JR vous ne connaissez peut-être pas son nom mais vous avez peut-être déjà croisé ses œuvres dans une grande ville du monde où il expose régulièrement. Ce jeune artiste d’origine italo-tunisienne est spécialisé dans les photos grands formats. Des clichés géants qu’ils installent sur les murs des grandes cités…
Le projet The wrinkles of the city a démarré en 2008. Après les murs de Carthagène, de Shanghai, de Los Angeles, de La Havane et de Berlin, c’est au tour de ceux d’Istanbul, en Turquie, pont entre l’Asie et l’Europe, d’accueillir ses photos. Une ultime exposition qui met un point final à ce beau projet qui met en valeur la vieillesse des hommes et celle des villes. « Riche de leur expérience et de leur vécu, les visages vieillis des habitants témoignent des mutations de la ville » assure-t-il sur son site Internet.
En mai 2015, JR a travaillé sur quinze bâtiments d’Istanbul. JR a dressé le portrait d’ainés qui ont vécu les transformations de leur ville -notamment la laïcisation d'Istanbul après 1924- et agrandit leurs visages pour souligner les changements dans l'architecture de nombreux endroits de la cité turque. Les collages peuvent être découverts dans les quartiers de Balat, Halac, Eminonu, Beyoglu.
Ces portraits installés un peu partout en ville sont une belle manière de partir à la découverte ou à la redécouverte d’une ville. Avec un petit supplément d’âme…
Le projet The wrinkles of the city a démarré en 2008. Après les murs de Carthagène, de Shanghai, de Los Angeles, de La Havane et de Berlin, c’est au tour de ceux d’Istanbul, en Turquie, pont entre l’Asie et l’Europe, d’accueillir ses photos. Une ultime exposition qui met un point final à ce beau projet qui met en valeur la vieillesse des hommes et celle des villes. « Riche de leur expérience et de leur vécu, les visages vieillis des habitants témoignent des mutations de la ville » assure-t-il sur son site Internet.
En mai 2015, JR a travaillé sur quinze bâtiments d’Istanbul. JR a dressé le portrait d’ainés qui ont vécu les transformations de leur ville -notamment la laïcisation d'Istanbul après 1924- et agrandit leurs visages pour souligner les changements dans l'architecture de nombreux endroits de la cité turque. Les collages peuvent être découverts dans les quartiers de Balat, Halac, Eminonu, Beyoglu.
Ces portraits installés un peu partout en ville sont une belle manière de partir à la découverte ou à la redécouverte d’une ville. Avec un petit supplément d’âme…