Seulement 54% des répondants de l’étude déclarent avoir anticipé le choix d’une solution de logement adaptée au vieillissement de leurs proches. Pour autant, plus des deux-tiers (67%) se disent concernés par les réflexions en matière de vieillissement et de logement.
Pour les experts de l’immobilier interrogés, ce manque d’anticipation (quatre mois en moyenne entre la prise de décision et l’arrivée en résidence seniors) s’explique par une difficulté à aborder sereinement le sujet du vieillissement.
Si les deux-tiers des répondants ont déjà été confrontés au sujet pour leurs proches, 42% estiment ne pas avoir une bonne connaissance des différentes solutions de logement seniors en France. Il en est de même pour les aides financières auxquelles ils peuvent avoir accès, que ce soit pour le maintien à domicile ou l’entrée en résidence seniors ou en EHPAD.
Dans la majorité des cas, c’est à la suite d’un accident de la vie ou d’une faiblesse (décès du conjoint, perte d’autonomie, etc.) que les personnes interrogées ont été forcées d’opter, pour leurs proches et dans l’urgence (quatre mois en moyenne), pour une nouvelle solution de logement (adaptation du domicile, résidences seniors, EHPAD, etc.).
Toujours selon cette étude, le maintien à domicile (avec ou sans adaptation) reste plébiscité par les proches, conformément à la volonté du parent, qui reste le principal critère de choix. Si le logement est fortement inadapté, les personnes interrogées se tournent vers la solution du logement neuf, offrant un emplacement parfois plus adapté (proche de la famille, des commerces, etc.), des équipements modernes et une plus grande sécurité.
Enfin, les options résidences seniors et surtout EHPAD apparaissent plutôt comme des solutions de second rang, le prix étant un critère de choix important.
Même si la décision a été prise dans l’urgence, une large majorité -90%- des répondants à l’étude, confrontée au sujet pour leurs proches, indique qu’elle reprendrait la même décision, et ce malgré les difficultés rencontrées.
Par ailleurs, 40% des seniors de l’étude indiquent avoir rencontré des difficultés lors de la recherche d’une solution pour leurs proches. Le coût du logement senior a été la principale difficulté lors de la recherche de la solution malgré les différentes offres proposées par les professionnels de l’immobilier,
en centre-ville avec une proximité des commerces ou en périphérie avec des prix moins élevés.
L’absence de disponibilité et le manque d’alternatives pourraient pousser les promoteurs à réfléchir à un renforcement et une diversification de leur offre pour satisfaire les nouvelles attentes de seniors de plus en plus nombreux.
Enfin, un travail de communication pourrait être amorcé par les professionnels du secteur pour informer les seniors sur leur offre, mais aussi sur les dispositifs existants pour les accompagner. Par exemple, les seniors interrogés ne sont que 36% à avoir connaissance des aides publiques disponibles pour adapter leur domicile à la vieillesse.
Pour les experts de l’immobilier interrogés, ce manque d’anticipation (quatre mois en moyenne entre la prise de décision et l’arrivée en résidence seniors) s’explique par une difficulté à aborder sereinement le sujet du vieillissement.
Si les deux-tiers des répondants ont déjà été confrontés au sujet pour leurs proches, 42% estiment ne pas avoir une bonne connaissance des différentes solutions de logement seniors en France. Il en est de même pour les aides financières auxquelles ils peuvent avoir accès, que ce soit pour le maintien à domicile ou l’entrée en résidence seniors ou en EHPAD.
Dans la majorité des cas, c’est à la suite d’un accident de la vie ou d’une faiblesse (décès du conjoint, perte d’autonomie, etc.) que les personnes interrogées ont été forcées d’opter, pour leurs proches et dans l’urgence (quatre mois en moyenne), pour une nouvelle solution de logement (adaptation du domicile, résidences seniors, EHPAD, etc.).
Toujours selon cette étude, le maintien à domicile (avec ou sans adaptation) reste plébiscité par les proches, conformément à la volonté du parent, qui reste le principal critère de choix. Si le logement est fortement inadapté, les personnes interrogées se tournent vers la solution du logement neuf, offrant un emplacement parfois plus adapté (proche de la famille, des commerces, etc.), des équipements modernes et une plus grande sécurité.
Enfin, les options résidences seniors et surtout EHPAD apparaissent plutôt comme des solutions de second rang, le prix étant un critère de choix important.
Même si la décision a été prise dans l’urgence, une large majorité -90%- des répondants à l’étude, confrontée au sujet pour leurs proches, indique qu’elle reprendrait la même décision, et ce malgré les difficultés rencontrées.
Par ailleurs, 40% des seniors de l’étude indiquent avoir rencontré des difficultés lors de la recherche d’une solution pour leurs proches. Le coût du logement senior a été la principale difficulté lors de la recherche de la solution malgré les différentes offres proposées par les professionnels de l’immobilier,
en centre-ville avec une proximité des commerces ou en périphérie avec des prix moins élevés.
L’absence de disponibilité et le manque d’alternatives pourraient pousser les promoteurs à réfléchir à un renforcement et une diversification de leur offre pour satisfaire les nouvelles attentes de seniors de plus en plus nombreux.
Enfin, un travail de communication pourrait être amorcé par les professionnels du secteur pour informer les seniors sur leur offre, mais aussi sur les dispositifs existants pour les accompagner. Par exemple, les seniors interrogés ne sont que 36% à avoir connaissance des aides publiques disponibles pour adapter leur domicile à la vieillesse.