« Courir, c’est plus de ton âge », « Les cheveux blancs, la bête noire des plus de 45 ans », « Changer de carrière à 50 ans, danger assuré », « Quand les quadras ne supportent plus de faire la fête toute la nuit »…
Quotidiennement et à tous les âges, les Français, et en particulier les femmes, font face à des injonctions sur ce qu’ils ou elles devraient (ou ne devraient pas) faire pour « bien vieillir ».
Et si ces injonctions (du « pur âgisme ») étaient le frein qui nous empêche de nous épanouir, de prendre soin de notre santé physique et mentale ?
Créé pour libérer la parole autour des premiers signes de l’âge, l’Observatoire « Âge & Société » des Laboratoires Expanscience dévoile et analyse ces injonctions pour lever les tabous autour du temps qui passe.
Parce qu’il est temps de lutter contre les stigmatisations pour en finir avec les diktats de la société, ce laboratoire défend le droit de chacun d’être acteur de son bien-être à tout âge.
Comme le souligne Florence Pin, directrice « Bien Vieillir » Laboratoires Expanscience, en charge de l’Observatoire « Âge & Société » : cet observatoire « pose un regard objectif et critique sur une société du jugement qui frise l’intransigeance en pointant du doigt le fait de vieillir. Une société qui nous impose une pression qui peut être néfaste pour notre bien-être, nous privant de notre liberté de bien vivre notre âge, à notre rythme et en toute décontraction ».
Et de poursuivre : « au-delà d’une simple étude, nous l’avons conçu comme un outil sociétal qui donne la parole aux Français pour décrypter les pressions qu’ils subissent tout au long de leur vie face au temps qui passe et au fait de prendre de l’âge, phénomène le plus naturel du monde, qui nous concerne tous ».
« Lever les tabous en valorisant une approche globale et positive de l’âge pour affirmer haut et fort qu’il n’existe pas une seule manière de « bien vieillir », c’est l’ambition de notre Observatoire « Âge & Société » mené en France pour sa première édition, avant d’être déployé à l’international dès 2026 ».
Plus des trois-quarts (76%) des Français de plus de 45 ans ont déjà entendu des injonctions liées à l’âge. Suite à ces injonctions, ils sont 52% à avoir déjà renoncé à quelque chose dans leur quotidien.
Des pressions à combattre pour que chacun ait le droit de vieillir comme il l’entend, sans se sentir oppressé ou scruté par la société, sans avoir l’impression de devoir répondre à des critères de beauté et de comportement souvent inatteignables et irréalistes.
D’autre part, 60% des Français ont peur de prendre de l’âge… Cette peur s’exprime, pour 83% des sondés, par la crainte des changements physiques, mais pas uniquement.
Ces inquiétudes fragilisent le bien-être et le quotidien, dans leur ensemble : 42% d’entre eux ont peur des conséquences sur leurs conditions de vie, telles que l’isolement, la perte de pouvoir d’achat, 42% de l’impact sur leur place dans la société, tel que le fait d’être un poids pour ses proches, et 39% redoutent de subir une réduction de leurs capacités intellectuelles, notamment la perte de mémoire.
Les deux-tiers des Français de 45/55 ans ayant ressenti le poids des injonctions déclarent vouloir vivre comme ils l’entendent (particulièrement les femmes, à 74%). Une aspiration forte, pourtant décorrélée de la réalité, puisque la moitié d’entre eux (52%) a dû renoncer à quelque chose dans leur quotidien suite aux injonctions subies.
En clair, ces pressions ne disparaissent jamais totalement et restent un poids pour la moitié des plus de 45 ans qui les reçoivent.
Quotidiennement et à tous les âges, les Français, et en particulier les femmes, font face à des injonctions sur ce qu’ils ou elles devraient (ou ne devraient pas) faire pour « bien vieillir ».
Et si ces injonctions (du « pur âgisme ») étaient le frein qui nous empêche de nous épanouir, de prendre soin de notre santé physique et mentale ?
Créé pour libérer la parole autour des premiers signes de l’âge, l’Observatoire « Âge & Société » des Laboratoires Expanscience dévoile et analyse ces injonctions pour lever les tabous autour du temps qui passe.
Parce qu’il est temps de lutter contre les stigmatisations pour en finir avec les diktats de la société, ce laboratoire défend le droit de chacun d’être acteur de son bien-être à tout âge.
Comme le souligne Florence Pin, directrice « Bien Vieillir » Laboratoires Expanscience, en charge de l’Observatoire « Âge & Société » : cet observatoire « pose un regard objectif et critique sur une société du jugement qui frise l’intransigeance en pointant du doigt le fait de vieillir. Une société qui nous impose une pression qui peut être néfaste pour notre bien-être, nous privant de notre liberté de bien vivre notre âge, à notre rythme et en toute décontraction ».
Et de poursuivre : « au-delà d’une simple étude, nous l’avons conçu comme un outil sociétal qui donne la parole aux Français pour décrypter les pressions qu’ils subissent tout au long de leur vie face au temps qui passe et au fait de prendre de l’âge, phénomène le plus naturel du monde, qui nous concerne tous ».
« Lever les tabous en valorisant une approche globale et positive de l’âge pour affirmer haut et fort qu’il n’existe pas une seule manière de « bien vieillir », c’est l’ambition de notre Observatoire « Âge & Société » mené en France pour sa première édition, avant d’être déployé à l’international dès 2026 ».
Plus des trois-quarts (76%) des Français de plus de 45 ans ont déjà entendu des injonctions liées à l’âge. Suite à ces injonctions, ils sont 52% à avoir déjà renoncé à quelque chose dans leur quotidien.
Des pressions à combattre pour que chacun ait le droit de vieillir comme il l’entend, sans se sentir oppressé ou scruté par la société, sans avoir l’impression de devoir répondre à des critères de beauté et de comportement souvent inatteignables et irréalistes.
D’autre part, 60% des Français ont peur de prendre de l’âge… Cette peur s’exprime, pour 83% des sondés, par la crainte des changements physiques, mais pas uniquement.
Ces inquiétudes fragilisent le bien-être et le quotidien, dans leur ensemble : 42% d’entre eux ont peur des conséquences sur leurs conditions de vie, telles que l’isolement, la perte de pouvoir d’achat, 42% de l’impact sur leur place dans la société, tel que le fait d’être un poids pour ses proches, et 39% redoutent de subir une réduction de leurs capacités intellectuelles, notamment la perte de mémoire.
Les deux-tiers des Français de 45/55 ans ayant ressenti le poids des injonctions déclarent vouloir vivre comme ils l’entendent (particulièrement les femmes, à 74%). Une aspiration forte, pourtant décorrélée de la réalité, puisque la moitié d’entre eux (52%) a dû renoncer à quelque chose dans leur quotidien suite aux injonctions subies.
En clair, ces pressions ne disparaissent jamais totalement et restent un poids pour la moitié des plus de 45 ans qui les reçoivent.