Avant d’aller plus loin, rappelons que la nycturie est caractérisée par le fait de se réveiller une ou plusieurs fois au cours de la nuit pour uriner, chaque miction étant précédée et suivie d’une période de sommeil.
Plurifactorielle, elle touche une grande partie de la population française, particulièrement les
femmes de plus de 65 ans (ou les hommes ayant des problèmes de prostate). Ainsi, environ 4 femmes sur 10 se lèveraient au moins deux fois la nuit pour aller uriner…
D’apparence bénin, ce trouble urinaire peut entrainer de lourdes conséquences sur la vie de ces patientes qui vivent souvent ce phénomène comme étant éprouvant physiquement et émotionnellement.
Par ailleurs, particulièrement impactante, la fragmentation du sommeil altère considérablement leur
qualité de vie. Et chez le patient âgé, l’interférence avec les syndromes gériatriques et les comorbidités accroît la morbi-mortalité.
De fait, la nycturie et les troubles du sommeil qui en découlent sont associés à un risque accru de chute, de fractures, d’évènements cardiovasculaires, de troubles de l’humeur et de prise de psychotropes (hypnotiques, antidépresseurs), de dégradation de la santé métabolique et, indirectement de mortalité.
Naturellement, les aidants sont aussi affectés. De fait, une grande majorité d’entre eux se réveillent plusieurs fois par nuit et ressentent une fatigue diurne accrue. Au-delà du bruit, c’est surtout l’inquiétude qui les tient éveillés. « La nuit, je stresse parce que la nuit d’avant, elle s’est levée toute seule et elle s’est cognée. J’ai très mal dormi… » avoue Sylvie, 58 ans, aidante de sa mère de 93 ans.
La nycturie est aujourd’hui encore un sujet tabou -ou en tout cas très peu connu, ni abordé- et elle tend aussi à être sous-estimée par les professionnels de santé qui se préoccupent plus souvent des troubles urinaires diurnes et ont parfois tendance à banaliser les symptômes nocturnes, considérés comme physiologiques et dus au vieillissement
Dans ce contexte, la société BD, spécialisée dans les technologies médicales, a mené une étude auprès des femmes de 65 ans et plus, de leurs aidants familiaux ainsi que de leurs aidants professionnels (infirmiers libéraux et aides-soignants) pour mieux comprendre leur perception de la nycturie ; les causes et les conséquences de ce trouble urinaire et les solutions mises en place pour éviter de se lever la nuit.
Près de la moitié des femmes interrogées ressentent une fatigue physique et 40% déclarent ne jamais en parler autour d’elles. Pourtant, difficultés à se rendormir, manque de concentration, pertes de mémoire, consommation de somnifères, prise de poids, anxiété sont autant de conséquences sur leur bien-être que ces femmes évoquent…
En dépit de ce fardeau, près d’une femme sur 2 ne prend aucune mesure pour ne pas se lever la nuit. Pour les autres, les solutions mises en place se résument à limiter leur consommation de liquides le soir, à prendre des médicaments ou à porter une protection absorbante. Malheureusement ces solutions ne leur permettent pas de rester couchées toute la nuit !
Aujourd’hui, les femmes concernées peuvent bénéficier d’une prise en charge qui vise à améliorer la qualité de leur sommeil et leur confort, en leur évitant de se lever au milieu de la nuit tout en restant au sec avec le système de collecte d’urine PureWick. Dans la pratique, cela fonction avec une sonde à usage externe qui absorbe l’urine et la conduit dans un récipient collecteur à proximité. La sonde doit être changée toutes les 8 à 12 heures et le récipient collecteur d’urine doit être vidé dans les toilettes…
Plurifactorielle, elle touche une grande partie de la population française, particulièrement les
femmes de plus de 65 ans (ou les hommes ayant des problèmes de prostate). Ainsi, environ 4 femmes sur 10 se lèveraient au moins deux fois la nuit pour aller uriner…
D’apparence bénin, ce trouble urinaire peut entrainer de lourdes conséquences sur la vie de ces patientes qui vivent souvent ce phénomène comme étant éprouvant physiquement et émotionnellement.
Par ailleurs, particulièrement impactante, la fragmentation du sommeil altère considérablement leur
qualité de vie. Et chez le patient âgé, l’interférence avec les syndromes gériatriques et les comorbidités accroît la morbi-mortalité.
De fait, la nycturie et les troubles du sommeil qui en découlent sont associés à un risque accru de chute, de fractures, d’évènements cardiovasculaires, de troubles de l’humeur et de prise de psychotropes (hypnotiques, antidépresseurs), de dégradation de la santé métabolique et, indirectement de mortalité.
Naturellement, les aidants sont aussi affectés. De fait, une grande majorité d’entre eux se réveillent plusieurs fois par nuit et ressentent une fatigue diurne accrue. Au-delà du bruit, c’est surtout l’inquiétude qui les tient éveillés. « La nuit, je stresse parce que la nuit d’avant, elle s’est levée toute seule et elle s’est cognée. J’ai très mal dormi… » avoue Sylvie, 58 ans, aidante de sa mère de 93 ans.
La nycturie est aujourd’hui encore un sujet tabou -ou en tout cas très peu connu, ni abordé- et elle tend aussi à être sous-estimée par les professionnels de santé qui se préoccupent plus souvent des troubles urinaires diurnes et ont parfois tendance à banaliser les symptômes nocturnes, considérés comme physiologiques et dus au vieillissement
Dans ce contexte, la société BD, spécialisée dans les technologies médicales, a mené une étude auprès des femmes de 65 ans et plus, de leurs aidants familiaux ainsi que de leurs aidants professionnels (infirmiers libéraux et aides-soignants) pour mieux comprendre leur perception de la nycturie ; les causes et les conséquences de ce trouble urinaire et les solutions mises en place pour éviter de se lever la nuit.
Près de la moitié des femmes interrogées ressentent une fatigue physique et 40% déclarent ne jamais en parler autour d’elles. Pourtant, difficultés à se rendormir, manque de concentration, pertes de mémoire, consommation de somnifères, prise de poids, anxiété sont autant de conséquences sur leur bien-être que ces femmes évoquent…
En dépit de ce fardeau, près d’une femme sur 2 ne prend aucune mesure pour ne pas se lever la nuit. Pour les autres, les solutions mises en place se résument à limiter leur consommation de liquides le soir, à prendre des médicaments ou à porter une protection absorbante. Malheureusement ces solutions ne leur permettent pas de rester couchées toute la nuit !
Aujourd’hui, les femmes concernées peuvent bénéficier d’une prise en charge qui vise à améliorer la qualité de leur sommeil et leur confort, en leur évitant de se lever au milieu de la nuit tout en restant au sec avec le système de collecte d’urine PureWick. Dans la pratique, cela fonction avec une sonde à usage externe qui absorbe l’urine et la conduit dans un récipient collecteur à proximité. La sonde doit être changée toutes les 8 à 12 heures et le récipient collecteur d’urine doit être vidé dans les toilettes…