Voici un intéressant festival de l’image : le Nikon Film Festival dont le thème est Je suis une rencontre. Comme le souligne le site web de l’évènement, « la vie est ponctuée de rencontres, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, qui orientent nos choix, nos parcours et nos destins. Elles sont au commencement des histoires d’amour, des plus grandes amitiés mais aussi des duels les plus féroces ».
C’est pour cette raison que Nikon vous propose cette année d’illustrer des rencontres en moins de 140 secondes à travers un regard personnel ou historique. Parmi les candidats de cette année, plusieurs petits films mettent en scène des personnes âgées. Et parmi eux, Je suis Marie-Jeanne de Cédric Larcin.
Encore une très belle création. En effet, ce court-métrage évoque avec un grande justesse la perte de mémoire des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Une vieille dame se rend chez un ami… En route, une conductrice lui propose de l’accompagner. L’ami n’est pas là. Elles vont donc prendre un café chez la jeune femme. Elles parlent de tout et rien, comme deux inconnues pourraient le faire. La vieille dame -qui joue particulièrement bien- a les yeux dans le vide ; les questions lui semblent compliquées. Elle semble dans son monde, coupée des autres. Jusqu’à ce que les enfants arrivent et crient… Mamie !
Un film efficace, tendre et brutal à la fois. En 140 secondes, le réalisateur a totalement cerné l’une des problématiques de la maladie d’Alzheimer. La perte de mémoire d’un proche qui part se promener, qui ne reconnait plus ses enfants et les conséquences familiales que cela entraine…
Un sujet étonnement récurrent chez les jeunes réalisateurs qui montre bien qu’Alzheimer et les maladies apparentées touchent bien sûr les malades eux-mêmes, mais également leur entourage. A voir.
C’est pour cette raison que Nikon vous propose cette année d’illustrer des rencontres en moins de 140 secondes à travers un regard personnel ou historique. Parmi les candidats de cette année, plusieurs petits films mettent en scène des personnes âgées. Et parmi eux, Je suis Marie-Jeanne de Cédric Larcin.
Encore une très belle création. En effet, ce court-métrage évoque avec un grande justesse la perte de mémoire des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Une vieille dame se rend chez un ami… En route, une conductrice lui propose de l’accompagner. L’ami n’est pas là. Elles vont donc prendre un café chez la jeune femme. Elles parlent de tout et rien, comme deux inconnues pourraient le faire. La vieille dame -qui joue particulièrement bien- a les yeux dans le vide ; les questions lui semblent compliquées. Elle semble dans son monde, coupée des autres. Jusqu’à ce que les enfants arrivent et crient… Mamie !
Un film efficace, tendre et brutal à la fois. En 140 secondes, le réalisateur a totalement cerné l’une des problématiques de la maladie d’Alzheimer. La perte de mémoire d’un proche qui part se promener, qui ne reconnait plus ses enfants et les conséquences familiales que cela entraine…
Un sujet étonnement récurrent chez les jeunes réalisateurs qui montre bien qu’Alzheimer et les maladies apparentées touchent bien sûr les malades eux-mêmes, mais également leur entourage. A voir.