« Une perception positive du métier et des professionnels qui l’exercent, un métier de l’humain,
essentiel, qui peut sauver des vies et qui mérite d’être mieux reconnu et mieux rémunéré » : voici les
principaux enseignements de la première étude APEF sur le métier d’auxiliaire de vie.
Savoir qu’on est aidant -ils sont 11 millions en France-, c’est prendre conscience de son rôle, de la charge mentale qui peut poser sur ses épaules (nombreux sont ceux qui tombent dans la dépression ou la maladie- et identifier les soutiens existants.
Dans ce contexte, on comprend bien les bénéfices à être aidé par un auxiliaire de vie. Un sentiment qui domine largement les impacts négatifs ressentis dans la vie des aidants qui est aidé : cela les soulage (46%) et leur permet d’accompagner leur proche sur d'autres tâches ou de profiter d’autres moments avec lui (45%).
Toujours selon cette enquête, ils sont 39% à qui cela permet de continuer à avoir une vie relativement “normale”.
Autre chiffre intéressant, près des trois-quarts (74%) des aidants considèrent que le métier d’auxiliaire de vie est un métier du soin, au même titre que celui d’infirmier ou de médecin. Ce qui semble effectivement assez évident.
Pour les aidants, c’est même l’auxiliaire de vie qui est déterminant pour permettre à leur proche de rester à leur domicile et d’y vivre le mieux possible.
En comparaison avec d’autres professionnels de santé, les aidants familiaux considèrent que l’auxiliaire de vie s’avère déterminant pour permettre à leur proche de rester à leur domicile (67%), loin devant l’infirmier à domicile (21%) ou le médecin (12%).
L’auxiliaire de vie apparaît indispensable pour plus des deux-tiers -69%- des répondants pour vivre le mieux possible, là encore loin devant l'infirmier (17%) ou le médecin (14%).
Pour rappel, la journée nationale des aidants (le 6 octobre de chaque année) est l’occasion de reconnaître les millions d’anonymes qui prennent soin au quotidien d’un proche, un parent vieillissant, un conjoint dépendant ou encore un enfant en situation de handicap. En France, ils sont 11 millions. Parmi eux, un tiers se tourne vers un auxiliaire de vie pour les aider dans leur accompagnement.
* Enquête menée du 1er au 7 mars 2022 par voie électronique.
essentiel, qui peut sauver des vies et qui mérite d’être mieux reconnu et mieux rémunéré » : voici les
principaux enseignements de la première étude APEF sur le métier d’auxiliaire de vie.
Savoir qu’on est aidant -ils sont 11 millions en France-, c’est prendre conscience de son rôle, de la charge mentale qui peut poser sur ses épaules (nombreux sont ceux qui tombent dans la dépression ou la maladie- et identifier les soutiens existants.
Dans ce contexte, on comprend bien les bénéfices à être aidé par un auxiliaire de vie. Un sentiment qui domine largement les impacts négatifs ressentis dans la vie des aidants qui est aidé : cela les soulage (46%) et leur permet d’accompagner leur proche sur d'autres tâches ou de profiter d’autres moments avec lui (45%).
Toujours selon cette enquête, ils sont 39% à qui cela permet de continuer à avoir une vie relativement “normale”.
Autre chiffre intéressant, près des trois-quarts (74%) des aidants considèrent que le métier d’auxiliaire de vie est un métier du soin, au même titre que celui d’infirmier ou de médecin. Ce qui semble effectivement assez évident.
Pour les aidants, c’est même l’auxiliaire de vie qui est déterminant pour permettre à leur proche de rester à leur domicile et d’y vivre le mieux possible.
En comparaison avec d’autres professionnels de santé, les aidants familiaux considèrent que l’auxiliaire de vie s’avère déterminant pour permettre à leur proche de rester à leur domicile (67%), loin devant l’infirmier à domicile (21%) ou le médecin (12%).
L’auxiliaire de vie apparaît indispensable pour plus des deux-tiers -69%- des répondants pour vivre le mieux possible, là encore loin devant l'infirmier (17%) ou le médecin (14%).
Pour rappel, la journée nationale des aidants (le 6 octobre de chaque année) est l’occasion de reconnaître les millions d’anonymes qui prennent soin au quotidien d’un proche, un parent vieillissant, un conjoint dépendant ou encore un enfant en situation de handicap. En France, ils sont 11 millions. Parmi eux, un tiers se tourne vers un auxiliaire de vie pour les aider dans leur accompagnement.
* Enquête menée du 1er au 7 mars 2022 par voie électronique.