Comme le souligne le communiqué de presse de cette fédération née en 1985, « ce texte est en demi-teinte, ayant le mérite d’enrichir le débat ».
De fait, la Fnadepa salue la volonté des parlementaires d’agir en faveur du « Grand âge » et souligne également que certaines mesures sont intéressantes en matière de lutte contre la maltraitance ou d'obligation alimentaire, par exemple.
« Avoir une proposition de loi consacrée au bien vieillir enfin portée par la majorité est déjà un pas en soi » indique Jean-Pierre Riso, président de la Fnadepa.
Et ce spécialiste des thématiques « personnes âgées » de poursuivre : « mais ce texte reste limité et n’apporte en aucun cas une réponse à la hauteur des urgences de notre secteur et de l’impératif démographique de notre société ».
« Il lui manque en effet l’ampleur et les fondamentaux de la grande réforme attendue du gouvernement tels que la fixation de ratios de personnel minimum obligatoires, la simplification de la gouvernance, le financement… Nous ne pouvons plus nous contenter d’une politique des petits pas » conclut-il.
A ce titre, la Fnadepa souhaite donc que cette proposition de loi soit profondément enrichie lors des débats parlementaires tout en exhortant le gouvernement à la compléter par une loi de programmation et des financements à la hauteur.
*Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées. Elle est la tête de pont d’un réseau de 1.400 professionnels de terrain, rassemblés en associations départementales et régionales.
De fait, la Fnadepa salue la volonté des parlementaires d’agir en faveur du « Grand âge » et souligne également que certaines mesures sont intéressantes en matière de lutte contre la maltraitance ou d'obligation alimentaire, par exemple.
« Avoir une proposition de loi consacrée au bien vieillir enfin portée par la majorité est déjà un pas en soi » indique Jean-Pierre Riso, président de la Fnadepa.
Et ce spécialiste des thématiques « personnes âgées » de poursuivre : « mais ce texte reste limité et n’apporte en aucun cas une réponse à la hauteur des urgences de notre secteur et de l’impératif démographique de notre société ».
« Il lui manque en effet l’ampleur et les fondamentaux de la grande réforme attendue du gouvernement tels que la fixation de ratios de personnel minimum obligatoires, la simplification de la gouvernance, le financement… Nous ne pouvons plus nous contenter d’une politique des petits pas » conclut-il.
A ce titre, la Fnadepa souhaite donc que cette proposition de loi soit profondément enrichie lors des débats parlementaires tout en exhortant le gouvernement à la compléter par une loi de programmation et des financements à la hauteur.
*Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées. Elle est la tête de pont d’un réseau de 1.400 professionnels de terrain, rassemblés en associations départementales et régionales.