L’arrivée de la retraite et le vieillissement qui l’accompagne influent fortement sur le moral des seniors… Si pour certains, cette seconde partie de vie apparait comme positive et source d’épanouissement, pour d’autres, elle peut être une source d’angoisse, de détresse et de dépression...
D’ailleurs, il ne faut pas oublier que près d’un tiers des suicides (env. 3.000 par an) touchent les plus de 65 ans. Tous âges confondus elle concerne 7% de femmes et 4% d’hommes. Soit tout de même 300 millions d’individus dans le monde. C’est la maladie du cerveau la plus couteuse en Europe.
Dans ce contexte, voici une information importante pour les seniors. L’idée ? Manger plus sainement pour réduire les risques de survenue d’une dépression. C’est ce que montre une récente étude réalisée en partenariat entre l’Inserm et l’Université de Montpellier.
Pour ces scientifiques, suivre le fameux régime méditerranéen -un régime riche alimentation riche en fruits et légumes, poisson et céréales– déjà connu pour favoriser le bien-vieillir, permettrait de réduire les risques de dépression d’un tiers !
De plus, cette étude montre qu’un régime alimentaire qui favorise les inflammations, c’est-à-dire un régime riche en acide gras saturés, en sucre et en produits raffinés (aliments transformés) était quant à lui, associé à un plus fort risque de dépression.
« L’inflammation chronique potentiellement induite par ce type d’alimentation pourrait être directement impliquée dans la survenue de la dépression » précise le communiqué de l’Inserm. Selon Tasnime Akbaraly, chercheuse à l’Inserm : « ces résultats soutiennent l’hypothèse selon laquelle éviter les aliments en faveur d’un régime anti-inflammatoire contribue à prévenir les symptômes dépressifs et la dépression. »
D’autres études ont également montré l’importance du régime alimentaire dans le fonctionnement et la composition du microbiote intestinal, venant directement impacter le lien entre l’intestin et le cerveau ; cette relation jouant un rôle clef dans les troubles dépressifs. Et la chercheuse d’ajouter : « les résultats de notre étude montrent l’importance de nos habitudes alimentaires dans la survenue de troubles dépressifs et encouragent à généraliser le conseil nutritionnel lors des consultations médicales ».
D’autres études devront être menées afin toutefois, de confirmer ces premiers éléments. Mais n’oublions pas que d’une manière générale, nous somme ce que nous mangeons.
D’ailleurs, il ne faut pas oublier que près d’un tiers des suicides (env. 3.000 par an) touchent les plus de 65 ans. Tous âges confondus elle concerne 7% de femmes et 4% d’hommes. Soit tout de même 300 millions d’individus dans le monde. C’est la maladie du cerveau la plus couteuse en Europe.
Dans ce contexte, voici une information importante pour les seniors. L’idée ? Manger plus sainement pour réduire les risques de survenue d’une dépression. C’est ce que montre une récente étude réalisée en partenariat entre l’Inserm et l’Université de Montpellier.
Pour ces scientifiques, suivre le fameux régime méditerranéen -un régime riche alimentation riche en fruits et légumes, poisson et céréales– déjà connu pour favoriser le bien-vieillir, permettrait de réduire les risques de dépression d’un tiers !
De plus, cette étude montre qu’un régime alimentaire qui favorise les inflammations, c’est-à-dire un régime riche en acide gras saturés, en sucre et en produits raffinés (aliments transformés) était quant à lui, associé à un plus fort risque de dépression.
« L’inflammation chronique potentiellement induite par ce type d’alimentation pourrait être directement impliquée dans la survenue de la dépression » précise le communiqué de l’Inserm. Selon Tasnime Akbaraly, chercheuse à l’Inserm : « ces résultats soutiennent l’hypothèse selon laquelle éviter les aliments en faveur d’un régime anti-inflammatoire contribue à prévenir les symptômes dépressifs et la dépression. »
D’autres études ont également montré l’importance du régime alimentaire dans le fonctionnement et la composition du microbiote intestinal, venant directement impacter le lien entre l’intestin et le cerveau ; cette relation jouant un rôle clef dans les troubles dépressifs. Et la chercheuse d’ajouter : « les résultats de notre étude montrent l’importance de nos habitudes alimentaires dans la survenue de troubles dépressifs et encouragent à généraliser le conseil nutritionnel lors des consultations médicales ».
D’autres études devront être menées afin toutefois, de confirmer ces premiers éléments. Mais n’oublions pas que d’une manière générale, nous somme ce que nous mangeons.