De nos jours, le Breathwork s’est développé sous de nombreuses formes telles que le Pranayama en deux étapes comme Susan Oubari l’enseigne à ses élèves. Cette pétillante américaine se lance le défi de populariser cette technique en la mettant au coeur de son atelier de développement personnel.
Dans son cours elle enseigne les bases, une respiration guidée de 30 minutes qui consiste à respirer de façon contrôlée et rythmée en deux temps, par la bouche, allongé au sol sur une musique adaptée. Le premier souffle est dans le diaphragme bas ou dans le ventre, le second souffle est au sommet du diaphragme ou de la poitrine haute puis on expire.
Chaque cours intègre le Breathwork, la méditation et le Reiki tout en laissant place à une dimension plus spirituelle, accessible aux débutants et experts. Il permet de prendre conscience de sa respiration au quotidien et de réapprendre à respirer correctement.
Les origines du Breathwork
La respiration remonte à l’ancienne pratique hindoue de respiration yoguique connue sous le nom de Pranayama, qui se traduit en sanscrit par « contrôle de la respiration ». L’un des pionniers du Breathwork est un new-yorkais du New Age, Leonard Orr, dont le groupe de chercheurs pratiquait l’essoufflement dans des baignoires, pour simuler des souvenirs utérins (Rebirthing-Breathwork) dans les années 60.
Quelques années plus tard, le psychiatre Stanislav Grov s’inspira du Pranamaya pour élaborer sa technique de respiration holotropique. Cette dernière associe des techniques respiratoires à de la musique. Il souhaitait reproduire un état de conscience modifiée causé par les drogues psychédéliques pour soigner des sujets spécifiques (toxicomanes, personnes en phases terminales ...).
Le Breathwork s’est aujourd’hui développé sous de nombreuses formes telles que le Pranayama en deux étapes, la respiration connectée consciente, la respiration intégrative, la méditation active, le souffle du yoga zen, le rayonnement ...
Les bénéfices du Breathwork
Les modes de vie modernes et les expériences stressantes conduisent souvent à une respiration superficielle, tendue et rapide, qui prive le corps d’oxygène et contribue à la fatigue, l’anxiété, et au vieillissement prématuré.
Plus le stress est grand, plus la respiration est superficielle, et plus le système nerveux sympathique stimule les glandes surrénales à produire des hormones de cortisol, souvent appelées les hormones du stress.
Ces dernières contribuent à la prise de poids, aux troubles du sommeil ou encore aux déséquilibres hormonaux. La respiration va venir augmenter l’oxygénation du sang qui arrive plus rapidement à l’hypothalamus, pont entre le système nerveux autonome et le système endocrinien. Cette glande libère alors des endorphines qui s’écoulent vers les autres glandes endocrines.
Ainsi, une pratique régulière du Breathwork tend à diminuer la libération de cortisol et libère de l’ocytocine connue pour amplifier la sensation de détente et de relaxation. La baisse de cortisol réduit l’inflammation de la peau, voir des éruptions cutanées comme l’eczéma. L’augmentation en oxygène dans le sang favorise la quantité d’eau transférée à la peau et ainsi son hydratation. Les tissus et les cellules sont revigorés. L’apport en oxygène étant un facteur majeur dans la perte de poids, son augmentation provoquée par le Breathwork amplifie le processus de combustion des graisses.
En augmentant l’efficacité de l’utilisation de l’oxygène par l’organisme, les performances physiques sont améliorées. Les muscles trop sollicités ne puisent plus dans le stock de glycogène évitant la formation de l’acide lactique. La phase de récupération est alors plus rapide et les courbatures sont diminuées. Enfin, de nombreuses études attestent des bénéfices du Breathwork dans le traitement de la dépression et de l’anxiété.
La complémentarité du Reiki et de la méditation avec le Breathwork
Ce n’est pas par hasard que Susan Oubari a choisi d’allier au Breathwork, le Reiki et la méditation. La méditation est un outil qui permet de connecter l’élève au moment présent et à son intention. Elle permet de se focaliser sur sa respiration et son corps.
En choisissant de commencer le cours avec une méditation, elle prépare ses élèves à se recentrer sur eux-même. La méditation s’intensifie pendant le Breathwork, c’est une forme de méditation active où l’esprit se libère de toutes pensées parasites.
Dans son cours elle enseigne les bases, une respiration guidée de 30 minutes qui consiste à respirer de façon contrôlée et rythmée en deux temps, par la bouche, allongé au sol sur une musique adaptée. Le premier souffle est dans le diaphragme bas ou dans le ventre, le second souffle est au sommet du diaphragme ou de la poitrine haute puis on expire.
Chaque cours intègre le Breathwork, la méditation et le Reiki tout en laissant place à une dimension plus spirituelle, accessible aux débutants et experts. Il permet de prendre conscience de sa respiration au quotidien et de réapprendre à respirer correctement.
Les origines du Breathwork
La respiration remonte à l’ancienne pratique hindoue de respiration yoguique connue sous le nom de Pranayama, qui se traduit en sanscrit par « contrôle de la respiration ». L’un des pionniers du Breathwork est un new-yorkais du New Age, Leonard Orr, dont le groupe de chercheurs pratiquait l’essoufflement dans des baignoires, pour simuler des souvenirs utérins (Rebirthing-Breathwork) dans les années 60.
Quelques années plus tard, le psychiatre Stanislav Grov s’inspira du Pranamaya pour élaborer sa technique de respiration holotropique. Cette dernière associe des techniques respiratoires à de la musique. Il souhaitait reproduire un état de conscience modifiée causé par les drogues psychédéliques pour soigner des sujets spécifiques (toxicomanes, personnes en phases terminales ...).
Le Breathwork s’est aujourd’hui développé sous de nombreuses formes telles que le Pranayama en deux étapes, la respiration connectée consciente, la respiration intégrative, la méditation active, le souffle du yoga zen, le rayonnement ...
Les bénéfices du Breathwork
Les modes de vie modernes et les expériences stressantes conduisent souvent à une respiration superficielle, tendue et rapide, qui prive le corps d’oxygène et contribue à la fatigue, l’anxiété, et au vieillissement prématuré.
Plus le stress est grand, plus la respiration est superficielle, et plus le système nerveux sympathique stimule les glandes surrénales à produire des hormones de cortisol, souvent appelées les hormones du stress.
Ces dernières contribuent à la prise de poids, aux troubles du sommeil ou encore aux déséquilibres hormonaux. La respiration va venir augmenter l’oxygénation du sang qui arrive plus rapidement à l’hypothalamus, pont entre le système nerveux autonome et le système endocrinien. Cette glande libère alors des endorphines qui s’écoulent vers les autres glandes endocrines.
Ainsi, une pratique régulière du Breathwork tend à diminuer la libération de cortisol et libère de l’ocytocine connue pour amplifier la sensation de détente et de relaxation. La baisse de cortisol réduit l’inflammation de la peau, voir des éruptions cutanées comme l’eczéma. L’augmentation en oxygène dans le sang favorise la quantité d’eau transférée à la peau et ainsi son hydratation. Les tissus et les cellules sont revigorés. L’apport en oxygène étant un facteur majeur dans la perte de poids, son augmentation provoquée par le Breathwork amplifie le processus de combustion des graisses.
En augmentant l’efficacité de l’utilisation de l’oxygène par l’organisme, les performances physiques sont améliorées. Les muscles trop sollicités ne puisent plus dans le stock de glycogène évitant la formation de l’acide lactique. La phase de récupération est alors plus rapide et les courbatures sont diminuées. Enfin, de nombreuses études attestent des bénéfices du Breathwork dans le traitement de la dépression et de l’anxiété.
La complémentarité du Reiki et de la méditation avec le Breathwork
Ce n’est pas par hasard que Susan Oubari a choisi d’allier au Breathwork, le Reiki et la méditation. La méditation est un outil qui permet de connecter l’élève au moment présent et à son intention. Elle permet de se focaliser sur sa respiration et son corps.
En choisissant de commencer le cours avec une méditation, elle prépare ses élèves à se recentrer sur eux-même. La méditation s’intensifie pendant le Breathwork, c’est une forme de méditation active où l’esprit se libère de toutes pensées parasites.