Ce nouveau plan du gouvernement d’Emmanuel Macron s’inscrit après celui lancé par Édouard Philippe en 2018 (alors Premier ministre) et laisse de côté le rapport commandé en 2019 à Audrey Dufeu sur la transition démographique et la lutte contre l'âgisme.
Pour rappel, on appelle « âgisme », tous ces biais liés à nos croyances sur le vieillissement… Et il y en a ! Ces derniers affectent non seulement nos relations quotidiennes avec nos anciens, mais aussi notre propre santé au-delà d’un certain âge. Les enjeux sont donc à la fois de nature éthique et de santé publique.
D’une manière générale, l’âgisme apparaît lorsque l’âge est utilisé pour catégoriser et diviser les gens d’une façon qui entraîne des préjudices, des désavantages et des injustices. Une sorte de racisme par l’âge pour faire simple.
Dans la pratique et au quotidien, il peut prendre de nombreuses formes se traduisant par des attitudes empreintes de préjugés, des actes discriminatoires et des politiques et des pratiques institutionnelles perpétuant des croyances stéréotypées.
Cette discrimination faite à l'encontre des personnes âgées en raison de leur âge et des préjugés qui y sont attachés est la conséquence d'un perception subjective et biaisée est très répandue et mal repérée dans notre société.
« L'âgisme explique en partie le recul de l'état dans ses promesses maintes fois reportées d'une loi grand âge ambitieuse » estime l’association AVEC, dont une des missions justement, est la lutte contre l'âgisme. Dans cet esprit, cette structure demande à l’État d'interroger la société sur le caractère intolérable de l'âgisme comme cela est fait à juste titre dans les autres cas de discriminations.
Pour rappel, on appelle « âgisme », tous ces biais liés à nos croyances sur le vieillissement… Et il y en a ! Ces derniers affectent non seulement nos relations quotidiennes avec nos anciens, mais aussi notre propre santé au-delà d’un certain âge. Les enjeux sont donc à la fois de nature éthique et de santé publique.
D’une manière générale, l’âgisme apparaît lorsque l’âge est utilisé pour catégoriser et diviser les gens d’une façon qui entraîne des préjudices, des désavantages et des injustices. Une sorte de racisme par l’âge pour faire simple.
Dans la pratique et au quotidien, il peut prendre de nombreuses formes se traduisant par des attitudes empreintes de préjugés, des actes discriminatoires et des politiques et des pratiques institutionnelles perpétuant des croyances stéréotypées.
Cette discrimination faite à l'encontre des personnes âgées en raison de leur âge et des préjugés qui y sont attachés est la conséquence d'un perception subjective et biaisée est très répandue et mal repérée dans notre société.
« L'âgisme explique en partie le recul de l'état dans ses promesses maintes fois reportées d'une loi grand âge ambitieuse » estime l’association AVEC, dont une des missions justement, est la lutte contre l'âgisme. Dans cet esprit, cette structure demande à l’État d'interroger la société sur le caractère intolérable de l'âgisme comme cela est fait à juste titre dans les autres cas de discriminations.