Quand on pense on pense immédiatement « viande, œufs, produits laitiers ou poissons », mais il n’y a pas que ces produits pour donner à notre corps les protéines dont il a besoin au quotidien pour nos muscles, mais également pour nos os, notre peau, nos cheveux, etc.
En effet, on peut se procurer les protéines dont le corps a besoin dans une autre catégorie d’aliments : dans les céréales en l’occurrence. Une information qui a son importance dans un monde qui vise à réduire la consommation de viande et où « être veggie » devient tendance (à chacun de se faire son opinion sur le sujet).
Le fait est que les céréales possèdent une forte teneur en protéines végétales. Ainsi, les grains bruts de céréales contiennent de 7% (riz complet) à 16,9% (avoine) de protéines. A titre d’exemple, une assiette de 200g de pates cuites (blé dur) ou une demi-baguette (~100g) de pain (blé tendre) fournissent 8 g de protéines, soit 16% de l’apport de référence d’un adulte. On considère que l’apport journalier moyen de protéines doit être d’une cinquantaine de grammes.
En plus d’être riches en protéines, les céréales sont les seules sources protéiques végétales de l’alimentation qui soient riches en acides aminés soufrés. Les légumineuses et les fruits à coque en sont peu pourvues même s’ils apportent d’autres types d’acides aminés.
Le quatrième Programme National Nutrition Santé, le fameux PNNS qui nous conseille les cinq fruits et légumes au quotidien, recommande à ce titre de consommer une part plus importante des protéines sous la forme végétale (légumineuses, céréales, fruits à coque). Versus animale bien évidemment.
Rappelons que les céréales sont une famille de produits d’une grande diversité. Ce qui signifie qu’elles ne possèdent pas toutes la même composition. De l’intérêt de la diversité et de ne pas manger tous les jours la même chose.
Il faut savoir que le quinoa (graines très tendances) et le sarrasin sont assimilés à des céréales (parfois même appelées « pseudo-céréales »). Précisons que ces deux produits possèdent une teneur élevée en lysine, similaire aux produits d’origine animale et aux légumineuses. Dans cet esprit, associer au cours d’un repas le quinoa ou le sarrasin à une autre céréale comme le blé tendre (pain), le blé dur (semoule, pâtes), ou le maïs (polenta) est également judicieux et gourmand.
Quant à l’épeautre (l’ancêtre du blé) et son goût corsé, il s’agit de l’une des céréales les plus riches en protéines avec une concentration de 14,6% ; elle contient par ailleurs les huit acides aminés essentiels, soit tous ceux qui sont nécessaires à notre santé et représente donc une source de protéines végétales des plus intéressantes.
En effet, on peut se procurer les protéines dont le corps a besoin dans une autre catégorie d’aliments : dans les céréales en l’occurrence. Une information qui a son importance dans un monde qui vise à réduire la consommation de viande et où « être veggie » devient tendance (à chacun de se faire son opinion sur le sujet).
Le fait est que les céréales possèdent une forte teneur en protéines végétales. Ainsi, les grains bruts de céréales contiennent de 7% (riz complet) à 16,9% (avoine) de protéines. A titre d’exemple, une assiette de 200g de pates cuites (blé dur) ou une demi-baguette (~100g) de pain (blé tendre) fournissent 8 g de protéines, soit 16% de l’apport de référence d’un adulte. On considère que l’apport journalier moyen de protéines doit être d’une cinquantaine de grammes.
En plus d’être riches en protéines, les céréales sont les seules sources protéiques végétales de l’alimentation qui soient riches en acides aminés soufrés. Les légumineuses et les fruits à coque en sont peu pourvues même s’ils apportent d’autres types d’acides aminés.
Le quatrième Programme National Nutrition Santé, le fameux PNNS qui nous conseille les cinq fruits et légumes au quotidien, recommande à ce titre de consommer une part plus importante des protéines sous la forme végétale (légumineuses, céréales, fruits à coque). Versus animale bien évidemment.
Rappelons que les céréales sont une famille de produits d’une grande diversité. Ce qui signifie qu’elles ne possèdent pas toutes la même composition. De l’intérêt de la diversité et de ne pas manger tous les jours la même chose.
Il faut savoir que le quinoa (graines très tendances) et le sarrasin sont assimilés à des céréales (parfois même appelées « pseudo-céréales »). Précisons que ces deux produits possèdent une teneur élevée en lysine, similaire aux produits d’origine animale et aux légumineuses. Dans cet esprit, associer au cours d’un repas le quinoa ou le sarrasin à une autre céréale comme le blé tendre (pain), le blé dur (semoule, pâtes), ou le maïs (polenta) est également judicieux et gourmand.
Quant à l’épeautre (l’ancêtre du blé) et son goût corsé, il s’agit de l’une des céréales les plus riches en protéines avec une concentration de 14,6% ; elle contient par ailleurs les huit acides aminés essentiels, soit tous ceux qui sont nécessaires à notre santé et représente donc une source de protéines végétales des plus intéressantes.