Après une revue de la littérature scientifique et une phase exploratoire auprès des premiers participants à Rêves de Seniors, Véronique Cayado a mis au point un dispositif de recherche longitudinale avec des entretiens semi-directifs et des questionnaires « pré » et « post » réalisation du rêve.
L’objectif de cette étude, qui sera déployée auprès de l’ensemble des participants à l’opération, est de pouvoir évaluer l’impact de la concrétisation d’un rêve à un âge avancé, notamment sur le plan psychologique et l’estime de soi.
Au-delà de l’analyse d’impact, cette étude vise aussi à mieux comprendre la nature des projets et des aspirations passé 60 ans, ainsi que les dynamiques psychosociales qui les sous-tendent aux différents âges de la vieillesse.
Après tout, la société, les autres, peuvent bien nous considérer comme une vieille personne -notre corps lui-même peut nous rappeler combien il a changé avec le temps- mais nous sommes toujours des personnes comme tout le monde.
Nous ressentons, désirons, imaginons. Or, la vieillesse est avant tout considérée comme l’âge triste de la vie, celui du désengagement où l’énergie vitale s’amenuise peu à peu. C’est pourquoi il est aussi important de montrer des personnes de 70, 80 ans ou plus, qui parlent de leur rêve et qui le réalisent.
C’est important parce que ces personnes vont représenter des référents positifs, des supports identificatoires valorisants qui peuvent favoriser l’expression des désirs et des rêves chez d’autres personnes âgées.
Certes nous ne sommes pas égaux face aux conséquences du vieillissement, mais chacun à sa manière peut s’adapter à ces changements, en réorganisant par exemple ses zones d’intérêt, pour continuer à choisir et décider pour soi-même, et pourquoi pas en suivant ses rêves.
L’objectif de cette étude, qui sera déployée auprès de l’ensemble des participants à l’opération, est de pouvoir évaluer l’impact de la concrétisation d’un rêve à un âge avancé, notamment sur le plan psychologique et l’estime de soi.
Au-delà de l’analyse d’impact, cette étude vise aussi à mieux comprendre la nature des projets et des aspirations passé 60 ans, ainsi que les dynamiques psychosociales qui les sous-tendent aux différents âges de la vieillesse.
Après tout, la société, les autres, peuvent bien nous considérer comme une vieille personne -notre corps lui-même peut nous rappeler combien il a changé avec le temps- mais nous sommes toujours des personnes comme tout le monde.
Nous ressentons, désirons, imaginons. Or, la vieillesse est avant tout considérée comme l’âge triste de la vie, celui du désengagement où l’énergie vitale s’amenuise peu à peu. C’est pourquoi il est aussi important de montrer des personnes de 70, 80 ans ou plus, qui parlent de leur rêve et qui le réalisent.
C’est important parce que ces personnes vont représenter des référents positifs, des supports identificatoires valorisants qui peuvent favoriser l’expression des désirs et des rêves chez d’autres personnes âgées.
Certes nous ne sommes pas égaux face aux conséquences du vieillissement, mais chacun à sa manière peut s’adapter à ces changements, en réorganisant par exemple ses zones d’intérêt, pour continuer à choisir et décider pour soi-même, et pourquoi pas en suivant ses rêves.