Le 16 décembre dernier, Anne a grimpé à 58 mètres de hauteur sur l'îlot Fulton dans le 13ème arrondissement de Paris avec Chérif, grutier chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France.
« Je rêve de monter au sommet d’une grue dans un site en travaux ». Voilà comment Anne a présenté
son rêve lors de ses premiers échanges avec l’équipe de Rêves de Seniors. Cette sexagénaire aime
l’altitude, mais appréhende les risques d’un saut à l’élastique, alors pour répondre à son rêve de hauteur et son appel du vide, elle se lance le défi de monter en haut d’une grue d’un chantier.
Pour monter en haut de la grue et bénéficier d’un panorama inédit sur la ville, Anne doit d’abord grimper à l’échelle sur environ 10 mètres et poursuivre ensuite dans l’ascenseur de la grue. Oui mais voilà, l’ascenseur s’arrête 5 mètres en dessous de la cabine. Les derniers mètres doivent être fait à nouveau à l’échelle, ce qui est impressionnant car le sommet de la grue se déplace légèrement sous l’effet du vent !
En haut, le moment est privilégié. Dans la cabine, Anne en prend conscience : « C’était vraiment génial. (…) Au départ, j’étais fascinée par ce que je voyais puis peu à peu, je me suis intéressée au travail de Chérif. C’est très méticuleux et très bien encadré. Les écrans aident à la conduite de la grue. C’est un travail beaucoup plus technique que ce que je pensais. C’est un métier fascinant ! ».
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Anne a toujours aimé l’altitude. Quand elle visite une ville, un pays, elle fait en sorte de monter sur le toit des plus hauts bâtiments. En montant en haut de la grue, si le panorama est là -vue entre autres sur le Sacré Coeur, Notre Dame et la Tour Eiffel- c’est aussi la
conscience de vivre une expérience unique qui frappe Anne.
Un moment de grâce à 58 mètres de haut. Une expérience quasi impossible à vivre pour le grand public.
« Je rêve de monter au sommet d’une grue dans un site en travaux ». Voilà comment Anne a présenté
son rêve lors de ses premiers échanges avec l’équipe de Rêves de Seniors. Cette sexagénaire aime
l’altitude, mais appréhende les risques d’un saut à l’élastique, alors pour répondre à son rêve de hauteur et son appel du vide, elle se lance le défi de monter en haut d’une grue d’un chantier.
Pour monter en haut de la grue et bénéficier d’un panorama inédit sur la ville, Anne doit d’abord grimper à l’échelle sur environ 10 mètres et poursuivre ensuite dans l’ascenseur de la grue. Oui mais voilà, l’ascenseur s’arrête 5 mètres en dessous de la cabine. Les derniers mètres doivent être fait à nouveau à l’échelle, ce qui est impressionnant car le sommet de la grue se déplace légèrement sous l’effet du vent !
En haut, le moment est privilégié. Dans la cabine, Anne en prend conscience : « C’était vraiment génial. (…) Au départ, j’étais fascinée par ce que je voyais puis peu à peu, je me suis intéressée au travail de Chérif. C’est très méticuleux et très bien encadré. Les écrans aident à la conduite de la grue. C’est un travail beaucoup plus technique que ce que je pensais. C’est un métier fascinant ! ».
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Anne a toujours aimé l’altitude. Quand elle visite une ville, un pays, elle fait en sorte de monter sur le toit des plus hauts bâtiments. En montant en haut de la grue, si le panorama est là -vue entre autres sur le Sacré Coeur, Notre Dame et la Tour Eiffel- c’est aussi la
conscience de vivre une expérience unique qui frappe Anne.
Un moment de grâce à 58 mètres de haut. Une expérience quasi impossible à vivre pour le grand public.