« Maintenir une activité physique adaptée permet d’améliorer l’état de santé, le moral, la qualité de vie. L’APA réduit d’environ 25 % le niveau de fatigue. Seule thérapeutique non médicamenteuse aujourd’hui reconnue, l’activité physique améliore le sommeil et a un bon impact émotionnel et psychologique" indique le Dr Carole Bouleuc, chef du département en soins de support pour le patient en oncologie (Disspo) et professeur en médecine palliative à l’Université de Paris-Cité.
Et de préciser : "elle permet aussi de réduire le stress, d’améliorer la concentration et les fonctions cognitives et de prévenir surpoids et obésité ».
Pratiquer une activité physique régulièrement permet de mieux tolérer les traitements (diminution des effets secondaires, analgésie des douleurs neuropathiques ou articulaires, …) et d’améliorer la survie dans le cas de plusieurs cancers.
L’activité physique quotidienne fait partie du repérage des besoins du patient à intégrer dans son parcours de soins.
« Sur prescription, cette thérapeutique non médicamenteuse est recommandée dans le cadre d’une réhabilitation pendant et après la maladie. Elle est également essentielle à maintenir ou démarrer dès le début des traitements », explique Béatrice Boistard, cadre coordinateur du Disspo et chargée de missions Promotion de l’activité physique à l’Institut Curie.
Pionnier depuis onze dans le développement de l’activité physique adaptée (APA) destinée aux patients atteints de cancer, l’Institut Curie organise le mercredi 8 juin sa première journée de sensibilisation à la pratique d’APA, avec le soutien d’AstraZeneca.
À cette occasion, l’institut vous invite à vivre cette journée en immersion au sein de son hôpital parisien, avec au programme : initiations/démonstrations (rugby, escrime adaptée, marche nordique…), rencontres et conférences avec les professionnels de santé et de l’activité physique adaptée sur les bienfaits de l’APA et les recommandations…
Et de préciser : "elle permet aussi de réduire le stress, d’améliorer la concentration et les fonctions cognitives et de prévenir surpoids et obésité ».
Pratiquer une activité physique régulièrement permet de mieux tolérer les traitements (diminution des effets secondaires, analgésie des douleurs neuropathiques ou articulaires, …) et d’améliorer la survie dans le cas de plusieurs cancers.
L’activité physique quotidienne fait partie du repérage des besoins du patient à intégrer dans son parcours de soins.
« Sur prescription, cette thérapeutique non médicamenteuse est recommandée dans le cadre d’une réhabilitation pendant et après la maladie. Elle est également essentielle à maintenir ou démarrer dès le début des traitements », explique Béatrice Boistard, cadre coordinateur du Disspo et chargée de missions Promotion de l’activité physique à l’Institut Curie.
Pionnier depuis onze dans le développement de l’activité physique adaptée (APA) destinée aux patients atteints de cancer, l’Institut Curie organise le mercredi 8 juin sa première journée de sensibilisation à la pratique d’APA, avec le soutien d’AstraZeneca.
À cette occasion, l’institut vous invite à vivre cette journée en immersion au sein de son hôpital parisien, avec au programme : initiations/démonstrations (rugby, escrime adaptée, marche nordique…), rencontres et conférences avec les professionnels de santé et de l’activité physique adaptée sur les bienfaits de l’APA et les recommandations…