Mis en place en 2007, le numéro « Solitud’écoute » (0 800 47 47 88) s’organise autour d’une plateforme téléphonique animée par les bénévoles des petits frères des Pauvres. Cet appel est gratuit, anonyme et confidentiel et constitue un lien vers l’extérieur pour toutes les personnes de plus de cinquante ans qui ne peuvent pas se déplacer ou qui recherchent une oreille bienveillante, quelqu’un à qui parler.
Aujourd’hui un Français sur dix souffre de solitude et un Français sur trois n’a pas de contact avec sa famille**. En outre, la part de la population en situation d’isolement augmente de manière continue avec l’âge. Dans un tel contexte, l’association rappelle son engagement et nous alerte concernant la solitude des personnes âgées qui souffrent de précarité ou de perte d’autonomie.
De plus en plus mises à l’écart, elles peuvent ressentir l’envie de parler et d’être écoutées. Les bénévoles de « Solitud'écoute » sont donc là pour répondre à ce besoin élémentaire de communication, car écouter c’est permettre à l’autre d’exister. Ils apportent un véritable soutien par une écoute centrée sur l’autre, une présence fraternelle, attentive et surtout exempte de tout jugement.
Aujourd’hui un Français sur dix souffre de solitude et un Français sur trois n’a pas de contact avec sa famille**. En outre, la part de la population en situation d’isolement augmente de manière continue avec l’âge. Dans un tel contexte, l’association rappelle son engagement et nous alerte concernant la solitude des personnes âgées qui souffrent de précarité ou de perte d’autonomie.
De plus en plus mises à l’écart, elles peuvent ressentir l’envie de parler et d’être écoutées. Les bénévoles de « Solitud'écoute » sont donc là pour répondre à ce besoin élémentaire de communication, car écouter c’est permettre à l’autre d’exister. Ils apportent un véritable soutien par une écoute centrée sur l’autre, une présence fraternelle, attentive et surtout exempte de tout jugement.
Les engagements de Solitud’écoute
Accueillir : l’écoutant s'efforce d'accueillir la personne telle qu'elle est, de la comprendre. Il accueille le récit de vie de la personne et l'accepte dans ce qu'il a d'unique.
Ecouter et entendre : apporter un soutien moral à la personne dans le strict respect de son autonomie et de son anonymat, c’est l’un des engagements de « Solitud’écoute ». Le bénévole ne porte pas de jugement sur les témoignages qu'il reçoit, mais tente d'instaurer une relation fraternelle avec la personne.
Reconnaître et valoriser : l’écoutant reconnaît la personne comme un être toujours en devenir et la respecte dans sa dignité. Il peut ainsi aider la personne à trouver en elle‐même le sens de ce qu'elle vit, ses valeurs et ses propres réponses.
Plus concrètement, cette écoute est assurée tous les après‐midi, 7 jours sur 7. L'appel est gratuit depuis un poste fixe. Ce dispositif de soutien téléphonique s’inscrit dans le projet associatif des petits frères des Pauvres. Depuis plus de 60 ans, ces derniers accompagnent, dans une relation fraternelle, des personnes âgées de plus de 50 ans souffrant de solitude et de précarité, de maladies graves. « Solitud’écoute » permet ainsi aux petit frères des Pauvres d’être présents là où ils ne le sont pas physiquement et d’être au plus près de ceux qui en ont besoin.
Solitud’écoute, les chiffres 2010 :
- Nombre d’appels traités : 16 000 (depuis sa création en 2007, le nombre d’appels traité atriplé)
- 44 appels écoutés par jour et une moyenne de quatre bénévoles à l’écoute chaque jour
- Plus de 120 permanences d’écoute par mois en moyenne
- Un recrutement de bénévoles en progression : + 38% depuis 2007
- 65% des appelants sont des femmes
- 48% des appels sont des témoignages de solitude et d’isolement et 24% des témoignages liés à des problèmes de santé
* Les petits frères des Pauvres font partie du collectif réuni au tour de la Société Saint‐Vincent‐de‐Paul, « Pas de solitude dans une France fraternelle » à qui le premier ministre a attribué le label « Grande cause nationale »
**étude Fondation de France – été 2010.
Accueillir : l’écoutant s'efforce d'accueillir la personne telle qu'elle est, de la comprendre. Il accueille le récit de vie de la personne et l'accepte dans ce qu'il a d'unique.
Ecouter et entendre : apporter un soutien moral à la personne dans le strict respect de son autonomie et de son anonymat, c’est l’un des engagements de « Solitud’écoute ». Le bénévole ne porte pas de jugement sur les témoignages qu'il reçoit, mais tente d'instaurer une relation fraternelle avec la personne.
Reconnaître et valoriser : l’écoutant reconnaît la personne comme un être toujours en devenir et la respecte dans sa dignité. Il peut ainsi aider la personne à trouver en elle‐même le sens de ce qu'elle vit, ses valeurs et ses propres réponses.
Plus concrètement, cette écoute est assurée tous les après‐midi, 7 jours sur 7. L'appel est gratuit depuis un poste fixe. Ce dispositif de soutien téléphonique s’inscrit dans le projet associatif des petits frères des Pauvres. Depuis plus de 60 ans, ces derniers accompagnent, dans une relation fraternelle, des personnes âgées de plus de 50 ans souffrant de solitude et de précarité, de maladies graves. « Solitud’écoute » permet ainsi aux petit frères des Pauvres d’être présents là où ils ne le sont pas physiquement et d’être au plus près de ceux qui en ont besoin.
Solitud’écoute, les chiffres 2010 :
- Nombre d’appels traités : 16 000 (depuis sa création en 2007, le nombre d’appels traité atriplé)
- 44 appels écoutés par jour et une moyenne de quatre bénévoles à l’écoute chaque jour
- Plus de 120 permanences d’écoute par mois en moyenne
- Un recrutement de bénévoles en progression : + 38% depuis 2007
- 65% des appelants sont des femmes
- 48% des appels sont des témoignages de solitude et d’isolement et 24% des témoignages liés à des problèmes de santé
* Les petits frères des Pauvres font partie du collectif réuni au tour de la Société Saint‐Vincent‐de‐Paul, « Pas de solitude dans une France fraternelle » à qui le premier ministre a attribué le label « Grande cause nationale »
**étude Fondation de France – été 2010.