Contrairement aux idées reçues, les ventes en viager et en nue-propriété ne concernent pas uniquement l’Ile-de-France et la Côte d’Azur qui représentent respectivement un gros quart (26%) et 14% des opérations... De fait, les autres régions connaissent aussi une croissance soutenue depuis plusieurs années.
Ainsi, selon les spécialistes de chez Renée Costes, la Nouvelle-Aquitaine (avec 11%) occupe la troisième marche du podium suivie de l’Occitanie à 10% qui devance Auvergne-Rhône-Alpes (9%).
Autre point à souligner : la diversité des biens vendus en viager et en nue-propriété est représentative du parc immobilier français. Avec une grosse moitié (57%) de maisons et 43 % d’appartements, la valeur moyenne des biens s’élève à 287.952 euros. A noter également que 13% de ces biens vendus ont une valeur supérieure à 500.000 euros.
Par ailleurs, toujours selon ces spécialistes, de plus en plus d’opérations concernent même des biens d’exception à plusieurs millions d’euros !
Le marché puise son dynamisme dans l’élargissement des solutions proposées qui permettent aujourd’hui, de mieux répondre aux besoins et projets de vie des retraités. La très large majorité -92%- des opérations concernent des biens occupés, « ce qui démontre la volonté des retraités de continuer à profiter de leur logement, dans lequel ils ont leurs habitudes et se sentent bien, tout en monétisant leur capital immobilier accumulé au fil du temps » précise le communiqué.
Le viager occupé (capital et rente) reste la solution la plus retenue (avec plus des deux-tiers ; 68 %), suivi par la nue-propriété (capital unique immédiat), quasi inexistante il y a cinq ans encore, et qui représente désormais 21% des ventes.
D’autre part, on assiste à l’arrivée sur le marché, de nouvelles solutions, telle la cession-bail-à-vie (vente totale assortie d’un contrat de location à vie) qui fut lancée fin 2023. Des solutions qui connaissent également un fort engouement chez les potentiels vendeurs.
Contrairement aux préjugés, les ventes en viager et en nue-propriété ne concernent pas uniquement les retraités sans héritier, puisque près des deux-tiers -64%- d’entre eux ont des enfants. Ces derniers, et c’est une bonne chose, sont d’ailleurs très souvent impliqués dans l’opération.
Pour un petit tiers (31%) des vendeurs en viager ou en nue-propriété, la motivation principale est de financer leur quotidien et un petit quart (22%) d’entre eux a pour objectif de faire des donations. Un chiffre qui ne cesse d’augmenter d’année en année, montrant la volonté des retraités d’aider leurs proches, au moment où ils en ont besoin.
D’ailleurs, les donations réalisées de son vivant étant souvent défiscalisées, les vendeurs peuvent ainsi anticiper leur succession en réduisant la friction fiscale.
Bénéficiant d’une gestion simplifiée, l’investissement en viager et en nue-propriété attire au-delà des locaux puisque 21% des investisseurs proviennent d’autres régions voire d’autres pays pour 11% d’entre eux. Cette solution d’investissement est aussi, de plus en plus plébiscitée par les expatriés français.
Ainsi, selon les spécialistes de chez Renée Costes, la Nouvelle-Aquitaine (avec 11%) occupe la troisième marche du podium suivie de l’Occitanie à 10% qui devance Auvergne-Rhône-Alpes (9%).
Autre point à souligner : la diversité des biens vendus en viager et en nue-propriété est représentative du parc immobilier français. Avec une grosse moitié (57%) de maisons et 43 % d’appartements, la valeur moyenne des biens s’élève à 287.952 euros. A noter également que 13% de ces biens vendus ont une valeur supérieure à 500.000 euros.
Par ailleurs, toujours selon ces spécialistes, de plus en plus d’opérations concernent même des biens d’exception à plusieurs millions d’euros !
Le marché puise son dynamisme dans l’élargissement des solutions proposées qui permettent aujourd’hui, de mieux répondre aux besoins et projets de vie des retraités. La très large majorité -92%- des opérations concernent des biens occupés, « ce qui démontre la volonté des retraités de continuer à profiter de leur logement, dans lequel ils ont leurs habitudes et se sentent bien, tout en monétisant leur capital immobilier accumulé au fil du temps » précise le communiqué.
Le viager occupé (capital et rente) reste la solution la plus retenue (avec plus des deux-tiers ; 68 %), suivi par la nue-propriété (capital unique immédiat), quasi inexistante il y a cinq ans encore, et qui représente désormais 21% des ventes.
D’autre part, on assiste à l’arrivée sur le marché, de nouvelles solutions, telle la cession-bail-à-vie (vente totale assortie d’un contrat de location à vie) qui fut lancée fin 2023. Des solutions qui connaissent également un fort engouement chez les potentiels vendeurs.
Contrairement aux préjugés, les ventes en viager et en nue-propriété ne concernent pas uniquement les retraités sans héritier, puisque près des deux-tiers -64%- d’entre eux ont des enfants. Ces derniers, et c’est une bonne chose, sont d’ailleurs très souvent impliqués dans l’opération.
Pour un petit tiers (31%) des vendeurs en viager ou en nue-propriété, la motivation principale est de financer leur quotidien et un petit quart (22%) d’entre eux a pour objectif de faire des donations. Un chiffre qui ne cesse d’augmenter d’année en année, montrant la volonté des retraités d’aider leurs proches, au moment où ils en ont besoin.
D’ailleurs, les donations réalisées de son vivant étant souvent défiscalisées, les vendeurs peuvent ainsi anticiper leur succession en réduisant la friction fiscale.
Bénéficiant d’une gestion simplifiée, l’investissement en viager et en nue-propriété attire au-delà des locaux puisque 21% des investisseurs proviennent d’autres régions voire d’autres pays pour 11% d’entre eux. Cette solution d’investissement est aussi, de plus en plus plébiscitée par les expatriés français.