Avant d’entrer dans le détail, rappelons que les soins palliatifs sont les soins prodigués aux personnes atteintes d’une maladie grave ou en fin de vie. Ils ne soignent pas.
Ils visent à améliorer la qualité de vie des patients et de leur famille en prévenant et en soulageant leurs souffrances physiques, psychologiques, sociales ou spirituelles. Et point fondamental, ils sont reconnus comme étant un droit humain à la santé.
Parmi les points saillants de cette étude de l’ORS, on note donc un besoin accru de soins palliatifs dans les années à venir. Mais on remarque aussi que peu de données existent à ce sujet pour évaluer les besoins et leur prise en charge.
Toujours selon cette enquête, entre 61% et 79% des décès en Île-de-France auraient nécessité une prise en charge en soins palliatifs et des besoins importants sont identifiés plus précisément dans le Val-d’Oise, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis.
Parmi les personnes avec des besoins potentiels, un peu moins de la moitié (43%) a bénéficié de soins palliatifs hospitaliers au cours des douze mois précédant leur décès et les trois-quarts sont décédées à l’hôpital.
On note aussi que les soins palliatifs hospitaliers sont davantage prodigués aux personnes atteintes de cancer. Dans ce contexte et toujours selon l’ORS, des recherches devrait être menées pour comprendre ce qui conduit celles atteintes de défaillances d’organe à moins en bénéficier…
Les soins palliatifs dispensés en milieu libéral nécessiteraient d’être mieux documentés pour comprendre comment s’organise leur prise en charge dans les territoires.
Et le fort taux de décès à l’hôpital doit conduire les politiques publiques à questionner la capacité de l’offre libérale à proposer des soins médicaux et des supports sociaux adaptés à une fin de vie à domicile (grand sujet avec le vieillissement de la population).
En septembre 2021, Olivier Véran, ministre de la Santé détaillait le plan national pour le développement des soins palliatifs et l’accompagnement de la fin de vie pour 2021-2024. Un 5ème plan qui souhaite traduire l’engagement de garantir à tous les citoyens l’accès aux soins palliatifs et à l’accompagnement de la fin de vie. En tout, 171 millions d’euros dont près de 5 millions l’an passé.
Ils visent à améliorer la qualité de vie des patients et de leur famille en prévenant et en soulageant leurs souffrances physiques, psychologiques, sociales ou spirituelles. Et point fondamental, ils sont reconnus comme étant un droit humain à la santé.
Parmi les points saillants de cette étude de l’ORS, on note donc un besoin accru de soins palliatifs dans les années à venir. Mais on remarque aussi que peu de données existent à ce sujet pour évaluer les besoins et leur prise en charge.
Toujours selon cette enquête, entre 61% et 79% des décès en Île-de-France auraient nécessité une prise en charge en soins palliatifs et des besoins importants sont identifiés plus précisément dans le Val-d’Oise, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis.
Parmi les personnes avec des besoins potentiels, un peu moins de la moitié (43%) a bénéficié de soins palliatifs hospitaliers au cours des douze mois précédant leur décès et les trois-quarts sont décédées à l’hôpital.
On note aussi que les soins palliatifs hospitaliers sont davantage prodigués aux personnes atteintes de cancer. Dans ce contexte et toujours selon l’ORS, des recherches devrait être menées pour comprendre ce qui conduit celles atteintes de défaillances d’organe à moins en bénéficier…
Les soins palliatifs dispensés en milieu libéral nécessiteraient d’être mieux documentés pour comprendre comment s’organise leur prise en charge dans les territoires.
Et le fort taux de décès à l’hôpital doit conduire les politiques publiques à questionner la capacité de l’offre libérale à proposer des soins médicaux et des supports sociaux adaptés à une fin de vie à domicile (grand sujet avec le vieillissement de la population).
En septembre 2021, Olivier Véran, ministre de la Santé détaillait le plan national pour le développement des soins palliatifs et l’accompagnement de la fin de vie pour 2021-2024. Un 5ème plan qui souhaite traduire l’engagement de garantir à tous les citoyens l’accès aux soins palliatifs et à l’accompagnement de la fin de vie. En tout, 171 millions d’euros dont près de 5 millions l’an passé.