Réalisée** par l'Institut Ipsos auprès de 1.500 employés français âgés de 18 à 65 ans, l'enquête révèle que 81% des répondants considèrent les actions mises en place pour prendre soin des salariés (hors mutuelle) comme un critère essentiel dans leur choix d’entreprise et 82% le considèrent comme un facteur de fidélisation.
Ainsi ce nouveau critère de choix en faveur du bien-être et de la santé accède au top 3, juste après les conditions de travail et les valeurs de l’entreprise mais avant les avantages type dotations, chèques-vacances et titres restaurants.
Stéphane Ragusa, président fondateur de Predilife souligne à cette occasion : « les entreprises sont désormais confrontées à la nécessité de se réinventer dans les avantages qu’elles offrent à leurs salariés. La santé des collaborateurs est devenue un levier d’action crucial pour contrer la montée des arrêts de travail et la baisse d’engagement des salariés ».
On le sait, les salariés doivent faire face à des problématiques telles que le stress (93% ressentent du stress dont 52% estiment que le niveau de stress a augmenté au cours des 2 dernières années) et le manque de motivation (seuls 44% des salariés se sentent bien et motivés).
Le recours plus fréquent au télétravail, adopté par près de la moitié des interrogés, impacte également l’équilibre et le bien-être des salariés avec pour principales conséquences, la hausse de l'amplitude horaire de travail (56% en moyenne), la mauvaise alimentation (49% en moyenne) et la baisse d'activité physique (48% en moyenne).
Dans ce contexte, les salariés estiment que les entreprises doivent en priorité améliorer le bien-être au travail (46%), les conditions de travail (39%) et fidéliser les collaborateurs (34%).
Les actions pour prendre soin des salariés apparaissent donc comme un nouveau critère de choix (81% en moyenne) et de fidélisation, devant les avantages traditionnels tels que les chèques-vacances, les chèques-cadeaux et titres restaurants (80% en moyenne).
Les conditions de travail restent le critère principal pour le choix d’une entreprise (92%) juste avant les valeurs de l’entreprise (84% en moyenne).
Selon cette étude, 81% estiment que l’allongement de la durée de travail représente un risque pour leur santé (les femmes 85% et les CSP- 86% sont encore plus inquiets pour leur santé).
On notera que les salariés sont inquiets pour eux à titre personnel mais aussi pour les autres générations. Ainsi, les plus seniors (les 55-65 ans), sont plus inquiets pour les générations futures (80%) que pour eux à titre personnel (69%) tandis que les plus jeunes (18-34 ans) craignent l'impact sur la santé des travailleurs plus âgés (88%).
L’épuisement (66% en moyenne, 69% pour les femmes), la mauvaise forme (61% en moyenne, 67% pour les 45-65 ans) et les arrêts de travail (50% en moyenne, 56% pour les 45-65 ans) sont les principales conséquences identifiées par les salariés.
En revanche, les travailleurs plus jeunes se concentrent davantage sur les répercussions sur leur santé mentale, telles que la dépression, le burn-out (37% en moyenne et 41 % pour les 18-34 ans) et le stress, soulignant ainsi les différents défis auxquels chaque génération est confrontée.
Pour répondre à ces préoccupations, les salariés appellent les entreprises à des mesures adaptées pour maintenir la motivation (91%), ajuster les conditions de travail (91%), veiller au bien-être (90%) et garantir la santé de tous (90%).
Bien que les entreprises soient perçues comme légitimes pour investir dans la prévention de la santé (78% des salariés donnent une note supérieure à 7 sur 10 pour évaluer la légitimité de l’entreprise), seulement 6% remarquent des actions concrètes dans ce sens.
Les attentes des salariés en matière de bien-être et de santé dépassent largement les actions actuellement mises en place et concernent essentiellement la santé mentale (37%) et le sport (35%).
Les salariés aimeraient se voir proposer des outils pour lutter contre le stress et le maintien de la santé mentale (86%), que l’entreprise suive davantage le bien-être global de ses salariés via des enquêtes interne (82% en moyenne), qu’elle encourage la pratique sportive (76% en moyenne) et incite les collaborateurs à prendre soin de leur santé individuelle (76% en moyenne) ou encore, qu’elle leur propose des bilans de santé/dépistage pour prévenir les risques de maladies redoutées (75% en moyenne).
Dans le cadre d’une carrière allongée, 77% des salariés interrogés pensent qu’un bilan de santé personnalisé intégrant un suivi médical régulier (1 à 2 fois par an) contribuerait au maintien à l’emploi.
*une société pionnière dans la conception et le développement de tests de prédiction destinés à prévenir les principales maladies. Elle utilise des méthodes d’intelligence artificielle appliquées à des données médicales cliniques et génétiques dans un cadre juridique sécurisé.
**Enquête menée par Ipsos entre janvier et février 2024 auprès de 1500 salariés âgés de 18 à 65 ans employés dans une entreprise privée ou semi-publique, avec au moins 50 salariés.
Ainsi ce nouveau critère de choix en faveur du bien-être et de la santé accède au top 3, juste après les conditions de travail et les valeurs de l’entreprise mais avant les avantages type dotations, chèques-vacances et titres restaurants.
Stéphane Ragusa, président fondateur de Predilife souligne à cette occasion : « les entreprises sont désormais confrontées à la nécessité de se réinventer dans les avantages qu’elles offrent à leurs salariés. La santé des collaborateurs est devenue un levier d’action crucial pour contrer la montée des arrêts de travail et la baisse d’engagement des salariés ».
On le sait, les salariés doivent faire face à des problématiques telles que le stress (93% ressentent du stress dont 52% estiment que le niveau de stress a augmenté au cours des 2 dernières années) et le manque de motivation (seuls 44% des salariés se sentent bien et motivés).
Le recours plus fréquent au télétravail, adopté par près de la moitié des interrogés, impacte également l’équilibre et le bien-être des salariés avec pour principales conséquences, la hausse de l'amplitude horaire de travail (56% en moyenne), la mauvaise alimentation (49% en moyenne) et la baisse d'activité physique (48% en moyenne).
Dans ce contexte, les salariés estiment que les entreprises doivent en priorité améliorer le bien-être au travail (46%), les conditions de travail (39%) et fidéliser les collaborateurs (34%).
Les actions pour prendre soin des salariés apparaissent donc comme un nouveau critère de choix (81% en moyenne) et de fidélisation, devant les avantages traditionnels tels que les chèques-vacances, les chèques-cadeaux et titres restaurants (80% en moyenne).
Les conditions de travail restent le critère principal pour le choix d’une entreprise (92%) juste avant les valeurs de l’entreprise (84% en moyenne).
Selon cette étude, 81% estiment que l’allongement de la durée de travail représente un risque pour leur santé (les femmes 85% et les CSP- 86% sont encore plus inquiets pour leur santé).
On notera que les salariés sont inquiets pour eux à titre personnel mais aussi pour les autres générations. Ainsi, les plus seniors (les 55-65 ans), sont plus inquiets pour les générations futures (80%) que pour eux à titre personnel (69%) tandis que les plus jeunes (18-34 ans) craignent l'impact sur la santé des travailleurs plus âgés (88%).
L’épuisement (66% en moyenne, 69% pour les femmes), la mauvaise forme (61% en moyenne, 67% pour les 45-65 ans) et les arrêts de travail (50% en moyenne, 56% pour les 45-65 ans) sont les principales conséquences identifiées par les salariés.
En revanche, les travailleurs plus jeunes se concentrent davantage sur les répercussions sur leur santé mentale, telles que la dépression, le burn-out (37% en moyenne et 41 % pour les 18-34 ans) et le stress, soulignant ainsi les différents défis auxquels chaque génération est confrontée.
Pour répondre à ces préoccupations, les salariés appellent les entreprises à des mesures adaptées pour maintenir la motivation (91%), ajuster les conditions de travail (91%), veiller au bien-être (90%) et garantir la santé de tous (90%).
Bien que les entreprises soient perçues comme légitimes pour investir dans la prévention de la santé (78% des salariés donnent une note supérieure à 7 sur 10 pour évaluer la légitimité de l’entreprise), seulement 6% remarquent des actions concrètes dans ce sens.
Les attentes des salariés en matière de bien-être et de santé dépassent largement les actions actuellement mises en place et concernent essentiellement la santé mentale (37%) et le sport (35%).
Les salariés aimeraient se voir proposer des outils pour lutter contre le stress et le maintien de la santé mentale (86%), que l’entreprise suive davantage le bien-être global de ses salariés via des enquêtes interne (82% en moyenne), qu’elle encourage la pratique sportive (76% en moyenne) et incite les collaborateurs à prendre soin de leur santé individuelle (76% en moyenne) ou encore, qu’elle leur propose des bilans de santé/dépistage pour prévenir les risques de maladies redoutées (75% en moyenne).
Dans le cadre d’une carrière allongée, 77% des salariés interrogés pensent qu’un bilan de santé personnalisé intégrant un suivi médical régulier (1 à 2 fois par an) contribuerait au maintien à l’emploi.
*une société pionnière dans la conception et le développement de tests de prédiction destinés à prévenir les principales maladies. Elle utilise des méthodes d’intelligence artificielle appliquées à des données médicales cliniques et génétiques dans un cadre juridique sécurisé.
**Enquête menée par Ipsos entre janvier et février 2024 auprès de 1500 salariés âgés de 18 à 65 ans employés dans une entreprise privée ou semi-publique, avec au moins 50 salariés.