A l’origine, la cohabitation intergénérationnelle, est née à Barcelone en Espagne, il y a une vingtaine d’années. L’idée était de proposer à une personne âgée vivant seule dans son appartement (les logements de la capitale catalane, surtout dans le quartier de l’Eixample sont souvent de grandes tailles), d’accueillir un étudiant contre de menus services. Avec le temps le système s’est développé et surtout, il s’est organisé.
Encadré depuis 2018 par la loi Elan et régit par un contrat spécifique plus souple que le bail mobilité, la cohabitation intergénérationnelle solidaire est aujourd’hui un dispositif permettant à une personne de plus de 60 ans d’accueillir chez elle un étudiant ou un jeune actif de moins de 30 ans.
Cela en échange d’un loyer modéré et s’il dispose évidemment d’une chambre disponible. L’entente peut inclure également quelques services rendus au quotidien. Cependant, il ne peut y avoir de lien de subordination entre les deux cohabitants.
La start-up s’inscrit donc dans ce schéma : son fonctionnement est très simple d’utilisation. En se rendant sur la plateforme en ligne xenia-cohabitation.com, l’utilisateur s’inscrit et indique s’il est un senior à la recherche d’un jeune locataire ou s’il est un étudiant à la recherche d’un logement.
Ensuite, il est invité à répondre à un questionnaire très détaillé où il peut exprimer ses attentes et ses centres d’intérêts, permettant ainsi à l’équipe de Xenia d’associer des profils complémentaires pour créer des duos harmonieux.
Ce système précis de correspondance a été construit en collaboration avec Anne Gotman, Directrice de recherche émérite au CNRS et auteur de « Le sens de l’hospitalité, essai sur les fondements sociaux de l’accueil de l’autre ».
Xenia est présente sur tout le territoire : dans les grandes villes de France, notamment en Ile-de-France et à Bordeaux, mais aussi à Toulouse Rennes, Marseille, Lyon et Nice et dans les plus petites communes de l’hexagone (Quimperlé, Sérignan, Chevigny-Saint-Sauveur, Maule, Pleumeur-Bodou, etc.). La start-up revendique d’ores et déjà 100 biens actifs et plus de 200 locataires qui s’inscriraient tous les mois sur la plateforme.
Rappelons que d’une manière générale, il reste difficile de convaincre les seniors d’accueillir un étudiant au sein de leur domicile. Il y a souvent plus de jeunes candidats que de personnes âgées souhaitant participer à ce type de cohabitation.
Encadré depuis 2018 par la loi Elan et régit par un contrat spécifique plus souple que le bail mobilité, la cohabitation intergénérationnelle solidaire est aujourd’hui un dispositif permettant à une personne de plus de 60 ans d’accueillir chez elle un étudiant ou un jeune actif de moins de 30 ans.
Cela en échange d’un loyer modéré et s’il dispose évidemment d’une chambre disponible. L’entente peut inclure également quelques services rendus au quotidien. Cependant, il ne peut y avoir de lien de subordination entre les deux cohabitants.
La start-up s’inscrit donc dans ce schéma : son fonctionnement est très simple d’utilisation. En se rendant sur la plateforme en ligne xenia-cohabitation.com, l’utilisateur s’inscrit et indique s’il est un senior à la recherche d’un jeune locataire ou s’il est un étudiant à la recherche d’un logement.
Ensuite, il est invité à répondre à un questionnaire très détaillé où il peut exprimer ses attentes et ses centres d’intérêts, permettant ainsi à l’équipe de Xenia d’associer des profils complémentaires pour créer des duos harmonieux.
Ce système précis de correspondance a été construit en collaboration avec Anne Gotman, Directrice de recherche émérite au CNRS et auteur de « Le sens de l’hospitalité, essai sur les fondements sociaux de l’accueil de l’autre ».
Xenia est présente sur tout le territoire : dans les grandes villes de France, notamment en Ile-de-France et à Bordeaux, mais aussi à Toulouse Rennes, Marseille, Lyon et Nice et dans les plus petites communes de l’hexagone (Quimperlé, Sérignan, Chevigny-Saint-Sauveur, Maule, Pleumeur-Bodou, etc.). La start-up revendique d’ores et déjà 100 biens actifs et plus de 200 locataires qui s’inscriraient tous les mois sur la plateforme.
Rappelons que d’une manière générale, il reste difficile de convaincre les seniors d’accueillir un étudiant au sein de leur domicile. Il y a souvent plus de jeunes candidats que de personnes âgées souhaitant participer à ce type de cohabitation.