Selon cette étude réalisée à partir de l’enquête Handicap-Santé (Insee-Drees) menée en 2008 auprès de 28.500 personnes, les trois-quarts des adultes français présenteraient donc des troubles de la vue !
De plus, ces soucis se généraliseraient à partir de 50 ans (presbytie oblige) pour atteindre la quasi-totalité des seniors (96% de cette population est concernée).
Au « programme » : myopie, astigmatisme, presbytie… Toutefois, si ces maladies sont très courantes, elles sont, aussi fréquemment corrigées. De fait, 70% des adultes portent des lunettes ou des lentilles pour mieux voir.
De plus, ces soucis se généraliseraient à partir de 50 ans (presbytie oblige) pour atteindre la quasi-totalité des seniors (96% de cette population est concernée).
Au « programme » : myopie, astigmatisme, presbytie… Toutefois, si ces maladies sont très courantes, elles sont, aussi fréquemment corrigées. De fait, 70% des adultes portent des lunettes ou des lentilles pour mieux voir.
Toujours selon la DREES, porter des lunettes ou des lentilles correctrices ne garantit pas pour autant de retrouver une bonne vue. Si la correction est insuffisante ou inadaptée, ou encore, si le trouble n’est pas corrigeable, ou seulement partiellement, des problèmes persisteront.
Cependant, grâce à leurs lunettes ou leurs lentilles, une large majorité (92%) n’a plus de problème à voir de près et 96% n’en a plus pour voir de loin. Toutefois, la part des personnes âgées qui conservent des troubles non ou mal corrigés, malgré le port de lunettes ou de lentilles, reste élevée : un quart (24%) des plus de 80 ans voit mal les caractères d’imprimerie d’un journal et 17% parviennent difficilement à reconnaitre un visage même à quatre mètres de distance.
Le manque de moyens financiers ou des difficultés d’accès aux aides peuvent réduire le recours à l’ophtalmologue et l’opticien. Après le dentaire, l’optique est le deuxième soin auquel les Français renoncent pour des raisons financières.
Cependant, grâce à leurs lunettes ou leurs lentilles, une large majorité (92%) n’a plus de problème à voir de près et 96% n’en a plus pour voir de loin. Toutefois, la part des personnes âgées qui conservent des troubles non ou mal corrigés, malgré le port de lunettes ou de lentilles, reste élevée : un quart (24%) des plus de 80 ans voit mal les caractères d’imprimerie d’un journal et 17% parviennent difficilement à reconnaitre un visage même à quatre mètres de distance.
Le manque de moyens financiers ou des difficultés d’accès aux aides peuvent réduire le recours à l’ophtalmologue et l’opticien. Après le dentaire, l’optique est le deuxième soin auquel les Français renoncent pour des raisons financières.