Selon cette étude, chaque année, environ 5% des 55-64 ans changent de résidence. Des mobilités qui se font nettement plus souvent vers des communes moins denses que la commune d’origine.
Toujours selon cette enquête, la mobilité résidentielle des seniors aurait tendance à décroître ensuite pour s’établir à moins de 3% entre 65 et 74 ans avant de fortement rebondir après 85 ans (presque 6%) en lien notamment avec les nombreuses entrées en établissements pour personnes âgées.
Les mobilités résidentielles paraissent dans l’ensemble peu motivées par la volonté de bénéficier d’un meilleur accès aux soins médicaux.
Les mobilités à courte distance, les plus nombreuses, n’ont en effet qu’un impact très limité sur l’accessibilité des soins alors que les seniors qui migrent vers des départements littoraux emménagent beaucoup plus souvent dans une commune où l’accessibilité des soins est plus élevée.
On peut enfin observer que les mobilités vers des départements ni littoraux, ni limitrophes du département d’origine, se font souvent vers des communes où l’accessibilité des soins est moins bonne que dans la commune d’origine.
Entre 55 et 64 ans, le solde migratoire est très négatif pour l’ensemble des départements d’Île-de-France au bénéfice des régions situées au sud-ouest d’une ligne que l’on pourrait tracer entre Cherbourg-Chambéry.
On note aussi des disparités significatives qui apparaissent en fonction du niveau d’études : ainsi, les plus diplômés seraient davantage susceptibles de migrer vers ces départements très attractifs.
Pour autant, après 85 ans, l’orientation des flux migratoires se dirige davantage vers des départements ruraux ou en périphérie urbaine ayant une capacité d’accueil en EHPAD très élevée.
Toujours selon cette enquête, la mobilité résidentielle des seniors aurait tendance à décroître ensuite pour s’établir à moins de 3% entre 65 et 74 ans avant de fortement rebondir après 85 ans (presque 6%) en lien notamment avec les nombreuses entrées en établissements pour personnes âgées.
Les mobilités résidentielles paraissent dans l’ensemble peu motivées par la volonté de bénéficier d’un meilleur accès aux soins médicaux.
Les mobilités à courte distance, les plus nombreuses, n’ont en effet qu’un impact très limité sur l’accessibilité des soins alors que les seniors qui migrent vers des départements littoraux emménagent beaucoup plus souvent dans une commune où l’accessibilité des soins est plus élevée.
On peut enfin observer que les mobilités vers des départements ni littoraux, ni limitrophes du département d’origine, se font souvent vers des communes où l’accessibilité des soins est moins bonne que dans la commune d’origine.
Entre 55 et 64 ans, le solde migratoire est très négatif pour l’ensemble des départements d’Île-de-France au bénéfice des régions situées au sud-ouest d’une ligne que l’on pourrait tracer entre Cherbourg-Chambéry.
On note aussi des disparités significatives qui apparaissent en fonction du niveau d’études : ainsi, les plus diplômés seraient davantage susceptibles de migrer vers ces départements très attractifs.
Pour autant, après 85 ans, l’orientation des flux migratoires se dirige davantage vers des départements ruraux ou en périphérie urbaine ayant une capacité d’accueil en EHPAD très élevée.