Les symptômes du syndrome rotulien
Le symptôme le plus courant du SFP est une douleur autour de la rotule. Les symptômes sont souvent aggravés par une activité prolongée comme la marche, le sport ou la position assise.
Les douleurs peuvent aussi survenir lors du redressement après avoir été assis durant une longue période (communément appelé le signe du cinéma) Ces symptômes sont généralement pires le matin et en fin de journée.
Comment fonctionne le genou ?
Le genou est l’articulation charnière de la jambe, où se rejoignent le tibia, principal os du mollet, et le fémur principal os de la cuisse. Deux plus petits os, le péroné, qui longe le tibia, et la rotule, complètent l’articulation du genou.
La rotule repose dans un sillon cartilagineux à l’extrémité du fémur, la trochlée. Les tendons relient les os du genou aux muscles des jambes, tandis que les ligaments créent la jonction entre les différents os et assurent la stabilité de cette articulation.
L’articulation du genou présente de nombreuses fonctions pour le corps humain. Il permet le bon déroulement de la marche, il permet de se baisser et de se relever, il concourt à la stabilité du corps, il absorbe les chocs, entre autres fonctions essentielles.
Les causes du syndrome rotulien
Dans de nombreux cas, le SFP est causé par des activités physiques vigoureuses qui exercent un impact répété sur le genou, comme le jogging, les accroupissements et la montée d'escaliers. Il peut également être causé par un changement soudain dans l'activité physique.
Ce changement peut concerner la fréquence de l'activité, comme l'augmentation du nombre de jours d'exercice par semaine. Il peut aussi s’agir de la durée ou l'intensité de l'activité, comme la course à pied sur de longues distances.
D'autres facteurs peuvent contribuer à la douleur fémoro-patellaire :
- L'utilisation de techniques ou d'équipements d'entraînement sportif inadaptés
- Modification des chaussures ou de la surface de jeu
Le syndrome rotulien peut également avoir des causes physiques. On peut en effet constater un alignement anormal de la rotule dans le sillon de la trochlée. Dans ce cas, la rotule est repoussée d'un côté du sillon lorsque le genou est fléchi. Cette anomalie peut entraîner une pression accrue entre l'arrière de la rotule et la trochlée, contribuant ainsi à créer une usure plus importante du cartilage de cette articulation.
Comment diagnostiquer le syndrome rotulien ?
Dans la plupart des cas, l’interrogatoire du patient et l’examen physique suffisent à établir le diagnostic du syndrome fémoro-patellaire.
Durant votre interrogatoire, votre chiropracteur s’intéressera à votre état de santé général et aux symptômes que vous ressentez. Il vous demandera quand votre douleur au genou a commencé, ainsi que l'intensité et la nature de la douleur (sourde ou vive). Votre chiropracteur vous interrogera également sur les activités qui aggravent la douleur.
Durant l’examen physique, votre chiropracteur cherchera à déterminer la localisation exacte de la douleur. Pour ce faire, il procédera à la palpation et à la mobilisation de votre genou, en lui faisant réaliser des mouvements accompagnés. Il pourra également vous demander de réaliser différents mouvements par vous-même tels que vous accroupir, sauter ou vous élancer afin de tester la force de vos genoux et de votre tronc.
En cas de doute sur le diagnostic, l’imagerie médicale peut être utile. Votre chiropracteur vous orientera alors vers le médecin concerné.
Comment soigner le syndrome rotulien ?
Les symptômes sont souvent soulagés par un traitement conservateur, tel qu'une modification du niveau d'activité ou un programme d'exercices thérapeutiques.
Selon une étude publiée en 2018 dans la revue scientifique Journal of orthopaedic and sports physical therapy, la thérapie manuelle serait efficace pour diminuer la douleur à court terme chez les patients atteints de syndrome rotulien.
Plusieurs recherches ont intégré la thérapie manuelle comme la chiropraxie dans un programme global de traitement. Interrogés sur l’amélioration de la fonction, les patients témoignent d’une évolution positive.
Source
Le symptôme le plus courant du SFP est une douleur autour de la rotule. Les symptômes sont souvent aggravés par une activité prolongée comme la marche, le sport ou la position assise.
Les douleurs peuvent aussi survenir lors du redressement après avoir été assis durant une longue période (communément appelé le signe du cinéma) Ces symptômes sont généralement pires le matin et en fin de journée.
Comment fonctionne le genou ?
Le genou est l’articulation charnière de la jambe, où se rejoignent le tibia, principal os du mollet, et le fémur principal os de la cuisse. Deux plus petits os, le péroné, qui longe le tibia, et la rotule, complètent l’articulation du genou.
La rotule repose dans un sillon cartilagineux à l’extrémité du fémur, la trochlée. Les tendons relient les os du genou aux muscles des jambes, tandis que les ligaments créent la jonction entre les différents os et assurent la stabilité de cette articulation.
L’articulation du genou présente de nombreuses fonctions pour le corps humain. Il permet le bon déroulement de la marche, il permet de se baisser et de se relever, il concourt à la stabilité du corps, il absorbe les chocs, entre autres fonctions essentielles.
Les causes du syndrome rotulien
Dans de nombreux cas, le SFP est causé par des activités physiques vigoureuses qui exercent un impact répété sur le genou, comme le jogging, les accroupissements et la montée d'escaliers. Il peut également être causé par un changement soudain dans l'activité physique.
Ce changement peut concerner la fréquence de l'activité, comme l'augmentation du nombre de jours d'exercice par semaine. Il peut aussi s’agir de la durée ou l'intensité de l'activité, comme la course à pied sur de longues distances.
D'autres facteurs peuvent contribuer à la douleur fémoro-patellaire :
- L'utilisation de techniques ou d'équipements d'entraînement sportif inadaptés
- Modification des chaussures ou de la surface de jeu
Le syndrome rotulien peut également avoir des causes physiques. On peut en effet constater un alignement anormal de la rotule dans le sillon de la trochlée. Dans ce cas, la rotule est repoussée d'un côté du sillon lorsque le genou est fléchi. Cette anomalie peut entraîner une pression accrue entre l'arrière de la rotule et la trochlée, contribuant ainsi à créer une usure plus importante du cartilage de cette articulation.
Comment diagnostiquer le syndrome rotulien ?
Dans la plupart des cas, l’interrogatoire du patient et l’examen physique suffisent à établir le diagnostic du syndrome fémoro-patellaire.
Durant votre interrogatoire, votre chiropracteur s’intéressera à votre état de santé général et aux symptômes que vous ressentez. Il vous demandera quand votre douleur au genou a commencé, ainsi que l'intensité et la nature de la douleur (sourde ou vive). Votre chiropracteur vous interrogera également sur les activités qui aggravent la douleur.
Durant l’examen physique, votre chiropracteur cherchera à déterminer la localisation exacte de la douleur. Pour ce faire, il procédera à la palpation et à la mobilisation de votre genou, en lui faisant réaliser des mouvements accompagnés. Il pourra également vous demander de réaliser différents mouvements par vous-même tels que vous accroupir, sauter ou vous élancer afin de tester la force de vos genoux et de votre tronc.
En cas de doute sur le diagnostic, l’imagerie médicale peut être utile. Votre chiropracteur vous orientera alors vers le médecin concerné.
Comment soigner le syndrome rotulien ?
Les symptômes sont souvent soulagés par un traitement conservateur, tel qu'une modification du niveau d'activité ou un programme d'exercices thérapeutiques.
Selon une étude publiée en 2018 dans la revue scientifique Journal of orthopaedic and sports physical therapy, la thérapie manuelle serait efficace pour diminuer la douleur à court terme chez les patients atteints de syndrome rotulien.
Plusieurs recherches ont intégré la thérapie manuelle comme la chiropraxie dans un programme global de traitement. Interrogés sur l’amélioration de la fonction, les patients témoignent d’une évolution positive.
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