Le vieillissement de la communauté LGBT, rappelle le communiqué du ministère, est une problématique récente, qui n’a pas encore fait l’objet d’études précises en France, à l’inverse d’autres pays tel que le Canada. Michèle Delaunay a donc décidé de confier une mission à trois associations, afin de préparer la prise en charge de la génération qui arrive dans le champ de l’âge.
A charge pour eux de formuler des propositions sur trois sujets :
- Le vieillissement de la communauté, perturbé par la discrimination légale dont ils ont fait preuve durant leur vie active (fragilité financière, faible protection sociale, isolement).
- L’accueil en établissement et l’usage des services à la personne et plus particulièrement la formation du personnel pour garantir un accueil sans discrimination, dans la vie quotidienne comme dans le projet d’établissement.
- Vieillir avec le SIDA. Le nombre de personnes de plus de 60 ans vivant avec le VIH va croissant. Les questions du « comment vivre » avec le VIH avec l’âge prennent donc une acuité de plus en plus forte.
Chaque acteur, précise le ministère, a été choisi pour son implication sur ce sujet. Gestionnaire d’établissements et de services pour personnes âgés, le Groupe SOS est actif dans la prévention et la prise en charge des personnes LGBT séropositives (création d’appartements de coordination thérapeutique, dépistages VIH au coeur du quartier du Marais…). L’association Aides a d’ores et déjà entamé une réflexion en interne sur le vieillissement de cette communauté. Enfin, l’association SOS Homophobie lutte au quotidien pour garantir à la communauté un accueil égalitaire.
En mobilisant ces trois acteurs, la ministre a voulu réunir leurs compétences et leurs expériences au profit de la communauté LGBT. Chacun a son secteur de prédilection (public ou privé non lucratif) et a commencé à aborder le sujet au sein de ses instances. Il s’agit donc d’intensifier et poursuivre la réflexion, afin de proposer en octobre des mesures concrètes permettant aux personnes LGBT vieillissantes de bénéficier d’une avancée en âge parfaitement égalitaire et loin de toute discrimination d’accueil ou de traitement.
A charge pour eux de formuler des propositions sur trois sujets :
- Le vieillissement de la communauté, perturbé par la discrimination légale dont ils ont fait preuve durant leur vie active (fragilité financière, faible protection sociale, isolement).
- L’accueil en établissement et l’usage des services à la personne et plus particulièrement la formation du personnel pour garantir un accueil sans discrimination, dans la vie quotidienne comme dans le projet d’établissement.
- Vieillir avec le SIDA. Le nombre de personnes de plus de 60 ans vivant avec le VIH va croissant. Les questions du « comment vivre » avec le VIH avec l’âge prennent donc une acuité de plus en plus forte.
Chaque acteur, précise le ministère, a été choisi pour son implication sur ce sujet. Gestionnaire d’établissements et de services pour personnes âgés, le Groupe SOS est actif dans la prévention et la prise en charge des personnes LGBT séropositives (création d’appartements de coordination thérapeutique, dépistages VIH au coeur du quartier du Marais…). L’association Aides a d’ores et déjà entamé une réflexion en interne sur le vieillissement de cette communauté. Enfin, l’association SOS Homophobie lutte au quotidien pour garantir à la communauté un accueil égalitaire.
En mobilisant ces trois acteurs, la ministre a voulu réunir leurs compétences et leurs expériences au profit de la communauté LGBT. Chacun a son secteur de prédilection (public ou privé non lucratif) et a commencé à aborder le sujet au sein de ses instances. Il s’agit donc d’intensifier et poursuivre la réflexion, afin de proposer en octobre des mesures concrètes permettant aux personnes LGBT vieillissantes de bénéficier d’une avancée en âge parfaitement égalitaire et loin de toute discrimination d’accueil ou de traitement.