La composition de l’air intérieur que nous respirons dans notre logement ou au bureau par exemple, est différente de celle de l’air extérieur ; mais pour autant, cet air est-il de bonne qualité ?
L’air intérieur peut être altéré par l’utilisation de certains produits, appareils ou simplement par la présence d’allergènes pouvant avoir un impact sur la santé.
C’est pourquoi, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé et l’Institut national de prévention et d’éducation à la santé (Inpes) souhaitent renforcer les connaissances des Français sur les facteurs pouvant nuire à un air intérieur de bonne qualité et leur indiquer les gestes simples garants d’un air plus sain. Il ne s’agit pas de changer de style de vie, mais simplement d’avoir en tête quelques réflexes à appliquer au quotidien.
Nous passons en moyenne quatorze heures par jour à notre domicile. La qualité de l’air que nous y respirons peut être dégradée par des sources différentes comme le tabagisme, les produits d’entretien et de bricolage (leurs composants sont très volatils), la combustion défectueuse des appareils de chauffage ou de production d’eau chaude (elle peut libérer du monoxyde de carbone, qui peut être mortel), les animaux et acariens (ils sont des facteurs d’allergie très répandus).
Les effets sur la santé vont d’une simple gêne à des pathologies touchant principalement le système respiratoire : maux de tête, irritations des voies respiratoires, allergies... Certaines personnes y sont particulièrement sensibles (les nourrissons, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ou les personnes atteintes de maladies chroniques). De simples réflexes au quotidien permettent de respirer un air plus sain.
L’aération quotidienne et la ventilation, garantes d’un air intérieur plus sain. Chaque jour, hiver comme été, aérer pendant dix minutes, permet de renouveler l’air dans le logement.
La ventilation est également un bon moyen de renouveler l’air intérieur. Si tous les logements ne sont pas équipés d’une ventilation mécanique contrôlée (VMC), une ventilation « naturelle » est prévue, qui permet la circulation de l’air dans le logement. Il ne faut donc pas boucher les entrées d’air, grilles ou bouches d’aération et il faut penser à les entretenir.
Une campagne pour aider les Français à adopter les bons gestes
Le guide de la pollution de l’air intérieur ainsi que le site internet www.prevention-maison.fr ont été spécialement conçus par le ministère de la santé et des sports et l’Inpes pour aider les Français à préserver au mieux leur air intérieur. Le guide peut être commandé gratuitement sur le site www.prevention-maison.fr ou sur celui de l’Inpes : www.inpes.sante.fr
Pour aller plus loin, lire aussi :
Pollution atmosphérique : les seniors sont les plus touchés…
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Les effets sur la santé vont d’une simple gêne à des pathologies touchant principalement le système respiratoire : maux de tête, irritations des voies respiratoires, allergies... Certaines personnes y sont particulièrement sensibles (les nourrissons, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ou les personnes atteintes de maladies chroniques). De simples réflexes au quotidien permettent de respirer un air plus sain.
L’aération quotidienne et la ventilation, garantes d’un air intérieur plus sain. Chaque jour, hiver comme été, aérer pendant dix minutes, permet de renouveler l’air dans le logement.
La ventilation est également un bon moyen de renouveler l’air intérieur. Si tous les logements ne sont pas équipés d’une ventilation mécanique contrôlée (VMC), une ventilation « naturelle » est prévue, qui permet la circulation de l’air dans le logement. Il ne faut donc pas boucher les entrées d’air, grilles ou bouches d’aération et il faut penser à les entretenir.
Une campagne pour aider les Français à adopter les bons gestes
Le guide de la pollution de l’air intérieur ainsi que le site internet www.prevention-maison.fr ont été spécialement conçus par le ministère de la santé et des sports et l’Inpes pour aider les Français à préserver au mieux leur air intérieur. Le guide peut être commandé gratuitement sur le site www.prevention-maison.fr ou sur celui de l’Inpes : www.inpes.sante.fr
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