Cette nouvelle étude*, réalisée auprès de plus de 1.000 Françaises concernées par cette période charnière de leur existence vise à mettre en lumière des femmes qui naviguent entre deux eaux, partagées entre un sentiment d’épanouissement lié à la maturité et les difficultés, physiques et psychologiques, en relation avec la ménopause.
Tout d’abord, de moins en moins satisfaites de l’image que leur renvoie une société qui fait la part belle au jeunisme (encore et toujours) et aux diktats de beauté, les Françaises de plus de 50 ans aspirent, pour nombre d’entre elles, à profiter pleinement de l’automne de leur vie, à l’exemple d’une sexualité plus libre et décomplexée dont témoigne une part non négligeable d’entre elles.
Ainsi, selon cette étude IFOP/FLASHS pour Humasana, près des trois-quarts (72%) des Françaises de plus de 50 ans se disent satisfaites de l’image que leur renvoie la société ; cependant, la part de femmes insatisfaites progresse de 17% à 28% entre 2007 (étude Ipsos pour Linéance) et 2023. En tout, 38% des femmes ayant un diplôme supérieur au baccalauréat et un tiers de celles se situant politiquement à gauche sont dans ce cas.
Une très large majorité (89%) de femmes de plus de 50 ans fait état d’un complexe lié au vieillissement sur au moins une partie de leur corps ; les trois-quarts des sondées sont ainsi complexées par leur ventre, les deux-tiers -64%- par leurs bras et 61% par le visage. A noter que les parties qui suscitent le moins de complexes sont les fesses et les jambes (42%).
Toujours selon les résultats de cette étude, plus de six femmes sur dix (63%) aimeraient agir plus efficacement sur leur ventre pour limiter les effets du vieillissement. Elles n’étaient que la moitié à le dire en 2007.
La ménopause a entrainé une prise de poids chez les trois quarts de ces sondées. Et 39% d’entre elles disent que leur moral en a été affecté. D’autre part, les troubles du sommeil -vécus par 72% des répondantes- suscitent des répercussions psychologiques chez 29% d’entre elles. Et 63% ont enregistré une baisse de leur libido, mais elles ne sont que 12% à dire que cela a joué sur leur moral.
Dans des proportions égales (83% et 82%), ces femmes ménopausées ont constaté l’apparition de rides et de douleurs articulaires ; pour autant, les premières sont bien mieux vécues que les secondes (17% ont été moralement affectées par leurs rides contre un tiers par leurs douleurs articulaires).
Malgré ces constats, plus de la moitié (54%) des Françaises de plus 50 ans se sent plus épanouie qu’à 25 ans (un constat que l’on fait depuis des très nombreuses années). C’est particulièrement le cas (64%) de celles appartenant aux catégories aisées (plus de 2.500 euros de revenus mensuels par foyer). Cependant, près de la moitié (46%) dit qu’elles craignent de vieillir et un petit quart (23%) redoute de faire plus que leur âge.
Si 37% des femmes interrogées se trouvent aussi séduisantes qu’avant, 35% reconnaissent envier les femmes plus jeunes qu’elles. Autre point récurrent depuis des années également : 40% des Françaises de plus de 50 ans estiment que les hommes s’embellissent avec l’âge. Elles ne sont que 38% à penser la même chose des femmes…
Toujours selon cette étude, une femme sur cinq (21%, et 29% de celles qui ont très peur de vieillir) fantasme sur des hommes plus jeunes qu’elle, soit trois fois plus que celles qui rêvent d’un partenaire plus âgé (7%). Pour autant, près des trois-quarts (72%) des répondantes sont attirées par des hommes proches de leur âge.
Près de quatre femmes (38%) sur dix jugent que leur sexualité est plus épanouie que lorsqu’elles avaient 20 ans. C’est près du double de celles qui, au contraire, se sentent moins libres dans les moments intimes (21%).
*Enquête réalisée par l’IFOP pour Humasana du 22 au 26 septembre 2023 par questionnaire autoadministré auprès d’un échantillon de 1 004 femmes, représentatif de la population féminine française âgée de 50 ans et plus.
Tout d’abord, de moins en moins satisfaites de l’image que leur renvoie une société qui fait la part belle au jeunisme (encore et toujours) et aux diktats de beauté, les Françaises de plus de 50 ans aspirent, pour nombre d’entre elles, à profiter pleinement de l’automne de leur vie, à l’exemple d’une sexualité plus libre et décomplexée dont témoigne une part non négligeable d’entre elles.
Ainsi, selon cette étude IFOP/FLASHS pour Humasana, près des trois-quarts (72%) des Françaises de plus de 50 ans se disent satisfaites de l’image que leur renvoie la société ; cependant, la part de femmes insatisfaites progresse de 17% à 28% entre 2007 (étude Ipsos pour Linéance) et 2023. En tout, 38% des femmes ayant un diplôme supérieur au baccalauréat et un tiers de celles se situant politiquement à gauche sont dans ce cas.
Une très large majorité (89%) de femmes de plus de 50 ans fait état d’un complexe lié au vieillissement sur au moins une partie de leur corps ; les trois-quarts des sondées sont ainsi complexées par leur ventre, les deux-tiers -64%- par leurs bras et 61% par le visage. A noter que les parties qui suscitent le moins de complexes sont les fesses et les jambes (42%).
Toujours selon les résultats de cette étude, plus de six femmes sur dix (63%) aimeraient agir plus efficacement sur leur ventre pour limiter les effets du vieillissement. Elles n’étaient que la moitié à le dire en 2007.
La ménopause a entrainé une prise de poids chez les trois quarts de ces sondées. Et 39% d’entre elles disent que leur moral en a été affecté. D’autre part, les troubles du sommeil -vécus par 72% des répondantes- suscitent des répercussions psychologiques chez 29% d’entre elles. Et 63% ont enregistré une baisse de leur libido, mais elles ne sont que 12% à dire que cela a joué sur leur moral.
Dans des proportions égales (83% et 82%), ces femmes ménopausées ont constaté l’apparition de rides et de douleurs articulaires ; pour autant, les premières sont bien mieux vécues que les secondes (17% ont été moralement affectées par leurs rides contre un tiers par leurs douleurs articulaires).
Malgré ces constats, plus de la moitié (54%) des Françaises de plus 50 ans se sent plus épanouie qu’à 25 ans (un constat que l’on fait depuis des très nombreuses années). C’est particulièrement le cas (64%) de celles appartenant aux catégories aisées (plus de 2.500 euros de revenus mensuels par foyer). Cependant, près de la moitié (46%) dit qu’elles craignent de vieillir et un petit quart (23%) redoute de faire plus que leur âge.
Si 37% des femmes interrogées se trouvent aussi séduisantes qu’avant, 35% reconnaissent envier les femmes plus jeunes qu’elles. Autre point récurrent depuis des années également : 40% des Françaises de plus de 50 ans estiment que les hommes s’embellissent avec l’âge. Elles ne sont que 38% à penser la même chose des femmes…
Toujours selon cette étude, une femme sur cinq (21%, et 29% de celles qui ont très peur de vieillir) fantasme sur des hommes plus jeunes qu’elle, soit trois fois plus que celles qui rêvent d’un partenaire plus âgé (7%). Pour autant, près des trois-quarts (72%) des répondantes sont attirées par des hommes proches de leur âge.
Près de quatre femmes (38%) sur dix jugent que leur sexualité est plus épanouie que lorsqu’elles avaient 20 ans. C’est près du double de celles qui, au contraire, se sentent moins libres dans les moments intimes (21%).
*Enquête réalisée par l’IFOP pour Humasana du 22 au 26 septembre 2023 par questionnaire autoadministré auprès d’un échantillon de 1 004 femmes, représentatif de la population féminine française âgée de 50 ans et plus.