L'Agirc-Arrco, qui gère les retraites complémentaires des salariés du secteur privé, est sur le point de prendre une décision qui pourrait bien faire des heureux. Depuis 2019 en effet, chaque assuré ayant une carrière complète et désirant prendre sa retraite à l'âge légal se trouve face à une décision cruciale : il doit ajouter une année supplémentaire à son temps de travail, au risque d'encourir un malus de 10% sur le montant de sa pension. Par contre, s'il choisit de prolonger son activité pendant deux ans supplémentaires, un bonus de 10% lui sera accordé.. Une sanction pécuniaire qui a suscité bien des mécontentements et qui pourrait bientôt n'être plus qu'un mauvais souvenir.
Le conseil d'administration de l'Agirc-Arrco se réunira en effet mercredi 13 septembre pour un second round de discussions au sujet de cette épineuse question. Si la suppression du malus est actée, elle entrera en vigueur dès le 1er novembre prochain. Une nouvelle qui pourrait redonner le sourire à bon nombre de futurs retraités.
La mise en place de ce malus avait pour but initial d'inciter les salariés à travailler plus longtemps. Cependant, au fil du temps, il est apparu que cette mesure n'avait pas l'effet escompté. Au lieu d'encourager le maintien dans l'emploi, elle a surtout créé un sentiment d'injustice chez ceux qui ne pouvaient pas choisir la date de leur départ à la retraite.
De plus, ce malus a également eu un impact financier non négligeable sur les retraités les plus modestes. En effet, une réduction de 10% sur une petite pension peut représenter une somme importante pour ceux qui ont déjà du mal à boucler leurs fins de mois.
C'est dans ce contexte que la question de la suppression du malus est aujourd'hui posée. Si cette mesure était adoptée demain, cela marquerait un tournant dans la politique de l'Agirc-Arrco et elle serait accueillie avec soulagement par beaucoup de retraités.
Cependant, il ne faut pas perdre de vue que cette décision aura également des conséquences financières pour l'Agirc-Arrco. Le manque à gagner lié à la suppression du malus devra être compensé d'une manière ou d'une autre. Il faudra donc attendre la réunion du conseil d'administration pour connaître les détails de cette potentielle réforme.
Le conseil d'administration de l'Agirc-Arrco se réunira en effet mercredi 13 septembre pour un second round de discussions au sujet de cette épineuse question. Si la suppression du malus est actée, elle entrera en vigueur dès le 1er novembre prochain. Une nouvelle qui pourrait redonner le sourire à bon nombre de futurs retraités.
La mise en place de ce malus avait pour but initial d'inciter les salariés à travailler plus longtemps. Cependant, au fil du temps, il est apparu que cette mesure n'avait pas l'effet escompté. Au lieu d'encourager le maintien dans l'emploi, elle a surtout créé un sentiment d'injustice chez ceux qui ne pouvaient pas choisir la date de leur départ à la retraite.
De plus, ce malus a également eu un impact financier non négligeable sur les retraités les plus modestes. En effet, une réduction de 10% sur une petite pension peut représenter une somme importante pour ceux qui ont déjà du mal à boucler leurs fins de mois.
C'est dans ce contexte que la question de la suppression du malus est aujourd'hui posée. Si cette mesure était adoptée demain, cela marquerait un tournant dans la politique de l'Agirc-Arrco et elle serait accueillie avec soulagement par beaucoup de retraités.
Cependant, il ne faut pas perdre de vue que cette décision aura également des conséquences financières pour l'Agirc-Arrco. Le manque à gagner lié à la suppression du malus devra être compensé d'une manière ou d'une autre. Il faudra donc attendre la réunion du conseil d'administration pour connaître les détails de cette potentielle réforme.