Selon cette enquête donc, les trois-quarts (73%) des répondants pensent que le financement de la retraite est une préoccupation importante. Un constat encore plus évident chez les 50-60 (78%) et dans les communes urbaines (77%).
D’autre part, plus de la moitié des sondés estime qu’il serait idéal de commencer à préparer sa retraite avant 50 ans. D’ailleurs, un tiers d’entre eux s’est renseigné sur les différents types de placements.
Par ailleurs, plus de la moitié s’est ainsi adressée à une banque pour en préparer le financement de leur retraite et un tiers a fait la démarche auprès de son assureur ou sur des sites d’informations dédiés.
Les professionnels de la retraite sont considérés comme discrets. Seuls un petit tiers (31%) des répondants déclarent avoir été démarchés pour la préparation de leur retraite, dont 16% par leur banque.
Toujours selon cette enquête, plus de la moitié des sondés déclarent avoir reçu et lu leurs relevés de situation individuelle des droits à la retraite et les trois quarts jugent les informations suffisantes, surtout les plus âgés.
Même si un tiers estime qu’ils percevront plus de 70% de leur dernier salaire (revenu d’activité) à la retraite, un peu moins d’un tiers pense qu’ils toucheront moins de 50% de celui-ci. Par ailleurs, les deux-tiers (65%) déclarent que leurs revenus ne seront pas suffisants pour vivre correctement à la retraite, surtout auprès des femmes (78%).
Ainsi, deux-tiers de répondants semblent inquiets vis-à-vis de leur future retraite. Les femmes (71%) le sont davantage que les hommes (59%), probablement en raison des différences de salaires qui perdurent et des carrières parfois mises en pause par la maternité.
Dans ce contexte, quelles actions mettre en place pour financer sa retraite ? Un tiers des répondants déclare avoir commencé à épargner et pour la moitié d’entre eux, il y a plus de 5 ans. Signe encourageant, un tiers prévoit de le faire, surtout les moins de 40 ans (43%) plutôt urbains (41%).
Les produits d’épargne classiques comme les livrets d’épargne (PEL (51%) et assurance-vie (44%)) sont les produits les plus utilisés par les répondants. Sans surprise, ces produits sont détenus principalement par les banques (65%, les assureurs arrivent en seconde position à hauteur de 23%).
Toujours selon ce sondage, 40% des répondants déclarent connaitre le PER individuel lancé en 2019, mais parmi eux, seulement 12% en détiennent auprès des bancassurances (64%). Même si les avantages fiscaux du PERIn intéressent plus les répondants, ces derniers estiment que l’assurance-vie est plus facile à comprendre (31% vs 10% pour le PERIn) et plus rentable (22% vs 12% pour le PERIn).
De façon majoritaire, les répondants soulignent un manque d’informations sur ce nouveau dispositif, seuls 19% s’estiment bien informés. À noter qu’un tiers des hommes et les plus de 50 ans (29%) se sentent davantage informés que les femmes (18%).
Pourtant, les répondants soulignent un intérêt de souscrire un PERIn qui leur permet de récupérer un capital pour leurs héritiers (42%). Ils sont également nombreux à revendiquer la possibilité de récupérer leur capital pour investir (35%) et de choisir l’âge de la retraite pour un versement de capital ou obtenir une rente (35%).
L’aspect financier représente le principal frein à la souscription d’un PERIn (62%). Les Français déclarent qu’ils n’ont pas les moyens d’épargner (32%) et craignent des frais élevés (29%), ce qui peut expliquer qu’ils placent leur confiance dans les produits d’assurance-vie qui pourraient leur apporter une sécurité financière.
L'étude complète est disponible sur demande avec intégration obligatoire des mentions légales suivantes « Étude MMA (groupe Covéa) / Argus de l’Assurance réalisée par INFOPRO DIGITAL ETUDES du 13 au 19 juin 2022 auprès d’un échantillon de 1000 personnes âgées de 30 à 60 ans, en ligne ».
D’autre part, plus de la moitié des sondés estime qu’il serait idéal de commencer à préparer sa retraite avant 50 ans. D’ailleurs, un tiers d’entre eux s’est renseigné sur les différents types de placements.
Par ailleurs, plus de la moitié s’est ainsi adressée à une banque pour en préparer le financement de leur retraite et un tiers a fait la démarche auprès de son assureur ou sur des sites d’informations dédiés.
Les professionnels de la retraite sont considérés comme discrets. Seuls un petit tiers (31%) des répondants déclarent avoir été démarchés pour la préparation de leur retraite, dont 16% par leur banque.
Toujours selon cette enquête, plus de la moitié des sondés déclarent avoir reçu et lu leurs relevés de situation individuelle des droits à la retraite et les trois quarts jugent les informations suffisantes, surtout les plus âgés.
Même si un tiers estime qu’ils percevront plus de 70% de leur dernier salaire (revenu d’activité) à la retraite, un peu moins d’un tiers pense qu’ils toucheront moins de 50% de celui-ci. Par ailleurs, les deux-tiers (65%) déclarent que leurs revenus ne seront pas suffisants pour vivre correctement à la retraite, surtout auprès des femmes (78%).
Ainsi, deux-tiers de répondants semblent inquiets vis-à-vis de leur future retraite. Les femmes (71%) le sont davantage que les hommes (59%), probablement en raison des différences de salaires qui perdurent et des carrières parfois mises en pause par la maternité.
Dans ce contexte, quelles actions mettre en place pour financer sa retraite ? Un tiers des répondants déclare avoir commencé à épargner et pour la moitié d’entre eux, il y a plus de 5 ans. Signe encourageant, un tiers prévoit de le faire, surtout les moins de 40 ans (43%) plutôt urbains (41%).
Les produits d’épargne classiques comme les livrets d’épargne (PEL (51%) et assurance-vie (44%)) sont les produits les plus utilisés par les répondants. Sans surprise, ces produits sont détenus principalement par les banques (65%, les assureurs arrivent en seconde position à hauteur de 23%).
Toujours selon ce sondage, 40% des répondants déclarent connaitre le PER individuel lancé en 2019, mais parmi eux, seulement 12% en détiennent auprès des bancassurances (64%). Même si les avantages fiscaux du PERIn intéressent plus les répondants, ces derniers estiment que l’assurance-vie est plus facile à comprendre (31% vs 10% pour le PERIn) et plus rentable (22% vs 12% pour le PERIn).
De façon majoritaire, les répondants soulignent un manque d’informations sur ce nouveau dispositif, seuls 19% s’estiment bien informés. À noter qu’un tiers des hommes et les plus de 50 ans (29%) se sentent davantage informés que les femmes (18%).
Pourtant, les répondants soulignent un intérêt de souscrire un PERIn qui leur permet de récupérer un capital pour leurs héritiers (42%). Ils sont également nombreux à revendiquer la possibilité de récupérer leur capital pour investir (35%) et de choisir l’âge de la retraite pour un versement de capital ou obtenir une rente (35%).
L’aspect financier représente le principal frein à la souscription d’un PERIn (62%). Les Français déclarent qu’ils n’ont pas les moyens d’épargner (32%) et craignent des frais élevés (29%), ce qui peut expliquer qu’ils placent leur confiance dans les produits d’assurance-vie qui pourraient leur apporter une sécurité financière.
L'étude complète est disponible sur demande avec intégration obligatoire des mentions légales suivantes « Étude MMA (groupe Covéa) / Argus de l’Assurance réalisée par INFOPRO DIGITAL ETUDES du 13 au 19 juin 2022 auprès d’un échantillon de 1000 personnes âgées de 30 à 60 ans, en ligne ».