En plus de la presbytie, diminution progressive du pouvoir d'accommodation de l'œil qui entraîne une gêne à la vision de près susceptible de toucher toute personne autour de 40 ans, avec l’âge, les troubles de la vue se développent.
Des pathologies spécifiques à l’âge peuvent ainsi apparaître comme la cataracte, la DMLA et le glaucome. Ces maladies ont des symptômes différents qu’il est important de connaître et bien maitriser pour assurer un diagnostic précoce et ainsi freiner, voire interrompre la perte visuelle.
Sans trop de surprise, les seniors sont les plus touchés par les problèmes de vision : ainsi près du quart (24%) des plus de 80 ans voient mal les caractères d’imprimerie d’un journal et 17% parviennent difficilement à reconnaître un visage à quatre mètres de distance.
Au-delà de la mauvaise vue, cela peut avoir d’autres conséquences plus insidieuses sur le long-terme : risques de chute et perte d’autonomie dans les tâches quotidiennes sont souvent les conséquences d’une perte de la capacité visuelle, pouvant aller jusqu’à entraîner une diminution du bien-être et de l’estime de soi.
Dans ce contexte, depuis 10 ans, dans les magasins Optic 2ooo agréés « Point Expert Basse Vision » un opticien formé évalue les capacités visuelles et détermine avec la personne malvoyante les aides visuelles les mieux adaptées à ses besoins du quotidien.
Par exemple, ces centres disposent d’équipements grossissant de 2 jusqu’à 85 fois. Ces aides optiques peuvent être des systèmes microscopiques ou télescopiques qui s’intègrent aux lunettes ou encore des loupes (à main ou à poser) optiques ou électroniques. Elles permettent de capturer des images et d’adapter le fond coloré pour une meilleure lisibilité.
D’autres aides techniques comme un éclairage spécifique ou des filtres favorisant les contrastes permettent d’améliorer les perceptions visuelles de la personne malvoyante et de limiter l’éblouissement. L’opticien peut prêter du matériel afin que le malvoyant puisse l’essayer à son domicile. Il peut aussi l’adresser vers des structures plus adaptées ou des associations de personnes malvoyantes.
A noter que cet opticien spécialisé intervient en collaboration avec l’ensemble des professionnels de santé intégrés dans le parcours de soin : l’ophtalmologiste, l’orthoptiste voire l’ergothérapeute et/ou un psychologue.
Des pathologies spécifiques à l’âge peuvent ainsi apparaître comme la cataracte, la DMLA et le glaucome. Ces maladies ont des symptômes différents qu’il est important de connaître et bien maitriser pour assurer un diagnostic précoce et ainsi freiner, voire interrompre la perte visuelle.
Sans trop de surprise, les seniors sont les plus touchés par les problèmes de vision : ainsi près du quart (24%) des plus de 80 ans voient mal les caractères d’imprimerie d’un journal et 17% parviennent difficilement à reconnaître un visage à quatre mètres de distance.
Au-delà de la mauvaise vue, cela peut avoir d’autres conséquences plus insidieuses sur le long-terme : risques de chute et perte d’autonomie dans les tâches quotidiennes sont souvent les conséquences d’une perte de la capacité visuelle, pouvant aller jusqu’à entraîner une diminution du bien-être et de l’estime de soi.
Dans ce contexte, depuis 10 ans, dans les magasins Optic 2ooo agréés « Point Expert Basse Vision » un opticien formé évalue les capacités visuelles et détermine avec la personne malvoyante les aides visuelles les mieux adaptées à ses besoins du quotidien.
Par exemple, ces centres disposent d’équipements grossissant de 2 jusqu’à 85 fois. Ces aides optiques peuvent être des systèmes microscopiques ou télescopiques qui s’intègrent aux lunettes ou encore des loupes (à main ou à poser) optiques ou électroniques. Elles permettent de capturer des images et d’adapter le fond coloré pour une meilleure lisibilité.
D’autres aides techniques comme un éclairage spécifique ou des filtres favorisant les contrastes permettent d’améliorer les perceptions visuelles de la personne malvoyante et de limiter l’éblouissement. L’opticien peut prêter du matériel afin que le malvoyant puisse l’essayer à son domicile. Il peut aussi l’adresser vers des structures plus adaptées ou des associations de personnes malvoyantes.
A noter que cet opticien spécialisé intervient en collaboration avec l’ensemble des professionnels de santé intégrés dans le parcours de soin : l’ophtalmologiste, l’orthoptiste voire l’ergothérapeute et/ou un psychologue.