L’étude a utilisé les données de l'étude longitudinale anglaise sur le vieillissement (ELSA) de 7917 participants, suivis de 2008/2009 à 2018/2019.
L’étude démontre qu’un « engagement plus élevé dans les activités cognitives, un plus grand nombre d’appartenances sociales (par exemple, l’appartenance à un club) et une plus grande participation sociale ont été associés à un risque plus faible » de développer la maladie, tout en tenant compte des facteurs de risque démographiques, âges, sexe et des autres facteurs de risque liés au mode de vie.
Ces activités pourraient donc « modérer l’influence de plusieurs autres facteurs de risque tels que le faible niveau d'éducation, le faible niveau de richesse et les facteurs liés au mode de vie », et pourraient de manière plus globale faire partie de conseils et mesures préventives contre la maladie.
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L’étude démontre qu’un « engagement plus élevé dans les activités cognitives, un plus grand nombre d’appartenances sociales (par exemple, l’appartenance à un club) et une plus grande participation sociale ont été associés à un risque plus faible » de développer la maladie, tout en tenant compte des facteurs de risque démographiques, âges, sexe et des autres facteurs de risque liés au mode de vie.
Ces activités pourraient donc « modérer l’influence de plusieurs autres facteurs de risque tels que le faible niveau d'éducation, le faible niveau de richesse et les facteurs liés au mode de vie », et pourraient de manière plus globale faire partie de conseils et mesures préventives contre la maladie.
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