Les élections présidentielles approchent à grands pas. Or, dans un monde qui vieillit et où les personnes âgées sont de plus en plus nombreuses, il convient de tout faire et de tout mettre en place pour que cette population vieillissante de votants puisse se rendre à leur bureau de vote.
Certes, on peut voter par procuration, mais ce n’est pas toujours simple pour les ainés et puis il faut avoir dans son entourage une personne de confiance à qui demander… Vu que l’Etat ne fait pas grand-chose dans ce domaine, certaines sociétés spécialisées dans l’aide à domicile, se proposent, moyennant finance, de conduire les personnes âgées dans leur bureau de vote.
Mais la palme de « l’initiative citoyenne » (source France Bleu) revient sûrement à ce chauffeur de taxi de Ploubezre dans les Côtes d’Armor, Guillaume Hamon -un nom prédestiné mais qui n’a rien à voir avec le candidat PS- qui se propose d’emmener les ainés au bureau de vote avec son outil de travail.
En espérant que cette belle idée donnera envie à d’autres chauffeurs de taxi (dont l’image n’est pas toujours des plus sympathiques) de faire la même chose et donc, de remonter dans l’estime que les Français ont face à cette profession souvent décriée.
Certes, on peut voter par procuration, mais ce n’est pas toujours simple pour les ainés et puis il faut avoir dans son entourage une personne de confiance à qui demander… Vu que l’Etat ne fait pas grand-chose dans ce domaine, certaines sociétés spécialisées dans l’aide à domicile, se proposent, moyennant finance, de conduire les personnes âgées dans leur bureau de vote.
Mais la palme de « l’initiative citoyenne » (source France Bleu) revient sûrement à ce chauffeur de taxi de Ploubezre dans les Côtes d’Armor, Guillaume Hamon -un nom prédestiné mais qui n’a rien à voir avec le candidat PS- qui se propose d’emmener les ainés au bureau de vote avec son outil de travail.
En espérant que cette belle idée donnera envie à d’autres chauffeurs de taxi (dont l’image n’est pas toujours des plus sympathiques) de faire la même chose et donc, de remonter dans l’estime que les Français ont face à cette profession souvent décriée.