Le minimum contributif permet aux retraités du régime général de l'Assurance vieillesse de la Sécurité sociale qui ont cotisé sur de faibles salaires de percevoir un montant minimum de retraite de base, appelé minimum contributif. Si votre retraite de base est inférieure, elle est augmentée jusqu'au niveau de ce minimum.
Si vous avez au moins 120 trimestres cotisés, ce minimum contributif est de 8 970,87 € brut par an, soit 747,57 € brut par mois.
Si vous avez moins de 120 trimestres cotisés au régime général, le montant du minimum contributif est fixé à 8 209,62 € brut par an, soit 684,14 € brut par mois.
Toutefois l'attribution de ce minimum contributif ne peut pas porter le total de vos pensions de retraites (de base et complémentaire, tous régimes confondus, français et étrangers) au-delà du plafond mensuel des retraites personnelles.
Ce plafond est révisé aux mêmes dates et dans les mêmes conditions que le Smic. La dernière hausse de celui-ci au 1er janvier 2023 a porté le plafond des retraites personnelles à 1 309,75 € par mois, contre 1 273,76 € auparavant, soit une augmentation de 35,99 €.
En fonction de votre situation, votre retraite pourra être automatiquement alignée sur ce nouveau plafond.
Exemple :
En fonction de votre nombre de trimestres cotisés, vous avez droit au minimum contributif de base, soit 684,14 € et à la majoration maximale de 63,43 €, soit le minimum contributif majoré maximum de 747,57 €.
Mais si vous percevez par ailleurs d'autres pensions de retraite de base et/ou complémentaires pour un montant de 600 € soit 1 347,57 € au total, votre majoration sera réduite de 63,43 € à 25,61 € de façon à ce que la totalité de vos pensions ne dépassent pas 1 309,75 €.
À noter : le minimum contributif ne doit pas être confondu avec le minimum vieillesse (Aspa). L'Aspa et le minimum contributif sont deux dispositifs bien distincts, tant au niveau de leurs montants que de leurs conditions d'attribution. Et contrairement à l'Aspa, le minimum contributif n'est pas récupérable sur la succession du bénéficiaire.
Source
Si vous avez au moins 120 trimestres cotisés, ce minimum contributif est de 8 970,87 € brut par an, soit 747,57 € brut par mois.
Si vous avez moins de 120 trimestres cotisés au régime général, le montant du minimum contributif est fixé à 8 209,62 € brut par an, soit 684,14 € brut par mois.
Toutefois l'attribution de ce minimum contributif ne peut pas porter le total de vos pensions de retraites (de base et complémentaire, tous régimes confondus, français et étrangers) au-delà du plafond mensuel des retraites personnelles.
Ce plafond est révisé aux mêmes dates et dans les mêmes conditions que le Smic. La dernière hausse de celui-ci au 1er janvier 2023 a porté le plafond des retraites personnelles à 1 309,75 € par mois, contre 1 273,76 € auparavant, soit une augmentation de 35,99 €.
En fonction de votre situation, votre retraite pourra être automatiquement alignée sur ce nouveau plafond.
Exemple :
En fonction de votre nombre de trimestres cotisés, vous avez droit au minimum contributif de base, soit 684,14 € et à la majoration maximale de 63,43 €, soit le minimum contributif majoré maximum de 747,57 €.
Mais si vous percevez par ailleurs d'autres pensions de retraite de base et/ou complémentaires pour un montant de 600 € soit 1 347,57 € au total, votre majoration sera réduite de 63,43 € à 25,61 € de façon à ce que la totalité de vos pensions ne dépassent pas 1 309,75 €.
À noter : le minimum contributif ne doit pas être confondu avec le minimum vieillesse (Aspa). L'Aspa et le minimum contributif sont deux dispositifs bien distincts, tant au niveau de leurs montants que de leurs conditions d'attribution. Et contrairement à l'Aspa, le minimum contributif n'est pas récupérable sur la succession du bénéficiaire.
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