Alors que nous disposons d’un test efficace pour détecter le cancer colorectal, 2e cancer le plus eurtrier en France, les femmes et les hommes entre 50 et 74 ans concernés par son dépistage marquent encore une réticence à l’inscrire dans leur routine de prévention.
Si la peur du résultat, le manque de temps ou encore le sentiment de ne pas se sentir concerné sont des freins souvent inhérents à chaque dépistage, celui du cancer colorectal souffre également de son mode de recueil : celui d’un fragment de selles.
Pourtant, ce dépistage, simple et pris en charge à 100% par l’Assurance Maladie, permet de détecter la maladie avant tout symptôme et sauve des vies.
Ainsi, dépisté à un stade précoce, ce cancer se guérit 9 fois sur 10. Les chances de survie à 5 ans ne sont que de 14.3% lorsqu’il est détecté à un stade métastatique.
Ce dépistage s’adresse aux personnes de 50 à 74 ans sans facteur de risque autre que l’âge, sans symptômes ni antécédents personnels ou familiaux de maladie touchant le côlon ou le rectum.
Sur la période 2022 – 2023, la population éligible à ce dépistage est estimée à 17,9 millions de personnes.
Sur cette même période, seulement 34,2% ont réalisé ce dépistage alors que le taux souhaitable au niveau européen est de 65%. Les femmes ont un taux de participation plus élevé que les hommes.
Ainsi, sur la seule année 2023, elles sont 35,7% à avoir réalisé le test, soit près de 3 points de pourcentage de plus que les hommes.
À réaliser tous les 2 ans chez soi, ce test est simple, rapide, efficace. Il consiste à prélever un peu de selles de manière hygiénique, et à l’envoyer par la poste au laboratoire pour analyse. Le test de dépistage et son analyse sont pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
Si ce test est positif (ce qui arrive seulement dans 3 à 4% des cas), une coloscopie sera prescrite pour en déterminer l’origine. Le saignement n’est pas obligatoirement le signe de la présence d’un cancer.
Il peut notamment s’agir de polypes (lésions précancéreuses) qui seront retirés lors de l’examen, et le cancer sera alors évité. Le bénéfice du dépistage est de permettre de détecter un éventuel cancer, avant tout signe de la maladie.
Dans ce cas, le cancer pourra être guéri 9 fois sur 10, généralement avec des traitements moins lourds et moins de séquelles. Lorsque les premiers signes se font ressentir, le cancer est déjà à un stade plus développé, et les chances de survie à 5 ans ne sont plus que de 14,3% (cancer détecté à un stade métastatique).
En 2023, on estime que 21 370 femmes et 26 212 hommes ont été touchés par la maladie et 17 000 (8 000 femmes et 9 000 hommes) en sont décédés. Chaque année en France, près de 47 600 hommes et femmes sont touchés par un cancer colorectal et 17 000 personnes décèdent de la maladie.
Pour renforcer la sensibilisation des personnes concernées et les inciter à s’engager dans le dépistage, l’Institut national du cancer diffuse une campagne d’information nationale, dès le 3 mars.
Le spot TV, conçu sur ton léger et dédramatisant, vise à faire prendre conscience de l’importance de réaliser le dépistage. « Vous n’êtes pas obligé de faire votre dépistage le jour de votre anniversaire, mais dès 50 ans, faites-le tous les 2 ans et avant tout symptôme » vient ponctuer le film.
L’Institut sera également présent sur France 2 dans un partenariat inédit avec Samuel Étienne. Dès le 8 mars, il participera à l’antenne, à la sensibilisation de chacun sur ce dépistage.
Médecin, pharmacien commande en ligne : chacun peut choisir la modalité qui lui convient pour obtenir le kit de dépistage.
Depuis maintenant 3 ans, de nouvelles modalités d’accès au kit de dépistage ont été développées. Elles ont pour objectif de proposer un accès encore plus direct au test et favoriser la participation.
Si la peur du résultat, le manque de temps ou encore le sentiment de ne pas se sentir concerné sont des freins souvent inhérents à chaque dépistage, celui du cancer colorectal souffre également de son mode de recueil : celui d’un fragment de selles.
Pourtant, ce dépistage, simple et pris en charge à 100% par l’Assurance Maladie, permet de détecter la maladie avant tout symptôme et sauve des vies.
Ainsi, dépisté à un stade précoce, ce cancer se guérit 9 fois sur 10. Les chances de survie à 5 ans ne sont que de 14.3% lorsqu’il est détecté à un stade métastatique.
Ce dépistage s’adresse aux personnes de 50 à 74 ans sans facteur de risque autre que l’âge, sans symptômes ni antécédents personnels ou familiaux de maladie touchant le côlon ou le rectum.
Sur la période 2022 – 2023, la population éligible à ce dépistage est estimée à 17,9 millions de personnes.
Sur cette même période, seulement 34,2% ont réalisé ce dépistage alors que le taux souhaitable au niveau européen est de 65%. Les femmes ont un taux de participation plus élevé que les hommes.
Ainsi, sur la seule année 2023, elles sont 35,7% à avoir réalisé le test, soit près de 3 points de pourcentage de plus que les hommes.
À réaliser tous les 2 ans chez soi, ce test est simple, rapide, efficace. Il consiste à prélever un peu de selles de manière hygiénique, et à l’envoyer par la poste au laboratoire pour analyse. Le test de dépistage et son analyse sont pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
Si ce test est positif (ce qui arrive seulement dans 3 à 4% des cas), une coloscopie sera prescrite pour en déterminer l’origine. Le saignement n’est pas obligatoirement le signe de la présence d’un cancer.
Il peut notamment s’agir de polypes (lésions précancéreuses) qui seront retirés lors de l’examen, et le cancer sera alors évité. Le bénéfice du dépistage est de permettre de détecter un éventuel cancer, avant tout signe de la maladie.
Dans ce cas, le cancer pourra être guéri 9 fois sur 10, généralement avec des traitements moins lourds et moins de séquelles. Lorsque les premiers signes se font ressentir, le cancer est déjà à un stade plus développé, et les chances de survie à 5 ans ne sont plus que de 14,3% (cancer détecté à un stade métastatique).
En 2023, on estime que 21 370 femmes et 26 212 hommes ont été touchés par la maladie et 17 000 (8 000 femmes et 9 000 hommes) en sont décédés. Chaque année en France, près de 47 600 hommes et femmes sont touchés par un cancer colorectal et 17 000 personnes décèdent de la maladie.
Pour renforcer la sensibilisation des personnes concernées et les inciter à s’engager dans le dépistage, l’Institut national du cancer diffuse une campagne d’information nationale, dès le 3 mars.
Le spot TV, conçu sur ton léger et dédramatisant, vise à faire prendre conscience de l’importance de réaliser le dépistage. « Vous n’êtes pas obligé de faire votre dépistage le jour de votre anniversaire, mais dès 50 ans, faites-le tous les 2 ans et avant tout symptôme » vient ponctuer le film.
L’Institut sera également présent sur France 2 dans un partenariat inédit avec Samuel Étienne. Dès le 8 mars, il participera à l’antenne, à la sensibilisation de chacun sur ce dépistage.
Médecin, pharmacien commande en ligne : chacun peut choisir la modalité qui lui convient pour obtenir le kit de dépistage.
Depuis maintenant 3 ans, de nouvelles modalités d’accès au kit de dépistage ont été développées. Elles ont pour objectif de proposer un accès encore plus direct au test et favoriser la participation.