Mettre à la discussion de la représentation nationale un projet en faveur des personnes âgées, porter attention à la liberté de recevoir des visites et à la nécessité du maintien des liens sociaux comme pour tout citoyen ou encore adopter une obligation de loi de programmation budgétaire pluriannuelle pour le grand âge sont autant d’éléments qui vont dans le bon sens.
Force est néanmoins de constater que les leçons de la crise du COVID n'ont pas été entendues puisque les personnes âgées elles-mêmes, comme leurs propositions concrètes, n’ont pas été prises en compte. Ce sont pourtant les mieux placées et spécialistes de ces sujets.
La reprise des débats dans quelques semaines devra donc permettre que les prochaines évolutions du texte traduisent bien les réponses à apporter en tout premier lieu aux attentes de personnes âgées.
Car en effet la maltraitance systémique (toilettes expédiées, attente trop longue à la sonnette, manque d'activités individuelles ou en groupe, …) n'est-elle pas dans une bonne mesure, la conséquence de l'insuffisance des financements et par conséquent du peu de temps de professionnels accompagnant ?
L'adoption d’un ratio minimal de personnel nous semble donc la mesure essentielle pour y répondre, tout comme les considération et reconnaissance des professionnels y contribuent également.
Force est néanmoins de constater que les leçons de la crise du COVID n'ont pas été entendues puisque les personnes âgées elles-mêmes, comme leurs propositions concrètes, n’ont pas été prises en compte. Ce sont pourtant les mieux placées et spécialistes de ces sujets.
La reprise des débats dans quelques semaines devra donc permettre que les prochaines évolutions du texte traduisent bien les réponses à apporter en tout premier lieu aux attentes de personnes âgées.
Car en effet la maltraitance systémique (toilettes expédiées, attente trop longue à la sonnette, manque d'activités individuelles ou en groupe, …) n'est-elle pas dans une bonne mesure, la conséquence de l'insuffisance des financements et par conséquent du peu de temps de professionnels accompagnant ?
L'adoption d’un ratio minimal de personnel nous semble donc la mesure essentielle pour y répondre, tout comme les considération et reconnaissance des professionnels y contribuent également.