Élaboré pour aiguiller au mieux les aidants dans leur recherche d’accompagnement, le guide Les médecines complémentaires, un appui pour soulager le quotidien du salarié-aidant fait partie de la feuille de route de l’Observatoire solidaire de la Mutuelle Générale.
« Au travers de différents travaux que nous avons mené, nous avons constaté que peu de productions existent, pour le monde de l’entreprise, concernant le recours aux médecines complémentaires », pointe Pierre Denis, responsable du pôle engagement sociétal à La Mutuelle Générale et délégué général de la Fondation d'entreprise.
Pourtant, les médecines complémentaires peuvent jouer un rôle particulièrement important pour les salariés-aidants, qui ont la charge d’un proche en situation de dépendance tout en menant leur vie active.
Cette réalité peut engendrer de nombreux bouleversements dans leur quotidien : stress, désorganisation, fatigue ou encore sentiment de lassitude. Les médecines complémentaires peuvent les aider à se soulager et à contribuer à leur bien-être. Mais, il n’est pas toujours facile de se repérer dans toutes les pratiques complémentaires.
« Il nous a donc paru indispensable de réaliser un support pour les informer de leur existence », indique Pierre Denis. C’est dans ce cadre que la Mutuelle Générale a fait appel à l’expertise de l’A-MCA.
« L’enjeu était de pouvoir l’accompagner autour des questions typiques relatives aux pratiques, aux praticiens et aux usages dans une approche qualité », précise quant à elle, Véronique Suissa, directrice générale de l’A-MCA.
Le contenu du guide
Le guide est organisé autour de quatre familles de « difficultés » pouvant être rencontrées par les aidants à savoir « gérer ses émotions », « entretenir sa forme physique et mentale », « relâcher le stress et la pression », et « détendre son corps et réduire ses douleurs », avec pour chacune, un renvoi vers des médecines complémentaires ou des pratiques non médicamenteuses officielles, les plus adaptées.
Il les présente d’ailleurs succinctement, tout comme leurs usages typiques par rapport à certaines situations, afin de laisser à chacun la liberté de découvrir celles étant les plus appropriées en fonction de ses besoins, sa sensibilité et sa personnalité.
Par exemple, les besoins en termes d’entretien physique et mental renvoient à plusieurs typologies de pratiques telles que la diététique, le sport ou encore l’activité physique adaptée.
Le guide précise par ailleurs, quand et à qui le salarié peut s’adresser en cas de difficulté. Il rappelle qu’il lui faut en priorité se tourner vers son médecin traitant pour obtenir des conseils, une aide et une orientation.
Le salarié-aidant peut aussi se tourner vers son entreprise via son manager, la médecine du travail, l’assistance sociale ou son responsable RH car être salarié-aidant confère des droits, notamment en termes de congés.
Il peut en outre, contacter les pôles d’orientation spécialisés tels que les Dispositifs d’appui à la coordination (DAC) et les Plateformes d’accompagnement et de répit pour les aidants (PFR), les associations spécialisées dans le soutien à l’aidance ou encore différents organismes qui réglementent chaque médecine complémentaire.
Un travail d’équipe
Pour élaborer ce guide, l’Observatoire solidaire s’est entouré de l’A-MCA et de l’association Passerelle Assist’Aidant.
« A travers notre association, nous sommes engagés dans le soutien aux aidants, et plus particulièrement aux salariés-aidants afin d’améliorer leur quotidien en leur proposant notamment un accès aux pratiques complémentaires », explique Martine Aulagnier, présidente de Passerelle Assist’Aidant.
Véronique Suissa, directrice de l’A-MCA, a pour sa part, apporté son expertise dans le champ des pratiques, des praticiens et des usages de qualité. « Il est nécessaire de rappeler qu’il s’agit de pratiques mobilisées pour le bien-être en complément et non en substitution à la médecine conventionnelle », conclut-elle.
Pour télécharger le guide
« Au travers de différents travaux que nous avons mené, nous avons constaté que peu de productions existent, pour le monde de l’entreprise, concernant le recours aux médecines complémentaires », pointe Pierre Denis, responsable du pôle engagement sociétal à La Mutuelle Générale et délégué général de la Fondation d'entreprise.
Pourtant, les médecines complémentaires peuvent jouer un rôle particulièrement important pour les salariés-aidants, qui ont la charge d’un proche en situation de dépendance tout en menant leur vie active.
Cette réalité peut engendrer de nombreux bouleversements dans leur quotidien : stress, désorganisation, fatigue ou encore sentiment de lassitude. Les médecines complémentaires peuvent les aider à se soulager et à contribuer à leur bien-être. Mais, il n’est pas toujours facile de se repérer dans toutes les pratiques complémentaires.
« Il nous a donc paru indispensable de réaliser un support pour les informer de leur existence », indique Pierre Denis. C’est dans ce cadre que la Mutuelle Générale a fait appel à l’expertise de l’A-MCA.
« L’enjeu était de pouvoir l’accompagner autour des questions typiques relatives aux pratiques, aux praticiens et aux usages dans une approche qualité », précise quant à elle, Véronique Suissa, directrice générale de l’A-MCA.
Le contenu du guide
Le guide est organisé autour de quatre familles de « difficultés » pouvant être rencontrées par les aidants à savoir « gérer ses émotions », « entretenir sa forme physique et mentale », « relâcher le stress et la pression », et « détendre son corps et réduire ses douleurs », avec pour chacune, un renvoi vers des médecines complémentaires ou des pratiques non médicamenteuses officielles, les plus adaptées.
Il les présente d’ailleurs succinctement, tout comme leurs usages typiques par rapport à certaines situations, afin de laisser à chacun la liberté de découvrir celles étant les plus appropriées en fonction de ses besoins, sa sensibilité et sa personnalité.
Par exemple, les besoins en termes d’entretien physique et mental renvoient à plusieurs typologies de pratiques telles que la diététique, le sport ou encore l’activité physique adaptée.
Le guide précise par ailleurs, quand et à qui le salarié peut s’adresser en cas de difficulté. Il rappelle qu’il lui faut en priorité se tourner vers son médecin traitant pour obtenir des conseils, une aide et une orientation.
Le salarié-aidant peut aussi se tourner vers son entreprise via son manager, la médecine du travail, l’assistance sociale ou son responsable RH car être salarié-aidant confère des droits, notamment en termes de congés.
Il peut en outre, contacter les pôles d’orientation spécialisés tels que les Dispositifs d’appui à la coordination (DAC) et les Plateformes d’accompagnement et de répit pour les aidants (PFR), les associations spécialisées dans le soutien à l’aidance ou encore différents organismes qui réglementent chaque médecine complémentaire.
Un travail d’équipe
Pour élaborer ce guide, l’Observatoire solidaire s’est entouré de l’A-MCA et de l’association Passerelle Assist’Aidant.
« A travers notre association, nous sommes engagés dans le soutien aux aidants, et plus particulièrement aux salariés-aidants afin d’améliorer leur quotidien en leur proposant notamment un accès aux pratiques complémentaires », explique Martine Aulagnier, présidente de Passerelle Assist’Aidant.
Véronique Suissa, directrice de l’A-MCA, a pour sa part, apporté son expertise dans le champ des pratiques, des praticiens et des usages de qualité. « Il est nécessaire de rappeler qu’il s’agit de pratiques mobilisées pour le bien-être en complément et non en substitution à la médecine conventionnelle », conclut-elle.
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