
Plus concrètement, ce nouveau guide présente dix INM ayant fait la preuve de leur efficacité et fréquemment mises en œuvre dans les établissements : de l’art-thérapie aux interventions assistées par l’animal en passant par les interventions basées sur la danse, la musicothérapie, la réhabilitation cognitive…
Rappelons que les INM ont pour objectif de maintenir et/ou d’améliorer les capacités cognitives, physiques, psychologiques et sociales et plus globalement la qualité de vie des patients Alzheimer. En parallèle, elles ont aussi pour objectifs d’améliorer la qualité de vie et le moral des aidants familiaux et la qualité du contexte de travail des professionnels.
On sait que des effets positifs des INM ont été observés sur le délai d’institutionnalisation, les troubles cognitifs, l’autonomie fonctionnelle, le comportement, l’affect, la qualité de vie des personnes malades ainsi que sur la qualité de vie, le bien-être et l’humeur des aidants et la qualité de vie au travail des professionnels.
« Les INM ont toujours été au centre de l’accompagnement des personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer qui ont besoin d’activités et d’interventions porteuses de sens et favorisant le maintien du lien social. La crise sanitaire l’a largement mis en avant. En l’absence de traitement curatif, elles sont les seules options envisageables afin de leur permettre d’améliorer leur fonctionnement cognitif, psychologique, social, physique et plus globalement leur qualité de vie » indique Hélène Jacquemont, Présidente de la Fondation Médéric Alzheimer.
« Plusieurs questions doivent se poser : A qui proposer l’intervention ? Dans quel contexte? Dans quel cas est-ce contre-indiqué ? Quelle est la durée de l’intervention ? Sa fréquence ? Le professionnel encadrant l’intervention possède-t-il la formation ou les connaissances requises à sa mise en œuvre ? Dispose-t-on des ressources humaines et matérielles pour la mettre en œuvre ? » précise de son côté Jean-Bernard Mabire, psychologue, responsable de projets Living Lab à la Fondation Médéric Alzheimer.
« Répondre à ces questions : c’est tout l’objectif de ce guide proposé par la Fondation Médéric Alzheimer ».
Rappelons que les INM ont pour objectif de maintenir et/ou d’améliorer les capacités cognitives, physiques, psychologiques et sociales et plus globalement la qualité de vie des patients Alzheimer. En parallèle, elles ont aussi pour objectifs d’améliorer la qualité de vie et le moral des aidants familiaux et la qualité du contexte de travail des professionnels.
On sait que des effets positifs des INM ont été observés sur le délai d’institutionnalisation, les troubles cognitifs, l’autonomie fonctionnelle, le comportement, l’affect, la qualité de vie des personnes malades ainsi que sur la qualité de vie, le bien-être et l’humeur des aidants et la qualité de vie au travail des professionnels.
« Les INM ont toujours été au centre de l’accompagnement des personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer qui ont besoin d’activités et d’interventions porteuses de sens et favorisant le maintien du lien social. La crise sanitaire l’a largement mis en avant. En l’absence de traitement curatif, elles sont les seules options envisageables afin de leur permettre d’améliorer leur fonctionnement cognitif, psychologique, social, physique et plus globalement leur qualité de vie » indique Hélène Jacquemont, Présidente de la Fondation Médéric Alzheimer.
« Plusieurs questions doivent se poser : A qui proposer l’intervention ? Dans quel contexte? Dans quel cas est-ce contre-indiqué ? Quelle est la durée de l’intervention ? Sa fréquence ? Le professionnel encadrant l’intervention possède-t-il la formation ou les connaissances requises à sa mise en œuvre ? Dispose-t-on des ressources humaines et matérielles pour la mettre en œuvre ? » précise de son côté Jean-Bernard Mabire, psychologue, responsable de projets Living Lab à la Fondation Médéric Alzheimer.
« Répondre à ces questions : c’est tout l’objectif de ce guide proposé par la Fondation Médéric Alzheimer ».