Identifiée seulement récemment, la sarcopénie apparait depuis une quinzaine d’années comme une des pathologies dégénératives significativement impactantes pour la santé des personnes âgées de plus de 60 ans.
Ces dernières années, de nombreuses études sur la compréhension de son mécanisme se sont multipliées, révélant peu à peu l’ampleur de la pathologie et la multiplicité des facteurs de risque. Surtout dans un monde où les populations vieillissent…
Il faut savoir que la multiplicité des facteurs de risque de la sarcopénie rendent cette pathologie très singulière : elle reste trop peu connue et encore difficile à diagnostiquer ; à ce titre, elle doit être prévenue ou ralentie par un exercice physique régulier et une nutrition appropriée et ce, dès 50 ans !
La prévalence de cette pathologie pour les plus de 60 ans oscille entre 6 et 22%. Or, ces derniers représentent aujourd’hui un quart des Français et leur proportion ne cesse d’augmenter avec le vieillissement de la population !
On considère qu’il existe trois niveaux de sarcopénie, définis par le Groupe de travail européen sur la sarcopénie :
« L’effet principal du traitement est une augmentation de la vitesse de marche de 13% par rapport au placebo sur un test de 400m, un indicateur clé d’évaluation de la santé des seniors » indique le Pr Jean Mariani, Président du Comité scientifique de Biophytis qui a dirigé l’étude SARA-31.
Et d’ajouter : « ce critère est associé à une réduction du risque de handicap moteur, de chute, d’hospitalisation et de décès. Le candidat médicament stimule l’activité métabolique musculaire en augmentant la capacité des muscles à synthétiser des fibres musculaires et à les contracter, en activant la voie moléculaire protectrice du système Rénine-Angiotensine, un système hormonal connu pour ses effets régulateurs des fonctions neuro-musculaires et cardio-respiratoires. »
Malgré les études récentes, cette pathologie est largement méconnue des praticiens et plus encore du grand public. Aucun traitement pharmaceutique n’étant disponible pour pallier cette pathologie, la très grande majorité des patients se trouvent en errance thérapeutique…
Les médecins sont dépourvus de solution et sont contraints de prescrire des molécules hors indication ou des compléments alimentaires.
Ces dernières années, de nombreuses études sur la compréhension de son mécanisme se sont multipliées, révélant peu à peu l’ampleur de la pathologie et la multiplicité des facteurs de risque. Surtout dans un monde où les populations vieillissent…
Il faut savoir que la multiplicité des facteurs de risque de la sarcopénie rendent cette pathologie très singulière : elle reste trop peu connue et encore difficile à diagnostiquer ; à ce titre, elle doit être prévenue ou ralentie par un exercice physique régulier et une nutrition appropriée et ce, dès 50 ans !
La prévalence de cette pathologie pour les plus de 60 ans oscille entre 6 et 22%. Or, ces derniers représentent aujourd’hui un quart des Français et leur proportion ne cesse d’augmenter avec le vieillissement de la population !
On considère qu’il existe trois niveaux de sarcopénie, définis par le Groupe de travail européen sur la sarcopénie :
- Niveau 1 : sarcopénie probable avec perte de force musculaire (stade présarcopénie)
- Niveau 2 : sarcopénie avérée perte de la force et de la masse musculaire
- Niveau 3 : performance physique, masse et force diminuées
« L’effet principal du traitement est une augmentation de la vitesse de marche de 13% par rapport au placebo sur un test de 400m, un indicateur clé d’évaluation de la santé des seniors » indique le Pr Jean Mariani, Président du Comité scientifique de Biophytis qui a dirigé l’étude SARA-31.
Et d’ajouter : « ce critère est associé à une réduction du risque de handicap moteur, de chute, d’hospitalisation et de décès. Le candidat médicament stimule l’activité métabolique musculaire en augmentant la capacité des muscles à synthétiser des fibres musculaires et à les contracter, en activant la voie moléculaire protectrice du système Rénine-Angiotensine, un système hormonal connu pour ses effets régulateurs des fonctions neuro-musculaires et cardio-respiratoires. »
Malgré les études récentes, cette pathologie est largement méconnue des praticiens et plus encore du grand public. Aucun traitement pharmaceutique n’étant disponible pour pallier cette pathologie, la très grande majorité des patients se trouvent en errance thérapeutique…
Les médecins sont dépourvus de solution et sont contraints de prescrire des molécules hors indication ou des compléments alimentaires.