Le stress et la santé émotionnelle jouent un rôle primordial dans le vieillissement. Selon Thomas Schulz, la gestion du stress et le maintien d’une bonne santé émotionnelle sont des facteurs essentiels pour prévenir le vieillissement prématuré.
Les impacts négatifs du stress sur la durée de vie sont bien documentés : l’activation de certaines hormones liées au stress, comme le cortisol, peut accélérer le vieillissement cellulaire et augmenter les risques de maladies chroniques.
À l’inverse, maintenir un état émotionnel équilibré, notamment grâce à des pratiques telles que la méditation, le yoga ou encore le maintien de relations sociales saines, peut aider à réduire cet impact et préserver la jeunesse du corps et de l’esprit.
Le biohacking et ses implications sur l’âge biologique
Le biohacking, une approche visant à optimiser la biologie humaine par des techniques innovantes, est un autre domaine que Thomas SCHULZ aborde dans ses réflexions. Il évoque les opportunités offertes par cette pratique, mais aussi les risques qui peuvent en découler.
Le biohacking implique l’utilisation de technologies et de méthodes non conventionnelles pour améliorer les fonctions corporelles, qu’il s’agisse de régimes alimentaires spécifiques, de supplémentations, ou d’autres interventions.
Toutefois, Schulz met en garde contre certains dangers liés à ces pratiques, qui doivent être abordées avec prudence et dans un cadre scientifique rigoureux.
Il insiste notamment sur la nécessité de s’assurer que ces pratiques soient soutenues par des preuves scientifiques solides pour éviter des risques pour la santé.
On peut citer certaines pratiques liées à des régimes ou compléments alimentaires non éprouvés qui, s’ils sont mal adaptés, peuvent nuire au métabolisme ou à la santé cardiaque. Il recommande donc d’éviter ces méthodes sans fondement scientifique et de demander un avis médical avant de les adopter.
Adopter un mode de vie sain pour ralentir le vieillissement
Invité dans ce podcast, Thomas Schulz nous livre une conclusion qui va au-delà des discussions sur l’âge biologique et chronologique : nous avons le pouvoir d’influencer notre vieillissement.
En adoptant des habitudes de vie saines, telles qu’une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et une gestion adéquate du stress, nous pouvons non seulement prolonger notre durée de vie, mais aussi améliorer la qualité de notre quotidien.
Ainsi, l’âge biologique devient un indicateur plus pertinent que l’âge chronologique pour mesurer sa santé et sa longévité potentielle.
Par ailleurs, les avancées scientifiques en matière d’épigénétique et de biohacking offrent des perspectives prometteuses pour mieux comprendre et gérer le vieillissement.
Les impacts négatifs du stress sur la durée de vie sont bien documentés : l’activation de certaines hormones liées au stress, comme le cortisol, peut accélérer le vieillissement cellulaire et augmenter les risques de maladies chroniques.
À l’inverse, maintenir un état émotionnel équilibré, notamment grâce à des pratiques telles que la méditation, le yoga ou encore le maintien de relations sociales saines, peut aider à réduire cet impact et préserver la jeunesse du corps et de l’esprit.
Le biohacking et ses implications sur l’âge biologique
Le biohacking, une approche visant à optimiser la biologie humaine par des techniques innovantes, est un autre domaine que Thomas SCHULZ aborde dans ses réflexions. Il évoque les opportunités offertes par cette pratique, mais aussi les risques qui peuvent en découler.
Le biohacking implique l’utilisation de technologies et de méthodes non conventionnelles pour améliorer les fonctions corporelles, qu’il s’agisse de régimes alimentaires spécifiques, de supplémentations, ou d’autres interventions.
Toutefois, Schulz met en garde contre certains dangers liés à ces pratiques, qui doivent être abordées avec prudence et dans un cadre scientifique rigoureux.
Il insiste notamment sur la nécessité de s’assurer que ces pratiques soient soutenues par des preuves scientifiques solides pour éviter des risques pour la santé.
On peut citer certaines pratiques liées à des régimes ou compléments alimentaires non éprouvés qui, s’ils sont mal adaptés, peuvent nuire au métabolisme ou à la santé cardiaque. Il recommande donc d’éviter ces méthodes sans fondement scientifique et de demander un avis médical avant de les adopter.
Adopter un mode de vie sain pour ralentir le vieillissement
Invité dans ce podcast, Thomas Schulz nous livre une conclusion qui va au-delà des discussions sur l’âge biologique et chronologique : nous avons le pouvoir d’influencer notre vieillissement.
En adoptant des habitudes de vie saines, telles qu’une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et une gestion adéquate du stress, nous pouvons non seulement prolonger notre durée de vie, mais aussi améliorer la qualité de notre quotidien.
Ainsi, l’âge biologique devient un indicateur plus pertinent que l’âge chronologique pour mesurer sa santé et sa longévité potentielle.
Par ailleurs, les avancées scientifiques en matière d’épigénétique et de biohacking offrent des perspectives prometteuses pour mieux comprendre et gérer le vieillissement.
*Thomas Schulz est reporter à la rédaction en chef du magazine allemand Spiegel et auteur de plusieurs best-sellers.
Lauréat de prestigieux prix journalistiques, il est notamment l’auteur des ouvrages à succès « Was Google wirklich will » (Ce que Google veut vraiment, 2015) et « Zukunftsmedizin » (La médecine du future, 2018).
Son dernier livre, « Projekt Lebensverlängerung » (Projet vivre plus longtemps), publié en 2024, explore la possibilité de vivre cent ans en bonne santé grâce aux avancées scientifiques et médicales. Il est également membre du conseil d'experts de l'Institut Hospitalo-Universitaire HealthAge de Toulouse.
Lauréat de prestigieux prix journalistiques, il est notamment l’auteur des ouvrages à succès « Was Google wirklich will » (Ce que Google veut vraiment, 2015) et « Zukunftsmedizin » (La médecine du future, 2018).
Son dernier livre, « Projekt Lebensverlängerung » (Projet vivre plus longtemps), publié en 2024, explore la possibilité de vivre cent ans en bonne santé grâce aux avancées scientifiques et médicales. Il est également membre du conseil d'experts de l'Institut Hospitalo-Universitaire HealthAge de Toulouse.