Depuis cette semaine, les seniors strasbourgeois peuvent donc se faire prescrire par leur médecin, non pas des médicaments, mais… de cours de sport ! En effet, le programme Sport-santé sur ordonnance mis en place par la municipalité en novembre 2012 (et depuis étendu à d’autres villes) s’élargi en ce début 2017 aux personnes âgées fragilisées afin de prévenir les risques de chute et la perte d’autonomie.
Il faut s’avoir qu’à Strasbourg, l'activité physique ou sportive faisait déjà partie du traitement de nombreuses maladies dans le cadre de l'éducation du patient obèse, diabétique, asthmatique, insuffisant respiratoire, cardiaque ou en rémission d'un cancer. Et cela concerne désormais les ainés fragiles !
Plus concrètement, ce dispositif a pour objectif de favoriser la pratique d'une activité physique régulière, modérée et adaptée à l'état de santé des malades chroniques, dans une optique de réduction des inégalités sociales et territoriales de santé. Au programme : vélo, natation, musculation ou fitness. Le but ? Réduire les risques de chute et l’entrée dans la dépendance qui en découle.
Muni de son ordonnance, le patient prend contact avec l'équipe sport-santé. Lors du premier rendez-vous, l’un des six éducateurs le reçoit et l'oriente vers les activités physiques qui lui conviennent le mieux, les plus adaptées à sa pathologie, en fonction des recommandations du médecin, d'une évaluation de la sédentarité et de ses habitudes en matière de pratique d'activité physique.
Les bénéficiaires sont suivis régulièrement par les éducateurs afin de suivre leur motivation, leur satisfaction et leurs progrès sur les activités physiques proposées. On les réoriente le cas échéant. Des rendez-vous sont prévus pour cela après 1, 6, 12 mois, puis tous les 6 mois.
Les personnes participant à ce dispositif peuvent en bénéficier pendant trois ans, sachant que la première année est gratuite, ensuite, la participation financière est établie en fonction du coefficient familial (20 €, 50 € ou 100 €).
Il faut s’avoir qu’à Strasbourg, l'activité physique ou sportive faisait déjà partie du traitement de nombreuses maladies dans le cadre de l'éducation du patient obèse, diabétique, asthmatique, insuffisant respiratoire, cardiaque ou en rémission d'un cancer. Et cela concerne désormais les ainés fragiles !
Plus concrètement, ce dispositif a pour objectif de favoriser la pratique d'une activité physique régulière, modérée et adaptée à l'état de santé des malades chroniques, dans une optique de réduction des inégalités sociales et territoriales de santé. Au programme : vélo, natation, musculation ou fitness. Le but ? Réduire les risques de chute et l’entrée dans la dépendance qui en découle.
Muni de son ordonnance, le patient prend contact avec l'équipe sport-santé. Lors du premier rendez-vous, l’un des six éducateurs le reçoit et l'oriente vers les activités physiques qui lui conviennent le mieux, les plus adaptées à sa pathologie, en fonction des recommandations du médecin, d'une évaluation de la sédentarité et de ses habitudes en matière de pratique d'activité physique.
Les bénéficiaires sont suivis régulièrement par les éducateurs afin de suivre leur motivation, leur satisfaction et leurs progrès sur les activités physiques proposées. On les réoriente le cas échéant. Des rendez-vous sont prévus pour cela après 1, 6, 12 mois, puis tous les 6 mois.
Les personnes participant à ce dispositif peuvent en bénéficier pendant trois ans, sachant que la première année est gratuite, ensuite, la participation financière est établie en fonction du coefficient familial (20 €, 50 € ou 100 €).