Avec un accord conclu le 6 novembre dernier, l’industrie chimique s’annonce comme l’un des tout premiers secteurs à mettre en place, pour toutes ses entreprises, un dispositif autour de la gestion des âges et l’emploi des seniors.
Par cet accord conclu entre l’ensemble des organisations patronales et trois organisations syndicales (FCE-CFDT, CFTC-CMTE et CFE-CGC), l’industrie chimique s’est fixée comme objectif d’augmenter de 5 % le nombre de salariés de 55 ans et plus dans ses entreprises d’ici à fin 2012.
Toujours selon le communiqué, cette détermination devrait à favoriser : « le développement des compétences et des qualifications avec un accès facilité à la formation continue, l’aménagement des fins de carrière et la transition entre la période d’activité et la retraite, et enfin, la transmission des savoirs et des compétences et le développement du tutorat ».
L’accord fixe également un nouveau barème d’allocations de départ volontaire à la retraite dont l’assiette de base et les modalités de calcul se trouvent clarifiées et dont les montants augmentent régulièrement avec l’ancienneté passée dans l’entreprise.
Pour Bernard Chambon, président de l’UIC, « En cette période de timide reprise, cet accord marque le volontarisme d’un secteur qui connaît la valeur de ses emplois et des compétences nécessaires à l’exercice de ses métiers. Il témoigne également de la réactivité de notre branche à trouver des solutions adaptées au contexte des PME ».
Par cet accord conclu entre l’ensemble des organisations patronales et trois organisations syndicales (FCE-CFDT, CFTC-CMTE et CFE-CGC), l’industrie chimique s’est fixée comme objectif d’augmenter de 5 % le nombre de salariés de 55 ans et plus dans ses entreprises d’ici à fin 2012.
Toujours selon le communiqué, cette détermination devrait à favoriser : « le développement des compétences et des qualifications avec un accès facilité à la formation continue, l’aménagement des fins de carrière et la transition entre la période d’activité et la retraite, et enfin, la transmission des savoirs et des compétences et le développement du tutorat ».
L’accord fixe également un nouveau barème d’allocations de départ volontaire à la retraite dont l’assiette de base et les modalités de calcul se trouvent clarifiées et dont les montants augmentent régulièrement avec l’ancienneté passée dans l’entreprise.
Pour Bernard Chambon, président de l’UIC, « En cette période de timide reprise, cet accord marque le volontarisme d’un secteur qui connaît la valeur de ses emplois et des compétences nécessaires à l’exercice de ses métiers. Il témoigne également de la réactivité de notre branche à trouver des solutions adaptées au contexte des PME ».