Le principe de base, lorsque l’on vit au Japon est de ne pas déranger les autres. Cela se traduit par une extrême discrétion de son comportement. Le téléphone portable qui sonne dans un bus ou dans le métro est ainsi proscrit. Hausser le ton lors d’une conversation également. Manger un en-cas dans le métro ou dans la rue est aussi inadapté.
En revanche dans les trains de longues distances cela est totalement accepté. Il y a d’ailleurs dans tous les trains rapides des hôtesses qui passent régulièrement avec des chariots garnis d’ekiben, de bières ou de boissons chaudes au cas où vous n’auriez pas eu le temps d’en acheter avant le départ du train.
Le respect des feux aux passages piétons est également un impératif à ne pas enfreindre même si aucune voiture ne se profile à l’horizon, de la même manière on ne jette aucun détritus, papier ou cigarette par terre. Dans la mesure où les poubelles sont quasiment inexistantes dans les rues ou dans les parcs, cela vous oblige à les rapporter chez vous. Une contrainte pas toujours facile à adopter.
Dans le même esprit de savoir vivre en communauté, faire la queue fait partie du quotidien des Japonais. L’ordre d’arrivée est absolument respecté quel que soit le lieu : arrêts d’autobus, à la caisse d’une boutique ou à l’entrée d’un restaurant.
Lire aussi : Savoir vivre le Japon partie 1
En revanche dans les trains de longues distances cela est totalement accepté. Il y a d’ailleurs dans tous les trains rapides des hôtesses qui passent régulièrement avec des chariots garnis d’ekiben, de bières ou de boissons chaudes au cas où vous n’auriez pas eu le temps d’en acheter avant le départ du train.
Le respect des feux aux passages piétons est également un impératif à ne pas enfreindre même si aucune voiture ne se profile à l’horizon, de la même manière on ne jette aucun détritus, papier ou cigarette par terre. Dans la mesure où les poubelles sont quasiment inexistantes dans les rues ou dans les parcs, cela vous oblige à les rapporter chez vous. Une contrainte pas toujours facile à adopter.
Dans le même esprit de savoir vivre en communauté, faire la queue fait partie du quotidien des Japonais. L’ordre d’arrivée est absolument respecté quel que soit le lieu : arrêts d’autobus, à la caisse d’une boutique ou à l’entrée d’un restaurant.
Lire aussi : Savoir vivre le Japon partie 1
Un principe qui se révèle d’ailleurs agréable à vivre, on est ainsi assuré de ne pas se faire dépasser par des tricheurs invétérés. Et souvent cela se traduit par un gain de temps. D’ailleurs à l’entrée de certains restaurants des bancs sont disposés afin de rendre l’attente moins contraignante.
Par temps de pluie, cela arrive souvent au Japon, il est d’usage de laisser son parapluie à l’entrée du magasin. Des rangements sont toujours prévus, dans les grands magasins chics, il existe des machines qui enveloppent votre parapluie mouillé dans une housse en plastique.
Si, comme nous l’avons évoqué plus haut, il s’avère compliqué de trouver des poubelles dans les lieux publics, l’accès à des toilettes est d’une grande facilité. Elles sont toujours présentes lorsque le besoin s’en fait ressentir, elles sont d’une propreté parfaite et toujours gratuites.
Comme tant d’autres choses au Japon, l’utilisation des transports en commun est régie par certaines règles d’usage. En effet, aux heures d’affluences, il vaut mieux être dans le bon flux cela vous simplifiera la vie. A Tokyo, dans des stations comme celles de Shinjuku ou de Shinagawa, le flux des voyageurs est tel qu’il est impossible à aller contre.
Dans les escalators, il faudra rester sur la file de gauche si vous restez immobile et laisser la libre circulation à la file de droite. Pas question d’être à deux de front pour bavarder. Une fois arrivé sur le quai, on stationne sur les côtés de la porte afin de laisser descendre les passagers. Des marquages au sol sont d’ailleurs très explicites.
Une fois dans la rame, pas de téléphone portable ni de conversation bruyante, les Japonais profitent de cet intermède pour une courte sieste (L’inemuri est l’art de la sieste) ou lire un manga. A cet égard, on est toujours surpris par le silence relatif de cette foule qui se déplace dans un silence impressionnant.
S’il est toujours possible d’acheter des tickets à l’unité aux nombreuses machines disponibles avoir une carte prépayée de type Suica simplifie grandement la vie notamment aux correspondances. Si par contre vous optez pour des tickets et que vous ne connaissez pas toujours la bonne tarification, il suffit de passer à l’arrivée par le guichet des contrôleurs qui vous demanderont le complément. Si vous êtes possesseur d’un JR Pass c’est également par eux que vous franchirez les guichets.
Voilà pour ce deuxième chapitre du Savoir vivre le Japon consacré à la rue et aux transports en commun. A bientôt pour d’autres conseils.
Joël Chassaing-Cuvillier
Par temps de pluie, cela arrive souvent au Japon, il est d’usage de laisser son parapluie à l’entrée du magasin. Des rangements sont toujours prévus, dans les grands magasins chics, il existe des machines qui enveloppent votre parapluie mouillé dans une housse en plastique.
Si, comme nous l’avons évoqué plus haut, il s’avère compliqué de trouver des poubelles dans les lieux publics, l’accès à des toilettes est d’une grande facilité. Elles sont toujours présentes lorsque le besoin s’en fait ressentir, elles sont d’une propreté parfaite et toujours gratuites.
Comme tant d’autres choses au Japon, l’utilisation des transports en commun est régie par certaines règles d’usage. En effet, aux heures d’affluences, il vaut mieux être dans le bon flux cela vous simplifiera la vie. A Tokyo, dans des stations comme celles de Shinjuku ou de Shinagawa, le flux des voyageurs est tel qu’il est impossible à aller contre.
Dans les escalators, il faudra rester sur la file de gauche si vous restez immobile et laisser la libre circulation à la file de droite. Pas question d’être à deux de front pour bavarder. Une fois arrivé sur le quai, on stationne sur les côtés de la porte afin de laisser descendre les passagers. Des marquages au sol sont d’ailleurs très explicites.
Une fois dans la rame, pas de téléphone portable ni de conversation bruyante, les Japonais profitent de cet intermède pour une courte sieste (L’inemuri est l’art de la sieste) ou lire un manga. A cet égard, on est toujours surpris par le silence relatif de cette foule qui se déplace dans un silence impressionnant.
S’il est toujours possible d’acheter des tickets à l’unité aux nombreuses machines disponibles avoir une carte prépayée de type Suica simplifie grandement la vie notamment aux correspondances. Si par contre vous optez pour des tickets et que vous ne connaissez pas toujours la bonne tarification, il suffit de passer à l’arrivée par le guichet des contrôleurs qui vous demanderont le complément. Si vous êtes possesseur d’un JR Pass c’est également par eux que vous franchirez les guichets.
Voilà pour ce deuxième chapitre du Savoir vivre le Japon consacré à la rue et aux transports en commun. A bientôt pour d’autres conseils.
Joël Chassaing-Cuvillier