objectifs d’une démarche de formation évolutive et solide permettant une véritable montée en expertise », souligne Véronique Suissa.
Jusqu’alors centré sur la Qualité de vie au travail (QVT), l’E-FPS propose, depuis quelques mois, un axe de formation plus large, organisé autour de trois volets. Outre la QVT, les équipes dispensent des formations sur la relation/communication, ainsi que sur l’accompagnement des personnes afin de répondre aux besoins du terrain.
« Par exemple, un groupe d’Ehpad pour lequel nous intervenons dans le cadre d’activités de santé durable et de formations pour la QVCT, nous a sollicité pour des formations centrées sur la relation aux résidents. Soutenir une approche relationnelle de qualité, c’est aussi par extension répondre à des enjeux de santé durable. Il y avait naturellement du sens à répondre à ce type de demandes. »
Des formations adaptées aux publics
Les formations s'adaptent aux différentes institutions et à leurs publics (salariés, usagers, soignants, praticiens), et chaque thème de formation est personnalisé selon la typologie et situations des stagiaires (ex. type de métiers exercé par les salariés, usagers en santé ou en situation de fragilité, etc.) et décliné à différents niveaux permettant de découvrir (1 à 2 jours), d'approfondir (3 à 5 jours) ou de s'approprier (6 jours et plus) un sujet.
Des formations s’adressent également aux praticiens bien-être pour renforcer leur expertise dans le champ des fragilités.
« Ces formations proposées dans les locaux de l’E-FPS constituent de notre point de vue, un enjeu de société car intervenir pour le bien-être n’est pas la même chose que d’accompagner des publics en situation de fragilité, précise Véronique Suissa.
Nous nous attachons également à déployer des formations au sein des écoles de praticiens (écoles de réflexologie, de sophrologie…) pour les sensibiliser dès leur formation initiale à des fondamentaux tels que l’éthique, la posture, la relation à l’autre.
C’est d’ailleurs dans ce contexte que nous avons noué un partenariat avec Elisabeth Breton, référente de notre collégiale au sein de l’A-MCA, pour déployer une formation centrée sur la qualité des intervenants pour des stagiaires en réflexologie issus de plusieurs écoles engagées ».
Pour parfaire cette offre de formation, l’E-FPS est désormais détenteur de la certification Qualiopi pour ses actions de formation, « une reconnaissance de la qualité des formations et des processus d’apprentissage, pointe Alice Warusfel, responsable de la formation et de la démarche santé durable au sein de l’A-MCA. Il s’agit d’un gage de qualité pour l’organisme de formation comme pour les clients ».